Rougerie, 1970, 14 x 22,5, non paginé - sous couverture imprimée. Préface de Georges Arthur Goldschmidt. Un des 250 exemplaires sur Alfa-Mousse Navarre de l'EDITION ORIGINALE - après 15 exemplaires sur vélin Richard de Bas.
Reference : LITT6587230112
Couverture salie et insolée.
Le Plaisir du Texte
M. Fabrice Sivignon
1 rue Violi
69001 Lyon
France
04 78 58 44 04
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Bruxelles : Nouvelle revue Belgique, 1943. Un volume 14,2x21,1cm broché de 254 pages. Envoi autographe signé de Henry Poulaille.
Couverture souple. Quotidien 31 x 42 cm. 32 pages.
Périodique. Le quotidien de Paris, 29 novembre 1979.
Imp. Fournié. 1974. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Agrafes rouillées, Intérieur acceptable. Paginé de 265 à 312 - pages agrafées - légère rousseurs sur les plats - quelques annotations au crayon à papier à l'intérieur de la revue ne gênant pas la lecture. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
"SOMMAIRE:Editorial - L'usure du quotidien: une affaire de tempérament profond? J. Feller - L'humour et le quotidien M.C Chain - Garder l'esprit d'enfance S.M Viau- Perdre sa vie B.M Chevignard - Le cinéma et l'usure de la vie P. Demoor - Voir ce que l'on voit : le ""quotidien"" J.M Pelfrène - Invitations à la prière pendant le caréme P. Raffin - Lectures R. de Tryon Montalembert - Retraites et sessions - la vie de laRevue H. Rouquette - ""Libère mon peuple !..."" conférence du Père Malley aux Journées régionales des Fraternités dominicaines Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues"
Rennes, Apogée, 2006, in-8 br. (15,5 x 23), 255 p., très bon état.
A la Libération en 1944, la renaissance de la presse bretonne s'accomplit sans qu'un quotidien de gauche ne parvienne à s'imposer. Après l'échec du quotidien socialiste breton La République Sociale, les communistes de l'Ouest relèvent le gant et se lancent dans l'aventure avec la parution à compter de novembre 1948, dans les cinq départements de la Bretagne historique, d'un «grand quotidien régional d'information et de défense républicaine» ayant pour titre Ouest-Matin. Le défi est de faire entendre une autre voix dans le paysage journalistique breton qu'il s'agisse des questions de politique nationale et internationale, de la laïcité ou des luttes sociales. Il lui faut aussi se faire admettre dans une région dominée par la démocratie chrétienne et le rival Ouest-France qui en est l'expression. C'est pourquoi les communistes imaginent une stratégie originale en faisant alliance avec le courant chrétien progressiste et en confiant la direction politique du quotidien à un de leurs représentants, le catholique Henri Denis, professeur d'économie politique à la faculté de droit de Rennes. Toutefois, happé par les affrontements idéologiques de la guerre froide, condamné par l'Eglise qui interdit dès 1949 aux catholiques bretons de le lire, confronté à des difficultés financières, le journal cesse de paraître en juin 1956.. Cet ouvrage relate pour la première fois l'histoire de ce journal, son origine, ses combats, ses engagements dans une époque qui est aujourd'hui révolue mais dont les débats politiques et idéologiques ne sont pas sans résonances contemporaines.. Voir le sommaire sur photos jointes.
PUF, 1972, 2 vol. pt in-4°, xii-1352 pp, préface de Pierre Renouvin, pagination continue, 95 pl. de gravures hors texte, cartes, graphiques en couleurs dépliants, biblio, index, reliures cuir bleu de l'éditeur, dos lisses avec titres et tomaisons dorés, jaquettes illustrées, sous étuis carton, bon état. Édition originale et seule publiée
Tome I : « La Société du Petit Parisien », entreprise de presse, d'éditions et de messageries (p. 1 à 650). – Tome II : « Le Petit Parisien », instrument de propagande au service du régime (p. 651 à 1352). — "La thèse de doctorat de Mlle Amaury aborde un cas particulier de l'histoire de la presse : celui d'un quotidien à un sou, rédigé pour les masses et adopté par elles, s'assurant ainsi un tirage longtemps inégalé ainsi qu'une influence politique incomparable. Son ouvrage utilise les archives juridiques et financières de l'entreprise demeurées intactes dans l'ensemble et dont la substance est donnée au lecteur par de nombreux graphiques et cartes. On sait la rareté de semblables fonds ; d'où l'intérêt du travail. Le Petit Parisien naît en 1876. Les Républicains voulaient gagner les couches populaires au nouveau régime. Le Petit Journal avait déjà réalisé le modèle d'un quotidien populaire à large diffusion, mais il ne leur était pas favorable. D'où plusieurs tentatives pour lui susciter un rival à un sou, dont la formule permit d'atteindre le vaste public qui n'achetait pas les journaux polémiques. Fondé sous des influences maçonniques communes aux radicaux et aux opportunistes, le journal dériva rapidement vers une direction centre-gauche qui s'efforçait de pousser Jules Simon contre Gambetta. En janvier 1879, avec un tirage de 30.000 exemplaires vendus surtout à Paris, il tenait une place honorable sans plus. C'est alors qu'il passe au radicalisme sous la direction de Piégu, médiocre administrateur, mais grand journaliste. Désormais son tirage croît en flèche ; c'est le second de France à la fin de 1886. La crise boulangiste précipite son ascension. De Paris, il conquiert la province. En 1890, il tire à 350.000. C'est au cours de cette période décisive que Piégu meurt prématurément en 1888. Jean Dupuy devient alors le maître du journal et le restera jusqu'à sa mort en 1919, remplacé par ses fils Paul, puis Pierre jusqu'en 1944. En 1902, le tirage passe le million et en 1917 le deuxième million d'exemplaires (l'apogée) est dépassé légèrement. Réussite extraordinaire, le Petit Parisien est devenu le premier quotidien français, l'un des plus grands du monde..." (Louis Girard, Revue belge de philologie et d'histoire, 1975)