‎PROUDHON Pierre-Joseph‎
‎Les majorats littéraires‎

‎Les Majorats Littéraires‎

‎Dentu.1863.2ème édition.In-8 demi-relié.262 p.BE.Couv.conservées.Demi-chagrin avec caractères dorés.‎

‎Les Majorats Littéraires‎

‎Paris.Librairie Internationale.1868.Petit in-8 br.327 p.non coupées.BE.Qques rousseurs.‎

‎Oeuvres complètes de P.-J. Proudon, tome XVI. Les Majorats littéraires. Examen d'un projet de loi ayant pour but de créer, au profit des auteurs, inventeurs et artistes, un monopole perpétuel. - La Fédération et l'unité en Italie. - Nouvelles observations sur l'unité italienne. - Les Démocrates assermentés et les réfractaires‎

‎Paris-Bruxelles-Leipzig-Livourne, A. Lacroix, Verboeckhoven [Imprimerie L. Poupart-Davyl], 1868 in-12, [2] ff. n. ch., 328 pp., broché sous couverture jaune imprimée, non coupé. ‎

‎Reprise du texte de la deuxième édition de 1862 pour le premier titre. La première édition était parue en 1862 à l'adresse de Bruxelles. Il s'agit là de l'un des textes les plus intéressants de Proudhon, qui réagit aux propositions du Congrès de Bruxelles de 1858 sur la propriété littéraire et artistique, ayant pour but de traiter la question des droits d'auteur et de la propriété intellectuelle. Opposé à la "perpétuité du privilège littéraire", en conformité avec ses vues sur la propriété matérielle, le théoricien aborde des questions qui n'ont pas encore actuellement trouvé de solution satisfaisante."L'oeuvre intellectuelle n'est point une propriété comme une terre, comme une maison, et elle ne donne pas naissance à des droits semblables". ‎

‎Les Majorats littéraires. Examen d'un projet de loi ayant pour but de créer, au profit des auteurs, inventeurs ou artistes, un monopole perpétuel. Deuxième édition‎

‎Paris, E. Dentu [Imprimerie Vallée], 1863 in-12, [2] ff. n. ch., 262 pp., demi-chagrin havane, dos à nerfs orné de caissons à froid, tête mouchetée (reliure de l'époque). Charnière supérieure frottée, très abondantes rousseurs.‎

‎La première édition était parue en 1862 à l'adresse de Bruxelles. Un des textes les plus intéressants de Proudhon, qui réagit ici aux propositions du Congrès de Bruxelles de 1858 sur la propriété littéraire et artistique, ayant pour but de traiter la question des droits d'auteur et de la propriété intellectuelle. Opposé à la "perpétuité du privilège littéraire", en conformité avec ses vues sur la propriété matérielle, le théoricien aborde des questions qui n'ont pas encore actuellement trouvé de solution satisfaisante."L'oeuvre intellectuelle n'est point une propriété comme une terre, comme une maison, et elle ne donne pas naissance à des droits semblables".Précieux exemplaire du célèbre dramaturge et romancier Ludovic Halévy (1834-1908), avec chiffre doré poussé en queue du dos. C'est lui qui est l'auteur des surcharges manuscrites (au crayon de bois) qui émaillent le texte. Voilà une provenance qui interroge de la part du librettiste léger de La Belle Hélène, de La Vie parisienne, de La Grande-duchesse de Gerolstein, etc. Cependant, le sujet abordé par le réformateur social concernait directement son activité littéraire et ses possibilités de rémunération (ce ne sera d'ailleurs qu'en 1867 que le développement de sa carrière littéraire prit un tour suffisamment favorable pour lui permettre de quitter l'administration où il travaillait depuis 1852). ‎

‎Les Majorats littéraires. Examen d'un projet de loi ayant pour but de créer, au profit des auteurs, inventeurs ou artistes, un monopole perpétuel. Deuxième édition‎

‎Paris, E. Dentu [Imprimerie Vallée], 1863 in-12, [2] ff. n. ch., 262 pp., demi-chagrin noir, dos à nerfs orné de filets et caissons à froid, tranches mouchetées (reliure de l'époque). Rousseurs.‎

‎La première édition était parue en 1862 à l'adresse de Bruxelles. Un des textes les plus intéressants de Proudhon, qui réagit ici aux propositions du Congrès de Bruxelles de 1858 sur la propriété littéraire et artistique, ayant pour but de traiter la question des droits d'auteur et de la propriété intellectuelle. Opposé à la "perpétuité du privilège littéraire", en conformité avec ses vues sur la propriété matérielle, le théoricien aborde des questions qui n'ont pas encore trouvé de solution satisfaisante."L'oeuvre intellectuelle n'est point une propriété comme une terre, comme une maison, et elle ne donne pas naissance à des droits semblables".Vignette ex-libris d'Émile Miguet "parisien". LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎