Lyon, [Bertrand Teste-Fort pour] Pierre Rigaud, 1626. 1 fort vol. petit in-8°, couverture de jacquard ancien à motif floral bordée d'un liseré en passementerie dorée, doublures de soie rose pâle. Reliure ancienne. Ex-libris ms. du couvent des Minimes de Montmerle-sur-Saone. Titre imprimé en rouge et noir orné d'une vignette gravée en taille-douce, (31) ff., 731 pp., (1) p. Quelques rousseurs et qq. mouillures. Il manque le portrait. dernier feuillet déchiré avec qq. manques.
Reference : 28211
Nouvelle édition imprimée par le même imprimeur que l'édition originale de 1616. C'est l'une des oeuvres les plus abouties et les plus spirituelles de Saint François de Sales. Il avait "été composé pour les premières visitandines et avec elles" (Brémond). Brémond I, 508; Brunet V, 73 ? ; Arbour, 12207.
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Claude herissant 1763 in12. 1763. Relié.
reliure défraîchie trou dans le dos dos abîmé.pages jaunis
Chez Pierre Rigaud LYON 1616 Un fort volume (8,2 x 14,5cm), [30] ff. (titre, oraison, préface, approbation, consentement, privilège) 1083 (1) pp. [10] ff. (table). signature : ?6 [*]6 ??6 [*]6 ???3 [*]3 A-Z² AA-ZZ²). Reliure ancienne en plein vélin souple, dos muet, étiquette de titre manuscrite rajoutée. (manque à l'étiquette de titre, plis au niveau des plats, une auréole brune en bordure inférieure aux cent premières pages avec atteinte au texte, une seconde et importante auréole brune sur les 300 dernières pages avec atteinte au texte, rousseurs, la plupart des feuillets sont uniformément brunis, rares salissures, erreur de numérotation à quatre pages : marquée "48" au lieu de "47", "79" au lieu de "69", "177" au lieu de "167","699" au lieu de "969"). Belle vignette de titre gravée sur cuivre, bandeaux et lettrines. A la suite de la table la mention : "A Lyon, de l'imprimerie d'Amy de Polier, 1616". Première édition, dans le format in-12°, de cette oeuvre maitresse de saint François de Sales. En gestation dès 1607, le Traité de l'amour de Dieu est progressivement repensé par Francois de Sales comme un manuel de vie à l'usage des Visitandines dont il fonda l'ordre en 1610 avec Jeanne de Chantal. " Regardé comme le chef-d'ouvre de l'auteur " (Brunet, V-73). Très rare.
A Lyon, chez Pierre Rigaud, & Associez, ruë Merciere, au coin de ruë Ferrandiere, à l'enseigne de la Fortune, 1626. In-8 de (64)-751 pp. (mal chiffré 731) (1) p., portrait, veau brun, dos orné à nerfs, pièce de titre en maroquin rouge, tranches jaspées (reliure de l'époque).
Nouvelle édition sortie des presses de Bertrand Teste-Fort (colophon) à l'adresse de Pierre Rigaud qui publia l'édition originale en 1616.Le traité, accueilli avec enthousiasme et réédité plusieurs fois dès 1617, ne connut pas cependant le succès de l’Introduction. En dehors des débats qu’il suscita à la fin du siècle entre jansénistes, quiétistes et Bossuet, et de la suspicion qui rejaillit ainsi sur lui, il offrait une doctrine spirituelle plus savante et moins grand public que l’Introduction : « pour en bien connaître le prix » disait Vaugelas, « il faut être à la fois fort dévotieux et fort docte, qui sont deux qualités bien rares étant séparées et plus rares encore étant conjointes » (Jacqueline Artier, in Catalogue de cent un livres anciens rares ou précieux de la Bibliothèque de la Sorbonne, n°69).Portrait de François de Sales gravé en regard de la préface (feuillet a8) ; titre rouge et noir ornée d'une vignette gravée au Sacré Coeur. Cachet "L. de Melan" aux titre et colophon, avec l'ex-libris "E Bibliotheca PP. in Societatis Jesu Dom. Prob. Melan" : la Chartreuse de Mélan fut fondée par Béatrix de Faucigny, fille de Pierre comte de Savoie, et épouse de Guigues IV, Dauphin de Viennois, en 1292, et accueillie quarante religieuses et sept prêtres réguliers et devint le lieu de sépulture de Béatrix et des dauphins successeurs. Supprimée en 1791, elle fut la propriété des jésuites de 1818 à 1848, puis par la suite à l’évêque d’Annecy. Pâles rousseurs, coins frottés, mors supérieur fendu en tête.Brunet, V, 73 ; Arbour, L'ère baroque en France : répertoire chronologique des éditions de textes littéraires, II, n°12207.
Lyon, Chez Pierre Rigaud, 1626. "12 x 18, 46-731 pages, bandeaux, culs-de-lampe et très nombreuses lettrines, reliure plein vélin crème, état moyen (rousseurs surtout dans les marges; reliure abîmée; 1 inscription sur la page de garde)."
"1 gravure pleine page en frontispice, 1 grande vignette en première page; prix en fonction de l'état."
A Genève, chez Pierre Aubert, 1635 [puis] A Genève, chez Pierre Aubert, 1632 [puis] A Genève, chez Pierre Aubert, 1632 [puis] A Genève, chez Pierre Aubert, 1636 [puis] A Genève, chez Pierre Aubert, 1635 [puis] A Genève, chez Pierre Aubert, 1635. Réunion en un fort vol. au format in-12 (168 x 105 mm) de 7 textes de Pierre du Moulin de 1 f. bl., 52 pp. ; 6 ff. n.fol., 92 pp. et 1 f. bl. ; 1 f. bl., 173 pp. et 1 f. n.fol. ; 69 pp. et 1 f. bl. ; 224 pp. ; 70 pp. ; 12 pp. ; 46 pp. ; 16 pp. et 1 f. bl. Reliure sans doute légèrement postérieure de pleine basane mouchetée blonde, plats jansénistes, dos muet à nerfs orné de filets gras à froid, tranches mouchetées.
Réunion - en un volume - de 7 ouvrages de Pierre du Moulin, chacun à l'adresse de Pierre Aubert à Genève. Chacune des pages de titre est pourvue d'une jolie vignette figurative. Pierre Du Moulin (1568-1658) fut un des plus célèbres ministres protestants français. ''On connaît avec quel emportement Du Moulin a écrit contre la religion catholique : il suffit de rapporter ici le titre de ses ouvrages dont quelques-uns sont rares [...]''. (in Peignot). ''Érudit et orateur réputé, il est surtout connu en tant que premier pasteur du temple de Charenton. En 1598, à l’appel du consistoire de l’Église réformée de Paris, il quitte les Pays-Bas et revient en France afin de rejoindre les Églises réformées qui ont alors un besoin impérieux de pasteurs. Sa réputation d’orateur est grande, elle lui vaut d’être aumônier de Catherine de Bourbon, sœur d’ Henri IV et fidèle huguenote. Dès 1612, il occupe un rôle de premier plan dans l’Église, exerce une influence certaine sur les synodes, notamment celui de Privas en 1612. Il parvient à faire entériner - par le synode d’Alès (1620) qu’il préside - les décisions prises à Dordrecht, en faveur de la doctrine orthodoxe de la prédestination. De peur d’être arrêté à Paris, il se rend en 1621, à Sedan, en terre réformée, auprès du duc de Bouillon, qui l’accueille généreusement. Il y sera pasteur de l’Église réformée et professeur de théologie à l’Académie.'' (in Musée virtuel du Protestantisme). Peignot I, Dictionnaire critique, littéraire et bibliographique des principaux ouvrages condamnés au feu, p. 337. Frottements et manques superficiels affectant les plats. Cerne angulaire ou marginale claire dans les corps d'ouvrages. Rares rousseurs dans le texte. Quelques feuillets légèrement oxydés. du reste, belle condition.