Meet, 2005. 155 pages. Couverture rempliée. Broché. Traduit de l'espanol (El Salvador) par Christophe Josse. Bilingue.
Reference : R 1311
Couverture un peu salie.
Le Plaisir du Texte
M. Fabrice Sivignon
1 rue Violi
69001 Lyon
France
04 78 58 44 04
Règlement par chèque, mandat, virement bancaire ou Paypal. Prix en euros, auxquels il convient d'ajouter le coût du port. Les livres voyagent aux frais et risques de l'acheteur. Expédition dès réception du règlement.
Ginkgo 2008 Ginkgo Editeur, 2008, 286 p., cartonnage éditeur sous jaquette, illustré par Michel Guérard, avec la Carte des contrées. Bon état.
Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
1905 Grenoble (Gratier et Rey) 1905. Grand in-8,310 pages , broché, le Pasteur Eugene Arnaud, spécialiste de cette région, présente ici l'évolution des différentes contrées qui composent le Dauphiné de la préhistoire à la Gaule romaine. Même s'il axe son ouvrage sur l'évolution des peuples et sur l'évolution géographique, il n'en néglige pas pour autant les civilisations, en accordant en particulier une place importante à la civilisation gauloise.Belle carte hors-texte. bon etat dos cassé prevoir petite restauration
Ray R12*
Montbéliard sans date (vers 1817) In-8° (224 x 184 mm), [1] f. - 191 pp. (numérotées 54-241, avec le ff. 86-87 coupé et un cahier inséré portant les pages 86-87-87a-87b) manuscrites aux encres brune et noire et au crayon, cahier de papier bleu à plats cartonnés, pièce de titre laissée blanche au plat supérieur.
UNE ÉTUDE MANUSCRITE À SIX MAINS DE LA FLORE DE MONTBÉLIARD. Manuscrit de botanique inédit recensant quelque 700 espèces indigènes de la commune de Montbéliard et de ses environs. Organisé par classe et ordre, le manuscrit ne comprend que les parties sur les Monocotyledones et les Dycotiledones. La première partie consacrée aux plantes Acotyledones, mentionnée à la table, est absente (elle ne semble pas avoir été reliée). L'ouvrage débute ainsi à la page 54 avec l'espèce n°131. Il se conclut par 6 ff. de table alphabétique. Pour chaque espèce, l'auteur recense le nom scientifique, parfois le nom vernaculaire, la période de floraison ou quelques informations (« ce sont ces espèces qui, dans de certaines anées, donent à nos vins le goût qu'on appelle arneyi dans notre patois » [p. 89]), et surtout les lieux d'observation et de cueillette : « canal qui va de la rigole à la machine hydraulique » (p. 59), « vigne du Notaire Fallot » (p. 141), « en juin et juillet 1812 et 1813, il se trouvait abondamment dans les fossés des graviers ; mais depuis qu'on les a curés, on ne l'y trouve plus » (p. 78), « il n'y a pas longtemps que les apothicaires en faisaient recueillir par une femme qui est morte, sans vouloir jamais indiquer le lieu où elle croit » (p. 122)... Le botaniste s'appuie parfois sur les observations de ses prédécesseurs, citant principalement Léopold-Emmanuel et Charles-Emmanuel Berdot (auteurs d'une Enumeratio Methodica stirpium, in agro Montbelgardensi lectarum demeurée à l'état de manuscrit). Il n'hésite toutefois pas à conclure à des erreurs de leur part : « je l'ai cherchée inutilement plusieurs années de suite dans le lieu indiqué. Je présume que Berdot l'a confondu avec l'allium sphacrocephalum qui est très commun dans toute la champagne du Doubs. Il a les feuilles cylindrinques et l'al rotundum les a plates. » (p. 88) Un ouvrage ou manuscrit portant le titre Catalogue des plantes indigènes à l'ancienne principauté de Montbéliard / Bernard, directeur des jardins de S.M. le roi de Würtemberg / 1813-1825 est conservé à la bibliothèque de la Société d'Émulation de Montbéliard (091 BER (05)) ; Charles Contejean, dans sa communication du 13 août 1853 à la même société, attribue à Pierre-Frédéric Bernard un manuscrit non-daté portant le titre Catalogue des plantes indigènes à l'ancienne principauté de Montbéliard et aux contrées qui l'avoisinent. Néanmoins, Contejean mentionne dans Revue de la Flore de Montbéliard que le manuscrit en question recense 859 espèces, alors que le présent n'en comprend que 826. Il semble en tous cas s'agir d'un manuscrit de travail collaboratif. En effet, un second auteur a ajouté la table, les indications d'ordre en tête de page, un cahier de 2 ff. et une centaines d'espèces non-recensées par son collègue. Il effectue en outre de nombreuses corrections ratures, organisation du manuscrit, orthographe du nom des espèces et fait part de ses découvertes : « [Première main] Je ne l'ai observé qu'au bord de la route vis-à-vis des neufs moulins et en abondance autour du grand tilleul vis-à-vis de la porte St Pierre. En 1817 il n'y existait plus. [Deuxième main] Le printemps de 1818 on a reproduit plusieurs individus » (p. 148) ; « je l'ai trouvé en 1821 sur les bords de la Grappiotte » (p. 191). On relève enfin deux annotations d'une troisième main, pp. 191 et 199 : « en Juin M. Wetzel l'a trouvée près de Betancourt. Très rare. » Le manuscrit semble ainsi avoir été composé par un premier botaniste autour de 1817, puis être passé aux mains du second vers 1818 ; le troisième auteur a pris le relais avant la mort de Pierre-Frédéric Wetzel en septembre 1844. Trois principaux botanistes effectuent à cette période des travaux sur la flore de Montbéliard : Pierre-Fréderic Bernard (1749-1825), surintendant des jardins du roi à Stuttgard, rejoint Montbéliard en 1813 pour se consacrer à l'étude de sa flore indigène. Il fait la même année la connaissance de Pierre-Frédéric Wetzel, tanneur de profession qui, frappé par cette rencontre, se tourne vers la botanique. Selon Contejean (communication du 13 août 1853), « Tant que Bernard vécut, les deux amis se livrèrent conjointement à l'étude de nos plantes indigènes. Le docteur [Léopold Théodore] Flamand les accompagnait quelquefois dans leurs excursions. » (p. 12) C'est Wetzel qui initia à la botanique Charles Contejean (1824-1907), l'un des fondateurs de la Société d'émulation de Montbéliard. Reliure usagée, dos manquant.
Dentu | Paris 1807 | 14.2 x 22.5 cm | Relié
Très rare édition originale de la traduction française par J. Castéra : elle est illustrée, en frontispice, d'un portrait de l'auteur (cf Sabin 43417. Leclerc 756.) Tampons imprimés grattés sur le faux-titre et en fin de volume, portant la date 22 août 1878, rares rousseurs. Reliure en demi basane havane, dos lisse orné de filets, de fleurons et de roses dorés, pièce de titre basane rouge, restaurations sur le dos, plats de papier marbré comportant des décolorations marginales, un coin supérieur un peu enfoncé, reliure de l'époque. Les pages 261 à 274 contiennent un Vocabulaire de la langue algonquine et de celle des Knisteneaux et les pages 304 à 310 un Vocabulaire de la langue Chipiouyane [Chippeway]. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Paris, Carteret et chez Dentu, An VII (1799), in-8, VIII-457pp., relié papier bleu, dos lisse avec pièce de titre, , petits frottements, quelques rousseurs, pages d’index courtes en marges.
Publié à la veille de l’expédition d’Égypte de Bonaparte, cet ouvrage rare propose une étude géographique et historique des grandes régions orientales s’étendant de l’Égypte jusqu’à l’Inde. L’auteur s’appuie sur les travaux des principaux voyageurs de son époque – Norden, Pococke, Niebuhr, Savary, Volney, Tavernier, Chardin, Hodges ou encore le major Rennell – pour dresser un tableau détaillé des contrées traversées par la mythique "route de l’Inde", notamment celle suivie par Alexandre le Grand. Henry ne se contente pas d’une simple description géographique : il offre aussi un aperçu des mœurs, des coutumes et des peuples anciens et modernes ayant occupé ces territoires. L’ouvrage se présente comme un précis à la fois géopolitique et ethnographique, pensé pour informer le lecteur européen des enjeux stratégiques, commerciaux et culturels liés à cette vaste aire orientale. L’ensemble constitue un témoignage précieux du regard français sur l’Orient au tournant du XVIIIe siècle, à la croisée de la curiosité savante et des ambitions impériales. M1-Et5