The Viking Press New York 1946 Translated by William and Dorothy rose Published in novembre 1946 Published on the same day in the dominion of Canada by the Macmillan Company of Canada Limited Illustration by Courtesy od the Maison de Balzac Reliure toile enduite éditeur Jaquette illustrée 404 pages Bon état Jaquette état correct déchirures sans manque 568 g
Reference : 1363
ART BOHEME - l'esprit du Carré-Rond
Mme Joséphine Montiel
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Paris, A la Revue Parisienne, 1840. 3 livraisons reliées en 1 vol. in-16 de (4)-396 pp., demi-maroquin bleu, dos orné à nerfs, couverture conservée, non rogné (reliure moderne).
Édition originale. Collection complète des trois livraisons publiées les 25 Juillet, 25 Août et 25 Septembre 1840. Balzac, associé avec Dutacq, fonda cette revue à la suite de l'hostilité systématique que la presse de l'époque lui témoignait, mais aussi dans l'espoir de remporter un succès analogue à celui des Guêpes d'Alphonse Karr. Au lieu de la fortune, ce fut une nouvelle fois l'échec. La publication cessa après trois numéros et le déficit se monta à 1.800 francs.Les trois livraisons entièrement rédigées par Balzac contiennent en édition originale, Z. Marcas, Les Fantaisies de Claudine (réimprimé sous le titre Un Prince de la Bohême), une étude féroce sur le Port-Royal de Sainte-Beuve, et, enfin, l'Étude sur M. Beyle, long et élogieux compte-rendu de La Chartreuse de Parme.Vicaire I, 215 ; Escoffier, 1402. Bel exemplaire.
Se trouve à Paris, ez bureaux de la Société générale de librairie [on esté imprimez par Bénard et Ce.], 1855, in-8, XXXI-[1]-614-[1] pages, bois gravés dans le texte et à pleine page, Percaline noire de l'éditeur, titre et composition dorés sur le dos, "Comprenez-vous maintenant pourquoi tout ce qui est amateur de livres a une dévotion spéciale aux Contes drolatiques, et les estime au point de s'exclamer que, de tous les ouvrages de Doré, S'il n'en reste qu'un seul, ce sera celui-là (Béraldi)?" Cinquième édition, posthume, et première édition illustrée des Contes drolatique, "chef-d'oeuvre où chaque vignette est une trouvaille" (Béradi). Rare en reliure d'éditeur. Leblanc, bibliographe de Gustave Doré, relève que les tirages de cette cinquième édition ont été très variés ; il constate en effet que, sur 8 exemplaires collationnés, aucun n'est exactement semblable à l'autre. Voici les particularités qui caractérisent le nôtre : - Le titre annonce 425 dessins ; - On lit "sujets" en page VIII ; - La page XXI est chiffrée XX ; - La légende de la page 326 est "Le joyeulx curé de Meudon" ; - Le nom et l'adresse de Fain n'apparaissent pas à la page 425, ni la signature 36. ; - Le titre du conte Naifveté apparait bien à la table des matières de la page 426. Au demeurant, les bibliographes ne s'accordent pas tout à fait pour définir quel serait le tout premier tirage. Leblanc penche pour ceux qui, entre autres particularités, annoncent 424 dessins au titre. Gustave Doré (1832-1883) a dessiné les très beaux bois de ces Contes drolatiques à l'âge de 21 ans, de manière concomitante à ceux de l'édition des Oeuvres de Rabelais. L'idée d'illustrer ces textes lui avait été suggérée par le Bibliophile Jacob, Paul Lacroix, qui avait été chargé par la veuve de Balzac de la révision philologique du texte. Les illustrations se placent dans une veine caricaturale et "drolatique" ; elles révèlent l'immense talent de Gustave Doré, son attrait pour le paysage et son aisance dans le portrait de personnages grotesques comme dans les scènes burlesques. "Cette illustration est à nulle autre semblable par sa puissante originalité : elle est gauloise, rabelaisienne, et pétillante d'esprit. Doré a certainement, dans les Contes drolatiques, répandu le meilleur de son talent. Ils n'eurent cependant aucun succès et toute l'édition fut mise au rabais. Aujourd'hui, c'est l'un des ouvrages de Doré les plus recherchés" (Leblanc). Ex-libris manuscrit au faux-titre : "Hadriani Seguilii". Fine mouillure en tête des premiers feuillets, percaline un peu fatiguée. Leblanc, p. 39 et suiv. ; Carteret III, p. 48 et suiv. ; Béraldi, T. VI, p. 34, n° 89 ; Brivois, p. 32; Vicaire I, 190-193. Couverture rigide
Bon XXXI-[1]-614-[1] pages, bois
Paris, Poulet-Malassis et de Broise, 1859. In-12 de (4)-177-(1) pp., percaline bordeaux, dos lisse, pièce de titre en maroquin rouge, couverture et dos conservés.
Première édition française en partie originale. Portrait-frontispice gravé à l'eau-forte par Hédouin, tiré sur Chine et 2 fac-similés de lettres de Balzac à Théodore de Banville et à l'éditeur Levavasseur. Carteret, I, 332 ; Vicaire, III, 922.
Paris, publié par J. Hetzel, 1845-1846. 2 vol. grand in-8, demi-maroquin rouge à coins, dos orné à nerfs, tête dorée, non rogné (C. Hardy).
Edition originale et premier tirage d'un des livres illustrés les plus célèbres de l'époque romantique. 212 gravures hors-texte gravées sur bois d'après Gavarni, à l'exception des 4 dernières qui sont de Bertall et plus de 800 vignettes dans le texte. Textes de Georges Sand, Frédéric Soulié, Charles Nodier, Balzac, Alphonse Karr, Gérard de Nerval, Théophile Gautier etc.Exemplaire sans le plan comme dans la plupart des exemplaires.Bel exemplaire parfaitement établi par Hardy, élève de Niédrée, qui a exercé entre 1850 et 1880.Vicaire III, 242-243 ; Brivois, 124-128 ; Carteret III, 203-207.
Paris, Claude Morlot, 1627 2 parties en un volume in-4 de 14 pp., (2) ff., 258 (mal chiffrées 330) pp., (1) f., 52 pp., vélin ivoire, traces de lacets, titre manuscrit à l'encre brune au dos, tranches nues (reliure de l'époque).
"Édition originale in-4, donnée par Claude Morlot, concurremment à son édition in-8, témoignage d'une ""offensive éditoriale très concertée"" (M. Bombart, p. 239) L'Apologie s'inscrit dans le cadre de la querelle déclenchée par la publication, en 1624, des Lettres de Balzac, dont elle vise à légitimer l'esthétique. Il s'agit initialement d'une réponse au manuscrit d'un moine Feuillant - répandue par le supérieur général de son ordre, Jean Goulu -, Conformité de l'Eloquence de Monsieur de Balzac. Son auteur, dom André de Saint-Denis, relevait divers extraits des Lettres pour dénoncer les larcins de Balzac et son manque d'originalité. Ami de Balzac, François Ogier entreprend de répondre à ces attaques. Mis au courant des intentions de son ami, Balzac prend le projet à son compte et reformule lui-même sa propre Apologie : ""M. de Balzac, parlant de cet ouvrage, disait qu'il en était le père, et qu'Ogier n'en était que le parrain; qu'il avait fourni la soie, et qu'Ogier n'avait fourni que le canevas"" (Ménage). ""Le coup de maître de Balzac, ou d'Ogier, est d'avoir précisément confisqué à leur profit cette lourde machine de guerre [la Conformité de l'Eloquence]"" (Jehasse). Confrontant les extraits des Lettres avec leurs sources supposées par André de Saint-Denis - ce texte revu et corrigé par Balzac est présenté à la fin de l'ouvrage. L'Apologie, s'appuyant sur l'apport humaniste pour mieux assurer la réussite d'un Moderne et d'un Mondain, affirme l'originalité de Balzac. Elle définit la bonne imitation par rapport au larcin et souligne que Balzac dépasse toute forme d'imitation, en s'émancipant de tout modèle. L'Apologie répond également aux attaques de Sorel dans Francion (1626), justifiant la pertinence et la propriété du style et défendant l'usage des hyperboles en rattachant l'écriture de Balzac au sublime, en référence au traité de Longin. La publication de l'Apologie avec sa dédicace dithyrambique au cardinal de Richelieu et l'Ode liminaire de Monsieur Racan, relance la polémique autour des Lettres : dès l'automne 1627, Jean Goulu répond aux attaques contre la Conformité, dans ses Lettres de Phyllarque à Ariste où il critique Balzac pour son raffinement et sa vanité d'auteur. ""Affirmation superbe de la supériorité de Balzac, l'Apologie est l'éloquent témoignage d'une société jeune, expansionniste, qui demande aux Lettre de consacrer sa puissance dans les armes. Elle traduit le renouveau moral et le sursaut nationaliste suscité par les victoires de Louis XIII et les succès d'un Richelieu […]"" (Jehasse). Très bel exemplaire en vélin de l'époque. De la bibliothèque de Messire Bernard de Noblet chevalier comte de Chenelette avec ex-libris. Mouillure marginale au coin externe supérieur sur une dizaine de pages seulement. Apologie pour monsieur de Balzac, J. Jehasse (éd.), Université de Saint-Étienne, 1977. - Beugnot, 134. - M. Bombart, Guez de Balzac et la querelle des ""Lettres"" : écriture, polémique et critique dans la France du premier XVIIe siècle, 2007."
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