‎Prévert Jacques - Georges Ribemont- Dessaignes ‎
‎Georges‎

‎Vence Galerie Chave 1963 In 8 en feuilles. Poème inédit de Jacques Prévert écrit en Hommage à Georges Ribemont- Dessaignes pour ses 80 ans, suivi de la réponse de celui-ci « A mes amis ». Edition illustrée de deux lithographies de Georges Ribemont-Dessaignes, une signée et une monogrammée. Tirage limité à 150 exemplaires numérotés, un des 130 sur Rives celui-ci enrichi d'un envoi de Jacques Prévert‎

Reference : 1520190418


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‎VAESEN (J.) et VINGTRINIER (Joseph) et POIDEBARD (Georges)‎

Reference : 10460

(1900)

‎Une commune du Lyonnais, Ecully. Son histoire depuis les temps les plus reculés jusqu'à nos jours. D'après les notes et documents recueillis par Georges Poidebard. Avec de nombreux portraits, vues et gravures‎

‎Lyon, Imprimerie M. Paquet, 1900. 1070 g Grand in-8, demi chagrin havane, dos orné à nerfs, tête dorée, couvertures conservées, 374 pp., gravures hors-texte, figures in et hors-texte. Ouvrage tiré à 500 exemplaires. Des rousseurs. . (Catégories : Lyonnais, )‎


Phone number : 06 17 93 27 81

EUR90.00 (€90.00 )

‎LEFÈVRE (Genevieve).‎

Reference : 55288

(1994)

ISBN : 9782903716462

‎Georges Labit, un globe-trotter toulousain, 1862-1899.‎

‎ Editions Daniel Briand, 1994, in-8°, 319 pp, 91 gravures et photos, une carte, repères chronologiques, sources et biblio, broché, couv. illustrée, bon état‎


‎Grand voyageur de la fin du XIXe siècle, Georges Labit rapporta des réflexions originales sur les pays parcourus, et des objets témoins d'autres civilisations, présentés dans le musée tout à fait insolite qu'il créa à Toulouse. – Il reste surtout connu pour avoir été un grand voyageur devant l’Eternel. Et si sa passion pour les voyages l’a conduit dans différentes parties du monde (Scandinavie, Europe centrale, Afrique du Nord, etc.), il fut, avec Émile Guimet, l’un des rares aventuriers français à avoir visité l’Extrême-Orient et notamment le Japon sous l’ère Meiji et en avoir rapporté suffisamment de souvenirs de valeur pour leur faire prendre place dans des musées qui portent leur nom. Et si le Musée Guimet de Paris est bel et bien le plus connu des musées français pour les arts asiatiques en général et l’art japonais en particulier, le Musée Georges Labit prouve lui aussi qu’un Toulousain s’intéressa grandement à ce pays mêlant déjà ancienneté, longue histoire et traditions à une modernité naissante et menée tambour battant. Un musée qui mérite incontestablement le détour pour la variété et la qualité de sa collection d’objets d’art asiatiques. Sa mort reste aujourd’hui encore un mystère. — "La rumeur populaire ne s’embarrasse pas de délicatesse. Et en février 1899, à Toulouse, pour expliquer la mort de Georges Labit, fils du très fortuné Antoine Labit, on murmure qu’une maîtresse éconduite lui a tout simplement « coupé… son nom ». Une thèse de l’émasculation, parfaitement fantaisiste, mais qui vient combler l’absence d’explication officielle sur la brusque disparition d’un homme de 37 ans, notable apprécié de ses concitoyens, dont le mariage devait être célébré quelques jours plus tard. Sa fin ne sera jamais élucidée. Après son enterrement, son père s’oppose à toute enquête... Fait encore plus étrange, dans les jours qui suivent les faits, aucune autorité officielle n’insistera pour tirer au clair les circonstances du décès. La rumeur, toujours elle, s’empare alors de l’affaire. Bientôt, dans la ville, les hypothèses vont se multiplier quant à la cause réelle du décès de Georges. Une d’entre elle affirme que Labit a été terrassé à l’angle de la rue Bayard d’un coup de flèche empoisonnée ! L’auteur du meurtre, prétendent des proches de la famille, serait un certain Georges Sicard, frère d’une maîtresse abandonnée. Une vendetta familiale sur fond de romance qui n’a jamais trouvé une quelconque confirmation. En revanche, peu de temps après la mort de Georges Labit, son père, Antoine, fouille consciencieusement les archives de son fils. Il en retire ou découpe de nombreux documents. Les archives de Georges sont aujourd’hui encore conservées et attestent de cet étrange comportement. Antoine voulait-il cacher quelque chose ? Ce quelque chose avait-il un rapport avec la mort de son fils ? Difficile de répondre. Mais, une chose est sûre : tout au long de sa courte existence, Georges a entretenu des rapports particulièrement conflictuels avec son puissant père. Une quinzaine d’années plus tôt, ce dernier a d’ailleurs intenté une action en justice pour mettre son fils sous tutelle. Antoine reproche à Georges ses dépenses : la loi va lui donner raison et totalement assujettir Georges au bon vouloir de son père. La part de fortune venant de sa mère décédée lui est confisquée et confiée à Antoine Labit… Sombre histoire familiale, révélatrice de l’autorité d’un père qui ne tolère aucune rivalité. Issu d’une lignée de commerçants, Antoine a débuté sa prodigieuse ascension dans un bazar de la rue Saint-Rome. Rapidement, son sens des affaires lui permet d’ouvrir un nouveau magasin, nettement plus vaste, à l’angle des rues Lafayette et Alsace- Lorraine. Intitulé « La Maison universelle », ce grand magasin devient en quelques années le commerce le plus fréquenté de la ville. On y trouve de tout et Antoine engrange d’importants bénéfices qu’il réinvestit dans l’édification d’un vaste patrimoine immobilier. Quand Georges naît en 1862, il est déjà un des hommes les plus riches de Toulouse. Ses affaires dépassent le cadre de la cité. Connu à Paris, il en profite pour envoyer Georges parfaire ses études auprès d’un négociant en 1881. Le jeune homme a 19 ans et mène une vie de fils prodigue qui lui vaut sa mise sous tutelle. Une relation orageuse s’installe alors avec son père. Georges part quelques temps plus tard à Vienne pour parfaire son apprentissage du commerce. Trois ans plus tard, il rentre à Toulouse. Les relations avec Antoine se sont améliorées. Celui-ci consent à le charger d’une mission de prospection commerciale. Désormais, Georges parcourra le monde pour ramener au « Magasin Universel » des produits de tous les pays. En quelques années, il écume l’Europe, La Laponie, L’Afrique du Nord, la Chine, le Japon. Fasciné par les contrées qu’il traverse, le commerçant devient ethnologue. En plus des produits pour le magasin familial, il ramène des centaines de témoignages et d’objets des peuples qu’il visite. Ses connaissances l’amènent à devenir correspondant de la prestigieuse Société géographique de Toulouse. Il collabore à divers journaux et publie des reportages et des photographies sur ses voyages. Les années passent entre affaires et voyages. Devenu un notable toulousain, il est en 1894 le représentant de la ville de Toulouse aux funérailles du tsar de Russie, Alexandre III. En 1893, il inaugure un musée, financé par son père. L’endroit est dédié aux nombreux objets ramenés de ses voyages. Dans le même temps, peu à peu, son père consent à lui donner une part plus importante dans la gestion de ses affaires. Georges annonce même à un père réjoui son intention de se marier. L’époque des crises semble définitivement passée. A quelques jours de son mariage, le drame survient. Antoine restera inconsolable de la perte de son fils. Peut-être pour préserver l’honneur de sa mémoire, il ne souhaita pas que les causes de sa mort soient rendues publiques. Le mystère reste entier." (Philippe HUGON, « La Dépêche » 23 août 2001) — Le livre nous éclaire de façon très intéressante et parfois même amusante sur ce qu’était le Japon de cette époque ainsi que sur la présence étrangère. Ou du moins de ce que Georges Labit et son compagnon de voyage, un certain M. de Montreuil, en ont perçu. En voici un extrait : « Le port de Yokohama. – La traversée bord du Djemnah s’achève à Yokohama, le vaste entrepôt commercial de l’Empire. Le paysage est moins riant qu’à Kobé et la concession à l’air d’une banale ville de province anglaise, avec ses maisons blanchies à la chaux. Les riches hôtels américains qui n’ont rien emprunté au Japon, les magasins semblables à ceux de Londres ou de New-York et d’affreux bars où l’on débite du gin, whisky, cocktails, font oublier aux voyageurs l’éloignement de l’Occident. La livre sterling, aussi universelle que la langue anglaise, est acceptée dans tout le Japon, alors que la monnaie française s’échange uniquement à Yokohama contre des yens japonais, et encore, à un change très défavorable. La ville se divise en quatre parties principales : la ville européenne au bord de la mer, le Bluff sur la colline, la ville chinoise et la ville japonaise. Le Yokohama européen compte cinq mille habitants. Les plus nombreux sont les Anglais, dans le haut commerce et la banque, concurrencés par les Américains du nord et loin derrière, on recense seulement quatre-vingt cinq Français, en comptant le personnel du consulat et de l’agence des Messageries Maritimes. Chaque communauté forme une société avec ses intérêts à part. Depuis l’ouverture des ports du Japon, les commerçants et banquiers occidentaux qui ont fait fortune se sont fait construire de superbes maisons de plaisance sur la riante colline du Bluff – quartier qui est à Yokohama ce que Saint-John’s Wood est à Londres et Passy à Paris – où flottent des pavillons de différentes nationalités. Les Chinois sont aussi nombreux que tous les étrangers réunis. Ils ont des emplois de caissier ou de comptable dans les grandes maisons de commerce et de crédit ou font « la petite banque, le petit négoce » en vendant meilleur marché que les Européens. Comme toutes les villes chinoises, leur quartier, fait d’un amas de constructions mal bâties, se sent de loin… Ce centre pestilentiel regorge de maisons de jeux et de bouges fréquentés par la population interlope de Yokohama et par les marins de passage. La ville japonaise, très étendue, contraste par la propreté de ses belles rues bordées de maisons de bois sans la moindre peinture, « de vrais joujoux de chalets suisses » aux vitres en papier translucide. Dans la journée, on fait coulisser les unes sur les autres leurs façades légères en sapin, de sorte que l’on voit tout ce qui se passe à l’intérieur. Extrêmement inflammables, ces habitations sont à la merci de la moindre étincelle capable de réduire en cendre tout un quartier. En 1876, douze mille incendies ont anéanti près de quarante cinq mille maisons dans le pays. Les bâtiments qui échappent aux incendies risquent d’être démolies par les tremblements de terre si fréquents au Japon. C’est pourquoi il est rare qu’un Japonais naisse, vive et meure sous le même toit, sauf à la campagne où l’on trouve encore des constructions anciennes. » ‎

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‎VIGNEAULT, GILLES ---- ARCHIVES GILLES VIGNEAULT : Collection Georges Beaulieu. ‎

Reference : 4103

‎Documents d’archives concernant le poète, écrivain, conteur et auteur-compositeur-interprète québécois, né à Natashquan en 1928. ---- Lot de manuscrits, tapuscrits, photographies, correspondance et imprimés provenant de son mentor, l’abbé Georges Beaulieu (1907-1984), responsable de la culture et professeur de français et philosophie de Gilles Vigneault au Séminaire de Rimouski de 1942 à 1950. C’est grâce à lui qu’il a pu s’affirmer et dire à la face du monde qu’il était poète. Il est demeuré un ami fidèle comme l’attestent les documents qu’il a conservés jusqu’à son décès et qui ont été récupérés par un étudiant du Cégep de Rimouski, Steeve Dumais.‎

‎A) ŒUVRES LITTÉRAIRES. – Poésies. 1947-1970. ----------1- « Ceux qui restent ». Tapuscrit daté « Rhétorique 1947-48 ». Corrigé et annoté par le professeur Georges Beaulieu. 1 page in-4. ----------2- « Pour étancher » et « Nostalgie ». 2 poèmes tapuscrits datés « Philo I 1948-49 ». Corrigés et annotés par le professeur Georges Beaulieu. 1 page in-4. ----------3- « Cris d’une âme vers la lumière », « Lead, kindly Light » de J. Henry Newman (16 juin 1833). Poème traduit et mis en vers par Gilles Vigneault, 30 avril 1949. Tapuscrit de 1 page in-4 avec une correction. ----------4- « Confidence à la Vierge ». Manuscrit à l’encre noire, corrigé et raturé. Signé Gil Vigno, daté du 7 décembre (1949). 1 page in-folio et 1 page in-4. Traces de plis avec une fente de 3 cm à un pli. ----------5- « Prière d’enfant! À Jésus ». Manuscrit à l’encre bleue, corrigé et raturé. Signé Gilles Vigneault, daté « 14 déc. 1949 Natashquan ». Traduction de « Ex ore infantium », poème de Francis Thompson, 1895, mis en vers par Gilles Vigneault. 1 page grand in-folio. Traces de plis avec au verso un ruban gommé à un pli pour rallonger le feuillet. ----------6- « Paysage ». Tapuscrit avec dédicace manuscrite : « À l’abbé Georges Beaulieu, en vieille amitié ». Poème écrit pour le cours de français, non daté. 1 page in-4. ----------7- « Paysage ». Tapuscrit avec dédicace manuscrite : « en toute amitié (a été oublié) ». Copie du précédent, différent par la dédicace. 1 page in-4. ----------8- « Paysage ». Tapuscrit en bleu monté sur carton avec une dédicace manuscrite de Gilles Vigneault : « À M. Beaulieu, parce qu’il comprend les humains ». Signé « G. V. Philo II 1950 », avec une note à l’encre rouge du professeur Beaulieu : « Il me semble que ce texte demeure trop personnel […] Ce texte décrit la demeure de ma famille et la rivière et les alentours. G. B.». Retranscription des précédents avec variantes et corrections. 1 page in-4. ----------9- « N’avoir été que "Mascarille" ». Tapuscrit monté sur carton avec une dédicace manuscrite : « À l’abbé Beaulieu ». Signé Gilles Vigneault, avec au bas du poème la note : « Après avoir joué Mascarille dans les Précieuses, en Philo I ». Non daté (1948?). Court poème à la façon de Molière écrit pour saluer son mentor. Initiales G. B. ptr. à la toute fin du document. 1 page in-18. ----------10- « Hommage ». Tapuscrit (photocopie) avec corrections. Poème non daté, signé Gil Vigno. Note manuscrite au crayon au verso du second feuillet : « Probablement pour souligner les 50 ans de vie religieuse de sa tante Éva ». 2 pages in-4. ----------11- « Le Mot ». Tapuscrit du monologue de 128 vers de Gilles Vigneault. 4 pages in-4, non daté (1961), avec en tête cette note manuscrite de Georges Beaulieu à un tiers : « Il faudra me le remettre! Écrit après qu’on se fut scandalisé de l’expression "le cul s’u l’bord du Cap Diamant […]" G. B. Lis-ça bien précieusement! ». Suivi d’un texte tapuscrit, 1 page in-4, de Gilles Vigneault, professeur : « sur la défense de tous les Jos Monferrand du monde et à la mémoire de nos pères qui dans leur santé de parlure savaient dire cul-de-sac […] Imprimatur : François Villon. Nihil obstat : Rabelais ». ----------12- Sans titre : « Après 60 ans de vaillance » (incipit). Tapuscrit (photocopie) d’un poème de Gilles Vigneault à l’occasion des Noces de Diamant, août 1970, de l’abbé Georges Beaulieu. ----------13- Sans titre : Maquette d’un recueil de poésie en préparation pour l’édition. Relique estudiantine contemporaine aux recueils intimes « Mon bateau d’aurore », 1947, et « Algues, 1951, préparés avec l’aide de Georges Beaulieu. Contient 53 poèmes tapuscrits répartis sur 60 pages formant 49 feuillets in-folio (22 x 18 cm) sur papier crème Victory Bond Howard Smith. Daté 1947-1950, en très bel état. L’ensemble contient 29 poèmes inédits, dont 2 traductions, 2 poèmes en anglais, 22 poèmes avec variantes (3), copies carbones (6), tapuscrits originaux en doublons (13). Les inédits sont : 1) « Ballade des jours passés au collège ». 2) « Présage ». 3) « Pour Hubert ». 4) « Cris d’une âme vers la lumière » (traduction de « Lead, kindly Light » de J. Henry Newman, 1833. 5) « Ora pro me ». 6) « Poème chinois pour une aimée ». 7) « Nostalgie ». 8) « Mer ». 9) « Sylphides I ». 10) « Sylphides II ». 11) « Sylphides III ». 12) « Pluie ». 13) « Tristesse ». 14) « Servitude ». 15) « Reproche ». 16) « Alors ». 17) « Confidence à la vierge ». 18) « Pour la Vierge ». 19) « Étais-tu fatigué des fois » (incipit). 20) « Ami, je viens boire au ruisseau » (incipit). 21) « Berges de L’autrefois ». 22) « Oui Germaine » (incipit). 23) « Réveil de berger ». 24) « Beau mensonge ». 25) « Vilanelle ». 26) « Trouée ». 27) « Au fonds des lacs noirs (incipit). 28) « Prière d’enfant à Jésus » (traduction de « Ex ore infantium » de Francis Thompson, (1895). 29) « Visions de retour ». Les poèmes « Berges de L’autrefois » et « Visions de retour » apparaissent dans le recueil « Mon bateau d’aurore ». Le poème « Tristesse » apparaît dans le recueil « Algues ». Ensemble en feuilles sans couverture. ----------- Prose. 1992 - ----------1- « Hommage de Gilles Vigneault à sa mère ». « À Jacqueline ». Tapuscrit avec corrections (photocopie). Non signé, daté « Pointe-Parent, 29 février 1992 ». 4 pages in-4, avec une photocopie du « Supplément à l’Église canadienne », vol. 25, no 5, 2 avril 1992, page S72. « Centenaire de Mme Landry-Vigneault », article de Jean Fortin, O. M. I., ancien missionnaire de Pointe-Parent, où il reprend en partie les lignes de Gilles Vigneault dans l’hommage à sa mère. --------------------B) CORRESPONDANCE ET PAPIERS PERSONNELS. – 1958-1973. ----------1- Lettre autographe signée « Gilles » à « Monsieur Georges. Québec, 26 septembre 1958, après le conventum ». 2 pages in-folio. [ L’auteur narre à son correspondant ses activités à Québec concernant l’Association des Étudiants de la Côte-Nord, le Comité Culturel de l’école Technique, la revue Émourie, « l’Arlequin une nouvelle boîte où je ferai du monologue en vers », c’est dans ce café, le 5 août 1960, qu’il a chanté sur scène pour la 1ère fois, avec la très célèbre chanson « Jos Monferrand ». Il lui fait part brièvement de l’Université Laval, de la Troupe des 13 et de sa conférence à Montréal le 16 octobre devant les poètes canadiens ]. ----------2- Lettre autographe signée « Gilles » à « Cher M. Tit-Georges ». Sans lieu, le 28 juillet 1973. 1 page in-4 au recto de « La Chanson des neufs couplets ». Paroles Gilles Vigneault, musique Gilles Vigneault et Gaston Rochon, commencée fin juin, terminée le 13 juillet 73. Tapuscrit avec 4 corrections manuscrites. [ Courte lettre de regrets où le poète offre sa toute dernière chanson ]. ----------3- Lettre autographe signée « Gilles » à « Chers Amis ». Sans lieu ni date. 1 page in-12 sur carte de nouvelle année. [ « Bonne santé! Pensé à vous souvent en tournée française […] 37 villes, 37 salles pleines. Salut Tit-Georges. Salut Tit-Nand »]. ----------4- Lettre autographe signée « Votre vieux Gilles » à « Mon cher M. Georges ». Québec, sans date (vers 1951). In-folio d’une page polycopiée à l’encre sépia, tirée à 4 exemplaires. Remerciement pour l’aide monétaire et pour le support moral. ----------5- Lettre autographe signée « Gilles » à M. Ti-Georges Beaulieu ». Québec, sans date (vers 1958). 2 pages in-folio polycopiées à l’encre sépia, tirées à 2 exemplaires avec leurs acétates, imprimés en bleu. Bonne lettre où Gilles Vigneault aborde les sujets du don au Prêt d’Honneur et de sa prochaine animation à la télévision. ----------6- Document autographe signé G. B. sur carte en l’en-tête de « Le Prêt d’Honneur, Séminaire de Rimouski », au sujet du « Cahier de classe 1946-47 ». Une notice à propos du portrait de Gilles Vigneault par un confrère en page 17. 2 pages in-18. ----------7- Document autographe signé G. B., où il raconte le passage de Gilles Vigneault : « Le 26 septembre 1958, Gilles s’arrête chez-nous avec un confrère. Il s’accoude au parapet du pont un instant, rêve et de Québec, m’envoie le poème « "Paysage" » (cf. : pièces 6, 7 et 8 de la série « poésie »). 1 page in-12. ----------8- Document autographe non signé, non daté. Note no 4 pour « Photo de couverture Vigneault et la mer, et page 35 ». Petit papier 7,5 x 21,5 cm. ----------Correspondance sous chemise titrée « Lettres de Gilles Vigneault ». --------------------C) ICONOGRAPHIE. – 1935?-1972. ----------1- Photographie noir et blanc (18,8 x 24,4 cm), montée sur carton, non datée (1960?). Nom de l’ancien propriétaire de cette collection, Steeve Dumais, au verso. [ Gilles Vigneault sur l’estrade du Séminaire de Rimouski s’adressant aux collégiens ]. ----------2- Photographie noir et blanc (20 x 24,9 cm), montée sur carton, signée « Gilles Vigneault » au coin gauche inférieur, datée au verso du 26 octobre 1960. Nom de Steeve Dumais au verso.. [ Gilles Vigneault avec Félix Leclerc dans les coulisses de la salle des fêtes du Séminaire de Rimouski ]. ----------3- Photographie noir et blanc (10 x 7,7 cm), non datée (26 octobre 1960). Nom de Steeve Dumais au verso. Perte de 2,5 cm au bas de l’épreuve. [ Portrait de Gilles Vigneault tiré de l’épreuve précédente ]. ----------4- Photographie noir et blanc (12,5 x 7,7 cm), non datée (26 octobre 1960). Nom de Steeve Dumais au verso. [ Portrait de Gilles Vigneault ]. ----------5- Photographie noir et blanc (7,2 x 17,6 cm), non datée (26 octobre 1960). Nom de Steeve Dumais au verso. [ Gilles Vigneault avec un groupe de 5 finissants du Séminaire ]. ----------6- Photographie noir et blanc (12,4 x 17,6 cm), non datée (26 octobre 1960). Inscription à l’encre « G. Vignault [sic] » dans la marge inférieure. Nom de Steeve Dumais au verso. [ Portrait de profil de Gilles Vigneault avec un admirateur ]. ----------7- Photographie noir et blanc (17,6 x 12,2 cm), non datée (26 octobre 1960). Nom de Steeve Dumais au verso. [ Portrait de profil de Gilles Vigneault tiré de l’épreuve précédente ]. ----------8- Photographie noir et blanc (12,2 x 17,6 cm). Au verso; cachet du photographe Serge Cantin, nom de Steeve Dumais et l’inscription à l’encre : « M. Gilles Vigneault (poète), M. Fleury (peintre), février 1962 Rimouski ». ----------9- Photographie noir et blanc (18 x 23,9 cm), non datée (septembre 1967). Épreuve promotionnelle de l’Olympia de Paris montrant Bruno Coquatrix, Gilles Vigneault et Gaston Rochon (pianiste). Nom de Steeve Dumais au verso et inscription à l’encre : « À Paris, avec M. Coquatrix, prop. de L’Olympia. . ----------10- Photographie noir et blanc (30,3 x 19,9 cm), datée du 10 septembre 1967. Au verso; signature du photographe (Marc) Kunstlé, nom de Steeve Dumais, l’inscription « Sur la scène de l’Olympia » et le cachet de « Paris-Match ». ----------11- Photographie noir et blanc (30,3 x 19,9 cm), datée du 10 septembre 1967. Au verso; signature du photographe (Marc) Kunstlé, nom de Steeve Dumais et le cachet de « Paris-Match ». [ Portrait de Gilles Vigneault ]. ----------12- Photographie noir et blanc (20,2 x 25 cm), non datée (1967?). Au verso; nom du photographe Marc Kunstlé masqué d’un ruban gommé, inscription au crayon « Le Chansonnier Gilles Viniaud [sic], Québec » et le cachet « Hydro-Québec ». [ Gilles Vigneault devant le barrage de la Manicouagan ]. ----------13- Photographie noir et blanc (25,2 x 20,3 cm), non datée. Portrait d’artiste de Gilles Vigneault avec au verso le cachet du Studio Donald de Ste-Foy et la mention du propriétaire précédent, Steeve Dumais, au crayon. Traces de mouillures au verso. ----------14- Affiche en couleurs du spectacle « Le Pas du portageur » à Montréal au Théâtre du Nouveau-Monde. Signée au verso « Gilles Vigneault », suivi de son adresse à Saint-Placide. In-plano 28 x 21,5 cm. ----------15- Affiche montrant Gilles Vigneault, imprimée en noir, blanc et orangé (59,8 x 39,3 cm). Réalisée pour la promotion de la réédition du 33 tours éponyme en France, sous l’étiquette L’Escargot qu’il vient de fonder en 1968, distribution CBS Disques. In-plano, tirée chez Imp. Sygma, pliée, très bel état. ----------16- Carte postale photographique en noir et blanc (8,7 x 13,9 cm) montrant une vision de nuit des clochers du Séminaire de Rimouski. Sans lieu, non datée et sans éditeur. Verso muet. Très bel état. ----------17- Dessin au crayon (9 x 5,5 cm) signé O. L. Dessiné au verso d’une portion d’enveloppe kraft à l’en-tête O.H.M.S., adressée à Ozias Leduc à St-Hilaire STN., avec oblitération postale à Ottawa le 17 août 1935. Monté sous passe-partout (21 x 13,6 cm) cartonné avec, au verso, la note : « À Monsieur Beaulieu, bien amicalement, Louis Pelletier ». [ Petit dessin de la main du grand peintre Ozias Leduc montrant une ouverture sur une abondante frondaison ]. Bel état. ----------18- Caricature de Gilles Vigneault par Serge Chapleau parue dans « L’Actualité » le 18 mars 1972. [ Coupure de presse en couleurs (31 x 26,5 cm) avec, au verso, un ruban gommé de part en part]. ----------19- Portrait de Gilles Vigneault paru dans les pages centrales de « Échos Vedettes » du 6 novembre 1965. [ Coupure de presse pliée formant affiche (58 x 39 cm) noir et blanc ]. ----------20- Portrait de Gilles Vigneault, photo de Paul Gélinas, utilisé pour la couverture du programme « Une soirée de chansons avec Gilles Vigneault ». [ Litho offset noir et blanc (17,3 x 22,5 cm) montée sur carton (26,6 x 34 cm) ]. ----------21- Coupure de presse de Gilles Vigneault et Monique Leyrac interviewés à Paris à leur retour du « Festival de Sopot ». [ Coupure de presse (34 x 10 cm) de 4 photos parues le 27 novembre 1965 dans « Échos Vedettes » ]. ----------22- Jeu de 9 photocopies de portraits de Gilles Vigneault, dont l’une avec Félix Leclerc. [ Formats divers : 8 x 4,5 cm à 25 x 11 cm. Ensemble sous enveloppe titrée « Photos Gilles Vigneault », portant le cachet du photographe Serge Cantin ]. --------------------D- IMPRIMÉS. – 1949-1993. ----------1- La Dernière escale. Album souvenir des finissants du Séminaire de Rimouski, année 1949-50. In-folio (32 cm) de 42 pages, imprimé et illustré en bleu sous couverture jaune agrafée. [ La présentation de Gilles Vigneault accompagnant sa photo contient un passage encerclé et une phrase soulignée par l’abbé Beaulieu : « Du poète il possède non seulement les allures, mais aussi le talent et les années lui donneront raison » ]. ----------2- Gilles Vigneault études commentaires. Le St-Ignace, cours secondaire. Montréal, vol. 1, no 1, février 1966. In-folio (28 cm) 28 pages. [ Numéro spécial ]. ----------3- Vigneault, Gilles.- J’ai planté un chêne. (Montréal, Le Nordet, 1976). Petit in-folio (25,3 cm) non paginé (16) pages. Couverture illustrée (maquette de Claude Fleury). Brochure agrafée. Signé en 1ère page « Steeve D ». [ Recueil de chansons tiré à 5 500 exemplaires ]. ----------4- Vigneault, Gilles et Miyuki TANOBE.- Les Gens de mon pays. Montréal, La Courte échelle, 1980. In-folio (28 cm) non paginé (24) pages, illustrations en couleurs de Miyuki Tanobe. Brochure agrafée. Signé en page de titre par l’auteur et l’illustratrice. Signature de l’ex-proprio, Steeve Dumais. ----------5- Éditions de L’Arc, Éditions du Vent qui vire. Catalogue 66-67. Québec, Omniart, 1966. Dépliant (22 x 9 cm) en trois pans. ----------6- Programme du récital de Gilles Vigneault le 1er février 1962 au Séminaire de Rimouski. Petit in-folio (21,5 cm) 1 feuillet de 4 pages, tiré sur papier crème vergé. ----------7- Programme de « Une soirée de chansons avec Gilles Vigneault ». Sans lieu ni date (1962). In-12 (7,4 cm) de 12 pages, avec les couvertures illustrées d’une photo de Gilles Vigneault par Paul Gélinas. ----------8- « Gilles Vigneault ». Programme du récital de Rimouski organisé par l’Association Générale des Étudiants du Pavillon de Philosophie. Non daté (1962). In-folio (28 cm) de 6 pages avec les couvertures. [ Contient : « Gilles Vigneault : l’homme », texte de Robert Rioux de St-Fabien-sur-Mer ]. ----------9- « Gilles Vigneault, programme de la soirée de chansons ». Feuille volante (20,5 x 14,5 cm) imprimée en bleu et blanc. Saison 1965-1966 de la Comédie-Canadienne. ----------10- « La Comédie-Canadienne présente Raymond Lévesque et Gilles Vigneault ». (Québec, Omniart, 1967). In-12 carré (21 cm) (20) pages, illustré de photos par Ronald Labelle, André Le Coz et le Studio Laliberté. Brochure agrafée. ----------11- « Gilles Vigneault. Automne 1976 ». Au Théâtre du Nouveau-Monde. Programme. 1 feuillet in-folio (26,7 cm) de 4 pages, imprimé en vert et illustré de photos de Marco Labrecque et de Birgit. ----------12- « Gilles Vigneault. Automne 1977 ». Au Théâtre du Nouveau-Monde. Programme. Feuille volante (25,8 x 11,3 cm), imprimé rouge vin sur carte vieux rose. Production Le Nordet inc. ----------13- « Gilles Vigneault : Le Pas du portageur ». Saison 1993-1994. Au Théâtre du Nouveau-Monde. Programme dépliant (19,6 x 11,8 cm) en 4 pans. . --------------------E) DOCUMENT SONORE. – 1966. ----------1- « Les Semelles de la nuit » / « La Chanson démodée ». Paroles et musique de Gilles Vigneault, orchestre sous la direction de Gaston Rochon. Disque 45 tours Columbia C4-6912. En très bel état, sous enveloppe. Marqué d’une étiquette numérotée 2C7 102. [ Quatrième 45 tours de Gilles Vigneault édité en 1966 ]. ‎


‎Lot de documents conservés sous boîtier de transport de bobines de film à coins de métal avec double sangle de cuir le ceinturant (36 x 36 cm).‎

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CAD12,500.00 (€8,189.74 )

‎Paul Baignères, Georges Desvallières, Maxime Dethomas, Georges Dufrénoy, Jules Flandrin, Charles Guérin, Albert Marque, Mme Marva, Georges Rouault. André Mare [Druet]‎

Reference : 16544

‎Exposition annuelle 2me groupe MM. Paul Baignères, Georges Desvallières, Maxime Dethomas, Georges Dufrénoy, Jules Flandrin, Charles Guérin, Albert Marque, Mme Marva, Georges Rouault. Invité : André Mare du 17 février au 1er Mars 1913‎

‎Galerie Druet, 20 rue Royale, Paris Paris, 1913, plaquette 135mmx185mm, 4ff. Illustration en noir hors-texte en frontispice d'après G. Desvallières (?). Paul Baignères, Georges Desvallières, Maxime Dethomas, Georges Dufrénoy, Jules Flandrin, Charles Guérin, Albert Marque, Mme Marva, Georges Rouault. Invité : André Mare. Très bon état.‎


EUR60.00 (€60.00 )

‎LOUYS Pierre‎

Reference : 77513

(1907)

‎Lettre autographe signée adressée à Georges Louis : "Mon souhait, ce serait que nous choisissions deux petites maisons contigües près de Paris. "‎

‎Tamaris 19 juin 1907, 13,5x20,5cm, 4 pages sur un double feuillet.‎


‎Lettre autographe signée de Pierre [Louÿs], adressée à Georges Louis.Quatre pages rédigées à l'encre violette sur un double feuillet. Enveloppe jointe. Belle lettre adressée à son frère Georges Louis avec qui Pierre Louÿs entretint une très intime relation et qu'il considéra comme son propre père. La question de la réelle identité du père de Pierre Louÿs fascine aujourd'hui encore les biographes:«Son père, Pierre Philippe Louis, [...] avait épousé en 1842 Jeanne Constance Blanchin, qui mourut dix ans plus tard après lui avoir donné deux enfants, Lucie et Georges. En 1855, il se remaria avec Claire Céline Maldan, et de cette union naquit, en 1857, un fils, Paul; puis, en 1870, notre écrivain, qui reçut les prénoms de Pierre Félix. Cette naissance tardive, les différences de caractère entre le père et le fils, la désaffection du premier à l'égard du second, la profonde intimité qui régna toujours entre Louÿs et son frère Georges, tout cela a fait soupçonner à certains biographes et critiques que ce dernier était en réalité le père de l'écrivain. La relation exceptionnellement intime et constante que Pierre et Georges maintinrent entre eux toute leur vie, pourrait être un argument en ce sens. Bien entendu, on n'a point découvert de preuve irréfutable, et on n'en découvrira sans doute jamais. Il n'empêche que certaines lettres [...] sont assez troublantes. En 1895, par exemple, Louÿs écrit gravement à son frère qu'il connaît la réponse à «la question la plus poignante» qu'il puisse lui poser, question qu'il a «depuis dix ans sur les lèvres». L'année suivante, en plein triomphe d'Aphrodite, il remercie Georges avec effusion et termine sa lettre par cette phrase: «Pas un de mes amis n'a un PERE qui soit pour lui comme tu es pour moi.» Arguant de l'étroite intimité de Georges et de Claire Céline durant l'année 1870, et de la jalousie que le père ne cessa de montrer vis-à-vis de son fils cadet, Claude Farrère n'a pas hésité à conclure en faveur de Georges Louis. Et que penser de cette dédicace de Louÿs à son frère sur un japon de l'originale dePausole: Pour Georges, son fils aîné / Pierre.» (Jean-Paul Goujon,Pierre Louÿs) Ecrite depuis Tamaris où l'écrivain est en vacances et tente d'acheter Psyché, cette belle lettre constitue une véritable ode à littérature et à la bibliophilie. Louÿs «rempli[t] deux pages de lettresur cette question » et écrit en effet: «Quand je pars j'enferme toujours tout pour que mes bonnes ne bouquinent pas en mon absence, ce qui serait désastreux. J'ai malheureusement des titres de livres qui pourraient quelquefois les tenter. [...] Que faire? Te laisser les clefs? je le ferais certainement si je partais pour six mois, mais pour une courte absence... [...] je ne les ai pas en double et [...] la clef de mon cabinet enferme mon bureau qui est l'âme de la maison.» Georges transmit très vite à son frère l'amour des livres et des textes et ce dernier rappelle ici cette communion spirituelle profonde: «Quand je regarde ma bibliothèque, j'ai constamment le regret que tu n'en profites pas davantage. Je voudrais toujours la réunir à la tienne, et que le jour où ta vie sera libre, tu n'aies qu'à sortir de ta chambre à coucher pour prendre chez moi ce que tu désires.» Bien qu'heureux de prendre quelques congés, son frère lui manque: «C'est là un peu ce qui m'empêche d'aimer Biarritz, c'est que j'y vois une menace de séparation si complète pour nous deux. [...] Je ne pourrais pas te suivre là-bas et je ne te verrais plus qu'un ou deux mois par an; cela me fait peur.Mon souhait, ce serait que nous choisissions deux petites maisons contigües près de Paris. [...] Mais il n'est pas temps d'en parler. » Cette rêverie sentimentale d'un avenir à deux laisse vite place à un long passage concernant la politique internationale et le jeu des alliances européennes. Georges est alors Directeur des affaires politiques du Quai d'Orsay et les deux frères évoquent donc naturellement ce sujet: «Le cercle d'alliances construit depuis quelques mois autour de Berlin est très remarquable; mais comment peut-on s'allier avec nous, je veux dire avec notre Parlement actuel? [...] Quoi qu'il en soit, ces accords-là font certainement l'éloge des diplomaties française et anglaise et ne font pas celui de la diplomatie allemande qui paraît bien faiblarde. Être si fort et ne trouver pour alliées que deux nations en pleine putréfaction politique et ethnographique, l'Autriche et la Turquie, c'est extraordinaire.» - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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