Recits de l'oncle Paul sur les animaux domestiques , 16 pllanches hors texte, Delagrave, 1929 .recits de l 'oncle paul sur les animaux
Reference : 2329
Antiquités Duvert Martial
Martial Duvert
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Bruxelles, Complexe, 1986, gr. in-8°, 251 pp, 14 gravures hors texte, notes, broché, couv. illustrée, bon état (Coll. Le Temps et les Hommes), envoi a.s. à Jean-François Revel
"L'évolution est marquée. Au 17e siècle, la hiérarchie sociale est définie par la Providence. Au 18e, le bonheur de la terre prend désormais le pas sur les délices du ciel. D'où chez les auteurs bourgeois du siècle suivant l'idée d'un véritable dressage des serviteurs au sein de leur famille d'adoption. On saisit vite les nuances dans les rapports. Ceux-ci connaîtront cependant une trève durant la Révolution ou l'on ira jusqu'à supprimer le valet dans les jeux de cartes. Court répit : la réaction thermidorienne rétablira l'ordre traditionnel. Une remarquable étude des mentalités." (Lectures, 34, 1986) — "Après plusieurs ouvrages partiellement ou totalement consacrés à la domesticité urbaine, le livre de Claude Petitfrère a su trouver un angle d'attaque original parfaitement défini par son titre même. C'est en effet le regard du maître sur le domestique qui se trouve ici privilégié, à travers la littérature pédagogique et normative, les travaux des observateurs et des moralistes, les œuvres littéraires, l'iconographie et les sources publiques ou privées. Seconde originalité majeure de ce travail, cette perspective est suivie dans une longue durée qui mène le lecteur de l'époque de Louis XIV à celle de Charles X. Le premier des six chapitres rappelle l'importance numérique d'un milieu qui, dans la plupart des cas, constitue à la fin de l'Ancien Régime 7 à 10 % de la population urbaine, et sa double fonction : les hommes-machines de la domesticité accomplissent un certain nombre de tâches, mais ils sont là aussi « pour la décence et pour la montre », organisés en une hiérarchie très étirée. L'apport neuf du livre de C. Petitfrère réside surtout dans les chapitres suivants, consacrés à l'analyse des rapports entre maîtres et serviteurs. Ceux-ci sont d'abord d'autorité et de sujétion, mais, dans des sociétés urbaines qui, au point de départ de l'étude, sont profondément marquées par des valeurs religieuses, ne s'y limitent pas. L'égalité des hommes devant Dieu crée à chacun non seulement des obligations, mais, en fonction de sa condition, des devoirs envers l'autre : le maître est aussi « père et patron », c'est-à-dire protecteur, voire banquier et confident ; le serviteur peut être lui aussi un confident, un conseiller, un soutien, dans les moments difficiles dévoué jusqu'au sacrifice. La proximité, la familiarité suffiraient d'ailleurs à faire glisser les rapports sur le plan de l'affectivité : le domestique connaît trop bien son maître, sa maison et ses affaires pour ne pas susciter la méfiance, la peur du vol – aussi est-il plus durement réprimé que chez tout autre coupable – mais aussi de l'indiscrétion, voire de la trahison. Le serviteur, la servante doivent être des alliés, des complices : cette complicité peut devenir tendre ou abusive lorsque s'y mêle l'attirance des cœurs et le désir des corps qui, comme des études régionales l'ont également montré, font de la domesticité féminine le milieu d'origine le plus fréquent des filles-mères. Sur tous ces points, C. Petitfrère a su rendre avec finesse la diversité, dans le même instant, des situations réelles. Mais il a aussi démontré, notamment par l'analyse, menée sur 150 ans, de la littérature destinée aux maîtres et aux serviteurs, à quel point le discours des maîtres avait changé. La religion se dégrade en morale utilitaire, propre à améliorer le rendement de la machine domestique, ou en moyen de préservation sociale ou morale. Les nouvelles élites contemporaines de l'âge des Lumières et que la crise révolutionnaire renforce, « rêvent de dissocier le couple maître-serviteur, de mettre fin à ce corps à corps alternativement tendre et brutal pour le remplacer par des relations policées, purement fonctionnelles, faites de surveillance renforcée et de distanciation prudente ». Une fois de plus, cette échelle de temps se révèle opératoire pour jalonner l'histoire d'une mutation sociale et mentale, à laquelle le livre de C. Petitfrère apporte une remarquable contribution." (J. Quéniart, Annales de Bretagne et des pays de l'Ouest, 1987) — Ce livre est avant tout l'histoire d'un regard, celui que les maîtres de l'ancien temps portaient sur leurs domestiques. Regard riche et ambigu, nourri de la foi, des désirs, des fantasmes, des préjugés, des peurs de ceux qui le portent, autant que des réalités matérielles. Regard que l'on surprend non seulement dans l'abondante littérature que les élites ont consacrée à définir les normes de leurs rapports avec leurs serviteurs, mais dans de multiples témoignages épars : dispositions d'une loi, extraits de Mémoires, pages d'un livre de comptes, anecdote d'un roman, scènes de théâtre (Le Malade imaginaire de Molière, Le Barbier de Séville de Beaumarchais, La Fausse Suivante de Marivaux) aussi bien que dessin réaliste ou gravure licencieuse. Ce regard a ainsi une histoire qui ne saurait se satisfaire de l'image "à plat" d'un "bon vieux temps" sans âge. De l'époque du Roi Soleil à celle du dernier des Bourbons on le voit évoluer au rythme lent (mais bousculé par la Révolution) des changements d'une société qui s'individualise, invente l'intimité et consacre l'argent au centre de la relation humaine. Le regard du maître façonne en grande partie le comportement et jusqu'à la conscience de soi du domestique. C'est pourquoi L'Œil du Maître, histoire d'une subjectivité, apporte aussi une importante contribution à la connaissance "objective" de la condition ancillaire en France du XVIIe au XIXe siècle.
Chez l'auteur, dépôt général Librairie Victorion, 1917, in-8°, (4)-352 pp, reliure percaline bleue, dos lisse avec pièce de titre basane havane, fleuron et doubles filets dorés, couv. conservées (rel. de l'époque), bon état. Edition originale
Violente attaque contre le journal le “Bonnet Rouge” et la propagande pacifiste. — "M. Charles Sancerme, l'auteur du livre “les Serviteurs de l'ennemi”, a adressé la lettre suivante à M. le procureur Lescouvé. Cette lettre, déposée par lui, le 10 juillet, à dix heures et demie du matin, au cabinet du. M. Lescouvé, n'a pas encore reçu de réponse. – « Paris, le 10 juillet 1917. Monsieur le Procureur de la République, Le soussigné, Sancerme Charles, demeurant à Paris, 52, rue de Bourgogne, père, parent et ami de soldats tués ou blessés en défendant la patrie, A l'honneur de déposer entre vos mains une plainte pour intelligence avec l'ennemi et trahison contre : 1) Vigo, dit Miguel Almereyda, directeur du journal le “Bonnet Rouge” ; 2) Emile Para, dit Georges Clairet, rédacteur au même:journal ; 3) Marion et Duval, administrateurs du “Bonnet Rouge” ; 4) Brizon, député, rédacteur audit journal ; 5) Contre inconnus, rédacteurs anonymes ou bailleurs de fonds audit journal. A l'appui de ma plainte, j'ai l'honneur de vous remettre un ouvrage intitulé : “les Serviteurs de l'ennemi”, dont je suis l'auteur et où vous trouverez, jour par jour, les preuves de mon accusation. Veuillez agréer, etc. Charles Sancerme. » – Le procureur de la République a reçu la plainte et a transmis à M. Drioux, juge d'instruction, le volume que lui a remis M. Sancerme et qui constitue le document que le plaignant a déposé à l'appui de sa requête." (Le Figaro, 2 août 1917) — "Le 26 mai 1917, Almereyda publia, malgré l'interdiction des censeurs, un article qui se terminait par une menace de révolution à peine déguisée. Il est important de souligner que chaque ligne du journal était passée au crible, ce qui rendait impossible toute action de propagande au bénéfice de l'Allemagne. Le 18 juin, le Président du Conseil et le ministre de la Guerre apprirent du préfet de police les détails relatifs à la saisie du chèque Duval et de sa restitution ; Ribot fit immédiatement saisir le Garde des Sceaux par l'intermédiaire du ministre de la Guerre. Le scandale du “Bonnet Rouge” – relayé par l'extrême droite d'un côté, et par Clemenceau de l'autre – risquait d'avoir de graves répercussions politiques en France ; en effet, l'enquête avait établi que les fonds provenaient d'un banquier de Mannheim nommé Marx, réputé pour être un homme de paille du S.R. allemand. Une instruction judiciaire fut ouverte... Charles Sancerme, un publiciste, profita de ce climat délétère pour publier un recueil de coupures du “Bonnet Rouge” ; son ouvrage voulait mettre en évidence l'existence d'un plan de propagande en faveur de l'Allemagne dans les colonnes du journal depuis 1915. Sancerme fit remarquer que des articles, parus dans “La Gazette des Ardennes”, la “Frankfurter Allgemeine” et le “Berliner Tageblatt”, reprenaient les mêmes thèmes que ceux du “Bonnet Rouge”..." (Olivier Lahaie, La guerre secrète en Suisse, 1914-1918)
Nous possédons de nombreux exemplaires de cette revue qui paraît depuis le mois d'octobre 1999 et dont le titre devient Missionnaires Serviteurs des Pauvres du Tiers-Monde ; nous faire part de vos recherches ; le prix indiqué s'entend au numéro ; HASP-102 Serviteurs des Pauvres du Tiers Monde, 1999
Bon
Sedrap jeunesse. 2003. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 63 pages augmentées de quelques dessins en noir et blanc dans texte.. . . . Classification Dewey : 843.0692-Livres d'enfants
Sommaire; les six serviteurs, l'oiseau d'Ourdi, la fée de l'étang, les trois fileuses, dossier créalire. Classification Dewey : 843.0692-Livres d'enfants