‎Jacob‎
‎Le nom‎

‎A Liège, A la lampe d'Aladdin, ,1926, in-12 de 66 pages ,broché ,Très bon état ,Edition originale. L'un des 300 ex. sur vergé baroque thé .(3 photos du livre sur mon site https://www.vieuxlivre.fr) .Les frais de port pour la France sont offerts à partir de 25 euros d'achat (Mondial relay,lettre suivie)et 30 d'achat (colissimo suivi ). Pour l'étranger : tarif livre et brochure, colissimo international, DHL express‎

Reference : 38276


‎‎

€60.00 (€60.00 )
Bookseller's contact details

Librairie Le Vieux Livre
M. luc Seignobosc
134 chemin Les Pelletiers
01140 Illiat
France

levieuxlivre@gmail.com

0623153626

Contact bookseller

Payment mode
Cheque
Transfer
Others
Sale conditions

Conformes aux usages de la Librairie Ancienne. L'expédition se fera à réception du règlement. - Les prix indiqués sont nets. Les frais de port sont à la charge de l'acquéreur, les envois se font par la poste (colissimo suivi , recommandé) ou par mondial Relay. L'emballage est gratuit. Dans un délai de 15 jours après réception, tout ouvrage ne convenant pas, pourra être intégralement remboursé, s'il est retourné (en recommandé) à la librairie, soigneusement emballé, après accord. Paiement par chèque, paypal virement bancaire

Contact bookseller about this book

Enter these characters to validate your form.
*
Send

5 book(s) with the same title

‎MELANCHTHON, Philip / [CARION].‎

Reference : LCS-17980

‎Des Faictz et gestes du roy François, premier de ce nom ; précédé de : Le livre des chroniques du seigneur Jehan Carion Philosophe, contenant tous haultz actes & gestes en convenable ordre, depuis le commencement du monde, Ensemble les faictz et gestes du feu roy François jusqu’au règne du roy Henry deuxième de ce nom, à présent régnant. Par lequel livre sera congneu les dates des ans estre très justement observé, ensemble les principales mutations qui sont advenues en ce Royaume, en la Religion & République du monde.Tourné de Latin en François par Maistre Jehan le Blond, imprimé en cette année 1548. Edition originale de langue française d’une rareté légendaire conservée dans sa pure et belle reliure lyonnaise à la cire de couleurs de l’époque.‎

‎De la bibliothèque Robert Hoe. Paris, Charles l’Angelier, 1548. Petit in-8 de (36) ff., 368 ff. Joli portrait de François Premier. Relié en veau fauve, sur les plats entrelacs de listels à la cire, noirs, gris et rouges, soulignés de filets dorés, dos lisse orné de larges arabesques peintes et à l'or, filet et fleurons dorés sur les coupes, tranches dorées. Reliure de l'époque. Etui de maroquin noir. 124 x 82 mm.‎


‎Edition originale de langue française d’une rareté légendaire de l’un des textes de Melanchthon les plus célèbres de la Renaissance. Brunet décrit longuement ce texte mais ignore l’originale française de 1548 présentée ici, et inscrit l’originale à Lyon, chez J. de Tournes, en 1549 : « La Chronique connue sous le nom de Carion a eu pendant plus d’un siècle un si grand succès, surtout parmi les protestants, que Dommerich, dans son Epistola de Joannis Carionis chronica, imprimé en 1750, dit en avoir vu vingt-huit éditions ; et il en existe certainement un plus grand nombre. Nous ne pouvons donc guère nous dispenser d’un parler ici avec quelques détails. Carion publia d’abord (à Wittenberg, 1532, in-4) le texte allemand de sa chronique, qu’il avait fait revoir par Philip Melanchthon, et qui arrivait à l’année 1532. L’auteur étant mort en 1538, l’ouvrage fut continué jusqu’en 1547 par Jean Funck, qui, dans la même année, en donna une édition in-8 à Nuremberg. Déjà cette chronique avait été traduite en latin par Herm. Bonn, et imprimée à Halle, en 1537, puis avec la continuation à Paris en 1548, et à Lyon, en 1554, in-8. C’est sur cette version latine que fut faite la version française de Jean Le Blond imprimée à Lyon, J. de Tournes & G. Gazeau, 1549 (aussi 1553), in-16 de 30 ff. préliminaires et 750 pp. : continuée jusqu’au règne de Henri ii, Paris, Est. Groulleau, 1553, in-16 de 30 ff. préliminaires et 351 ff.; - continuée jusqu’au règne de François ii, Paris, Ruelle, 1567, in-16 de 32 ff. préliminaires de 375 ff., plus un catalogue des rois de France, en 2 ff. Cependant Melanchthon, qui avait déjà eu beaucoup de part, et au texte allemand, et à la version latine, refit entièrement l’ouvrage, et le publia en latin, toujours sous le nom de Carion. Nous ne parlerons pas des différentes versions vulgaires qui ont été faites de ce livre en allemand, en bohémien, en italien et en espagnol... » Brunet (I, 1578-1579). « La Chronique de Carion eut dans le XVIe siècle un succès si prodigieux, il en parut un si grand nombre d’éditions et de traductions, qu’il n’est pas hors de propos d’entrer dans quelques détails sur l’histoire de cet ouvrage. Carion avait composé une chronique en allemand, et, avant de la faire imprimer, il voulut que Melanchthon la corrigeât. Melanchthon, au lieu de la corriger, en fit une autre, et la publia en allemand, à Wittemberg, en 1531. C’est ce qu’il nous apprend lui-même, en écrivant à Camerarius : Ego totum opus relexi, et quidem germanice. Peucer, gendre de Melanchthon, et continuateur de la même chronique, dit, dans son édition de 1572, que Melanchthon raya tout le manuscrit de Carion : Totum abolevit una litura, alio conscripto, cui tamen nomen Carionis proefuit. » (V-Ve) Cette édition originale française est l’œuvre de Jean Le Blond, poète normand, né à Évreux au XVIe siècle qui écrivit contre Clément Marot, alors exilé à Ferrare, plusieurs épîtres. Les 194 dernières pages sont occupées par le règne de François Premier sous le titre : Des Faictz et Gestes du roy Francois Premier de ce nom : ensemble ce qui a esté fait digne de mémoire depuis le règne de Henry ii de ce nom à présent roy de France. Sont décrits le sacre de François Ier, son entrée à Paris, à Lyon, les conflits avec les Suisses, la naissance du Dauphin François, la guerre avec les anglais et « Le Trepas du bon chevalier Bayard », la campagne de François Ier en Italie, le traité de Cambray, les visites du roy en Bretagne, Languedoc, la maladie de Charles d’Orléans, conflits entre les français, les impériaux et les anglais, publication du Concile de Trente et les premières scissions religieuses. » Très bel exemplaire revêtu à l’époque d’une riche et pure reliure lyonnaise à la cire de couleurs, parfaitement conservée. De la bibliothèque Robert Hoe (vente New York, part iii, 1912, 265).‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 42 84 16 68

EUR37,000.00 (€37,000.00 )

‎PHILIPPE PIGOUCHET - SIMON VOSTRE.‎

Reference : LCS-18401

‎Ces présentes heures a lusaige de Rome furĕt achevez lan Mil CCCC. iiii. Xx. r xviii. Le xxii iour de Aoust pour Symon Vostre… (le nom et la marque de Philippe Pigouchet sur le titre). Edition incunable en partie originale achevée d’imprimer sur peau de vélin le 22 août 1498 illustrée de plusieurs centaines de gravures sur bois.‎

‎Nombre de critiques considèrent cette production Philippe Pigouchet - Simon Vostre comme le plus bel incunable européen illustré du temps. 22 août 1498. Petit in-4 gothique imprimé sur peau de vélin de (72) ff., a-i8, 33 lignes par page, marque de l’imprimeur sur le titre, bordures historiées pour chaque page, 21 grandes gravures à pleine page sans compter l’homme anatomique, nombreuses petites initiales enluminées à l’or sur fond rouge ou bleu. Plein maroquin havane entièrement décoré de motifs à froid avec mosaïque de maroquin brun foncé, dos à nerfs orné, coupes décorées à froid, double encadrement de filets dorés intérieurs, tranches dorées. Élégante reliure signée de Marius Michel. 208 x 145 mm.‎


‎ [video width="1920" height="1080" mp4="https://www.camillesourget.com/wp-content/uploads/2023/09/Video-Heures-Pigouchet.mp4"][/video] Edition incunable en partie originale achevée d’imprimer sur peau de vélin à Paris par Philippe Pigouchet pour Simon Vostre considérée par nombre de critiques comme le plus beau livre français illustré du temps. «Le verso du titre contient l’almanach de 1488 à 1508, le recto du 2ème f. l’homme anatomique, et le verso le saint Graal différent de celui de l’édition de 1497. Il y a dans le texte 21 figures, 6 de plus que dans celle de 1497, et parmi lesquelles on remarque l’Arbre de Jessé, le Combat où Uric fut tué, le Jugement dernier et la Messe de S. Grégoire. Plusieurs des anciens sujets ont été refaits sur de nouveaux dessins meilleurs que les premiers. Dans les bordures qui sont aussi fort belles, on remarque les Vertus théologales et cardinales, la Vie de J.-C. et de la Vierge Marie, Suzanne, l’Enfant prodigue, les 15 Signes, 48 sujets de la Danse des morts, et divers ornements répétés. Il y a des exemplaires qui n’ont que 18 grandes planches. Les sujets de la Dans des morts occupent les huit ff. du cahier f. Un exemplaire sur vélin est conservé dans le cabinet de M. Didot; c’est peut-être le même que celui qui a été vendu 399 fr. Le Prévost, en 1857; un autre se trouve à la Bibliothèque impériale.» (Brunet, V, 1582-1583). Peu de temps après qu’Udalric Gering et ses deux associés eurent introduit à Paris l'invention miraculeuse de Gutenberg, perfectionnée par Fust et Schoyffer et y eurent ainsi fait succéder la régularité du composteur et l'économique célérité de la presse au travail si lent, si peu exact, et surtout si dispendieux des scribes et des rubriqueurs, les libraires de cette capitale songèrent à exploiter à leur profit un art qui, en simplifiant d'une manière si sensible la fabrication des livres, leur offrait une moisson aussi abondante que facile à recueillir. Comme ils cherchèrent d'abord à appliquer la typographie à des ouvrages d'un débit rapide, il semble qu'ils auraient dû commencer par ces livres de prières à l'usage des fidèles de toutes les classes, que plus tard ils imprimèrent sous le titre d'Horæ et d'Officium, ou sous celui d'Heures et d'Office, et qui depuis longtemps formaient la principale branche de leur commerce ; mais voici la difficulté qui retarda quelque temps l'impression de ces sortes d'ouvrages. Les livres de prières dont on se servait alors étaient tous écrits sur vélin, décorés d'initiales peintes en or et en couleurs, et presque tous aussi enrichis de miniatures plus ou moins nombreuses et plus ou moins bien exécutées. Au calendrier, c'était des petits sujets délicatement peints, où figuraient les travaux, les occupations et les jeux analogues à chaque mois de l'année ; aux fêtes mobiles, au propre des saints et à l'office des morts, se trouvaient de plus grandes miniatures représentant des sujets tirés de l'Écriture sainte, ou relatifs au mystère que l'on célébrait, ou à la vie du saint qu'on invoquait ; on y voyait presque toujours figurer, par exemple, le Martyre de saint Jean l'évangéliste, la Salutation angélique, la Naissance de Jésus-Christ, la Vision des bergers, l'Adoration des mages, la Fuite en Égypte, le Massacre des innocents ordonné par Hérode, David et Betzabée, etc. On remarquait aussi dans une partie de ces manuscrits précieux des bordures plus ou moins variées, plus ou moins riches, qui en entouraient toutes les pages, et qui offraient ordinairement des fleurs, des oiseaux, des insectes et des arabesques gracieuses, où l'or se mariait habilement aux couleurs les plus vives. Ces riches volumes étaient avec raison considérés comme des bijoux de prix, et se transmettaient par succession dans les familles, de génération en génération. Accoutumé qu'on était alors à lire ses Heures dans des livres ainsi décorés, comment aurait-on pu accueillir de simples productions typographiques entièrement dépourvues de ces ornements devenus un accompagnement nécessaire de toute lecture pieuse ? Pour réussir dans ce genre de fabrication, il fallut donc emprunter le secours de la gravure sur bois qui commençait à se perfectionner, et reproduire autant que possible les dessins répandus dans les Heures manuscrites, et en décorer les imprimées. Si jusqu'ici les bibliographes n'ont pu tomber d'accord sur la véritable date du plus ancien livre d'Heures illustré qu'ait produit la presse, ils reconnaissent pourtant généralement que l’imprimeur Philippe Pigouchet et le libraire Simon Vostre furent les premiers à Paris qui surent allier avec succès la gravure à la typographie. Il est à croire que ces deux libraires avaient déjà pratiqué par eux-mêmes la taille sur bois, et qu'ils surent s'adjoindre des tailleurs assez habiles pour donner successivement à leurs petits bois le degré de perfection auquel ils les ont portés. C'est donc à des artistes anonymes de la fin du quinzième siècle, et non pas, comme l'a prétendu Papillon, à Mercure Jollat, venu trente ans plus tard, qu'il faut attribuer la principale part dans la gravure de ces Heures si remarquables par la beauté du vélin, la qualité de l'encre, et surtout par la variété des bordures, où, à des arabesques les plus agréables, à des sujets grotesques les plus singuliers, succèdent alternativement des chasses, des jeux, des sujets tirés de l’Écriture sainte, ou même de l'histoire profane et de la mythologie, et enfin ces Danses des morts, imitées de la Danse macabre des hommes et des femmes, qui était alors dans toute sa vogue, petites compositions dont on admire encore la piquante expression. Ces bordures, qui, ainsi qu'on peut en juger par les spécimens placés autour de ces pages, sont d'ailleurs plus remarquables pour le fini de la gravure que pour le dessin, se composaient de petits compartiments qui se divisaient, se changeaient, se réunissaient à volonté, selon l'étendue et le format du volume où elles devaient figurer ; en sorte que, tout en employant presque toujours les mêmes pièces, il était cependant si facile de donner aux différentes éditions qu’on publiait une apparence de variété, qu'à peine en trouve-t-on deux qui se reproduisent exactement page par page. Les grandes planches destinées à recevoir l’embellissement de la peinture sont en général moins terminées que les petites, mais on y reconnaît toujours un même faire. Laissons parler ici un bibliographe anglais, qui a consacré cent pages au moins du plus intéressant de ses ouvrages à décrire les anciennes Heures imprimées à Paris, et à en figurer, avec une exactitude scrupuleuse, les plus curieux ornements. Voici donc comme s’exprime T.-F. Dibdin, à la page 7 de la seconde journée de son Bibliographical Decameron: «Let us howerer… suppose that some spirited Collector, or a select committee of the Roxburghe Club, should unite their tastes and purses, to put forth, from the Shakespeare press, an octavo volume of prayers from the liturgy, decorated in a manner similar to what we observe in the devotional publications just alluded to – do you think the attempt would be successful? In other words, where are the ink and vellum which can match with what we see in the Missals of old? The doubtful success of such an experiment would render it extremely hazardous; even were it not attended with, what may be called, an immensity of expense. Welcome therefore, again, I exclaim, the rich and fanciful furniture which garnishes the texts of early printed books of devotion…. » « Ces impressions parisiennes, dont les étrangers sont les premiers à reconnaître toute la supériorité…». Philippe Pigouchet a non seulement imprimé presque toutes les Heures publiées par Simon Vostre de 1488 à 1502, ainsi que plusieurs autres Heures pour Pierre Regnault, libraire de Caen, et pour Guillaume Eustache, libraire de Paris, dont on trouvera plus bas l’article; mais avant d’avoir mis sa presse au service de ces trois libraires, il avait déjà publié sous son seul nom et pour son propre compte plusieurs livres d’Heures, dont l’Almanach, indiquant les dates de Pâques, commence à l’année 1488. Le nom de Simon Vostre, qui commence à paraître l’année 1488 au plus tard, ne se trouve plus après 1520. C’est dans ce genre de publication que Simon Vostre l’a emporté sur tous ses concurrents. Nous devons à son goût éclairé les charmantes bordures en arabesques qui décorent toutes ses Heures, et les jolies petites figures qu’offrent ces mêmes bordures. D’abord peu variées, mais déjà fort remarquables dans les éditions données par lui vers 1488, ces bordures présentaient dès lors une suite de petits sujets, qui, peu à peu se multiplièrent assez pour qu’il pût enfin se dispenser de répéter plusieurs fois de suite les mêmes planches, comme il avait été obligé de le faire dans l’origine, et même pour qu’il fût possible de les varier d’une édition à l’autre. Toutes ces suites sont ordinairement accompagnées d’un texte fort court, en latin, ou de quelques vers français d’une naïveté remarquable, et où se lisent des mots qu’on est fort surpris de trouver dans un livre de piété, des mots qu’on n’oserait plus imprimer en toutes lettres maintenant, même dans les ouvrages les plus mondains. Voilà peut-être ce qui contribue le plus à faire rechercher aujourd’hui ces singulières productions, et ce qui en augmentera le prix à mesure que nous nous éloignerons davantage de l’époque de leur publication. Les exemplaires les plus curieux, à notre avis, sont ceux qui renferment un plus grand nombre de ces pieux quatrains, et qui réunissent la plus grande partie des petites suites que nous venons de signaler. Pour le choix des épreuves, pour la variété des arabesques, pour la beauté du tirage, les éditions données vers 1498 l’emportent sur les dernières. C’est là un avantage que ne négligeront ni les artistes ni les amateurs d’anciennes gravures sur bois, et qu’ils trouveront surtout dans les exemplaires en grand format, que nous leur conseillons de choisir non enluminés. «Il est un fait certain, c'est que les Heures de Pigouchet, exécutées pour Simon Vostre ont fait de tout temps l'admiration des bibliophiles et des connaisseurs. Elles portent le cachet artistique de la vieille École française. Le dessinateur, dit J. Renouvier, est entré d'emblée dans le plan de l'iconographie gothique ; il place aux premières pages les représentations que le sculpteur mettait aux marches de l'église, sur les côtés du portail, et il ajoute de son gré des motifs plus familiers et plus gais, de petits sujets de mœurs dont la gentillesse nous touche d'autant plus que nous en voyons la tradition fidèlement observée par les campagnards et par les enfants. On n'a rien fait de semblable à l'étranger ; c'est de l’art français par excellence. En tournant ces feuillets, on se croirait transporté sous les nefs de nos vieilles cathédrales gothiques. On sent vibrer, dans ces images de la vie du Christ, des Sacrements, des Signes de la fin du Monde et de la Danse macabre, la foi naïve et robuste de nos pères. Outre les bordures dont nous avons présenté des échantillons, la plupart des livres d'heures exécutés pour Simon Vostre dans la seconde manière de Pigouchet, en contiennent d'autres figurant la Danse macabre des Hommes et des Femmes. Le cycle complet de la Danse des Morts se compose de soixante-six sujets ; trente scènes sont contenues dans dix bordures pour la Danse des Hommes, et trente-six scènes en douze bordures pour la Danse des Femmes. Ce sont les mêmes personnages qui figurent dans la Danse macabre de Guy Marchant. Le dessinateur dispose adroitement ses couples dans un petit espace. Il drape la Mort d'un bout de linge, lui donne pour instruments le pic et la pelle, plutôt que la faux qui tiendrait trop de place, et il la fait grimacer comme un singe en présence d'un partenaire merveilleusement signalé par son costume. C'est un vif dialogue, une mimique piquante qu'ont avec la Mort, le Bourgeois, l’Usurier, le Médecin, l'Enfant, la Reine, la Chambrière, la Mignote, la Femme de village, tous entraînés vers la danse finale.» (A. Claudin). Claudin (Histoire de l'imprimerie en France) consacre 20 pages et de nombreuses reproductions à cette édition que l’on peut considérer comme l’une des plus belles de l’imprimerie incunable d’Occident et qui constitue une date importante dans l'évolution de l'ornementation : «des personnages fantastiques accompagnent dans leur chevauchée des chimères de toutes sortes, le tout brochant sur une flore incomparable : telles sont ces bordures d'une exquise conception » Claudin 44. Superbe exemplaire imprimé sur peau de vélin de ce livre d’heures incunable si important dans l’histoire de l’imprimerie en France, entièrement rubriqué à l’or sur fond rouge et bleu alterné. La pureté de son tirage est telle qu'il entra dans la collection du grand amateur Georges Wendling avec ex-libris. En 2004, Pierre Berès décrivait et cataloguait 130 000 € les Heures de 1498 de Simon Vostre reliées au XIXe siècle. (Réf: Pierre Berès, 15-28 septembre 2004, n°2).‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 42 84 16 68

EUR39,000.00 (€39,000.00 )

‎Collectif‎

Reference : R100060068

(1983)

‎Corps écrit n°8 1983 - Le nom - A Babel qu'en fut il ? - la signification du nom en Mésopotamie - le nom dans le nouveau testament - le nom, la parole et la magie - les noms de personnes slaves - le nom, cet inconnu et une inconnue - douceur des noms ...‎

‎Presses Universitaires de France. 1983. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 173 pages.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : A Babel qu'en fut il ? - la signification du nom en Mésopotamie - le nom dans le nouveau testament - le nom, la parole et la magie - les noms de personnes slaves - le nom, cet inconnu et une inconnue - douceur des noms - le nom perdu et retrouvé - corte - fragment du choeur - changer de nom - masquer son nom - la nourrice sèche - beyle-stendhal un nom un et multiple - d'une poétique à une métaphysique du nom etc. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 05 57 411 411

EUR19.80 (€19.80 )

‎Bondet (Pierre-Mathieu)‎

Reference : 60502

(1984)

‎Votre nom a une histoire‎

‎Editions Famot Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1984 Book condition, Etat : Bon relié, pleine toile éditeur illustrée In-8 1 vol. - 286 pages‎


‎ Contents, Chapitres : Introduction - L'histoire du nom (Premiers repères, toponymes - Les noms de famille (anthroponymes), naissance et transmission, types et significations, les noms de famille et leurs variantes - Le nom d'aujourdhui (Fréquence et rareté - Changement du nom - Avenir du nom - Psychologie du nom - Nom, souche, familles, racines) - Répertoire de quelques pseydonymes célèbres et contemporains quelques annotations assez discretes à l'encre en debut d'ouvrage, sinon tres bon etat‎

Librairie Internet Philoscience - Malicorne-sur-Sarthe
EUR6.00 (€6.00 )

‎TRAN NGHIA GS. et GROS François (sous la direction de)‎

Reference : 110219

(1993)

‎Di san han nôm viêt nam thu muc de yeu / Catalogues des livres en han nôm (3 volumes).‎

‎ Nha xuat ban khoa hoc xa hoi Institut Han Nom Ecole Française d'Extrême-Orient Sciences Sociales 1993 Editions Sciences Sociales, Han Noi, Publications de l'Institut Han Nôm et de l'Ecole Française d'Extrême-Orient / Nha Xuat Ban Khoa Hoc Wa Hôi, Viên Nghiên cuu Han Nôm va Hoc Viên Viên Dông Bac co Phap, 1993, 3 volumes, cartonnages éditeur, environ 245x165mm. Des défauts sur les cartonnages (des frottements d'usage et pellicule adhésive froissée), un infime manque de papier sur l'un des contreplat, bon état pour le reste.‎


‎ Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.‎

Phone number : 33 04 78 42 29 41

EUR90.00 (€90.00 )
Get it on Google Play Get it on AppStore
The item was added to your cart
You have just added :

-

There are/is 0 item(s) in your cart.
Total : €0.00
(without shipping fees)
What can I do with a user account ?

What can I do with a user account ?

  • All your searches are memorised in your history which allows you to find and redo anterior searches.
  • You may manage a list of your favourite, regular searches.
  • Your preferences (language, search parameters, etc.) are memorised.
  • You may send your search results on your e-mail address without having to fill in each time you need it.
  • Get in touch with booksellers, order books and see previous orders.
  • Publish Events related to books.

And much more that you will discover browsing Livre Rare Book !