1973 Ocep, 1973. Une plaquette in-8 de 92 pages, couverture illustrée. Couverture frottée, néanmoins bon état.
Reference : 7679
La librairie est ouverte du mardi au samedi de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 19h00. Commandes par courriel ou téléphone. Envoi rapide, emballage soigné.
Librairie Ancienne et Moderne P. Frérot
Mme Penina Frérot
24-26, rue des Croisiers
14000 Caen
France
02 31 86 36 38
Les frais de port et de transaction sont à la charge de l'acheteur. Expédition à réception du réglement. Paiement par chèques bancaires ou postaux (Euroland), mandats, virements ou Paypal.
Lisieux, Typographie E. Piel, 1873 2 volumes in-4, [4]-11-[3]-DCLIII pp. et [4]-XXXI-415 pp., avec deux tirages photographiques d'époque contrecollés sur papier fort (portrait-frontispice de l'auteur, la cathédrale de Lisieux), et une carte dépliante en couleurs, toile grise, étiquettes de titre manuscrite (reliure moderne).
Edition originale, peu courante, de l'une des dernières monographies de Henri de Formeville (1798-1879), natif de Lisieux, même s'il fit toute sa carrière de magistrat à Caen.Oursel I, 370. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Lisieux, Émile Morière, 1899. 502 x 663 mm.
Grand plan de la ville de Lisieux lithographié en couleurs. Le plan a été dressé d'après le cadastre et d'après les plans réalisés lors de l'annexion à la ville de Lisieux de quartiers appartenant aux communes limitrophes de Saint-Jacques et de Saint-Désir, annexion décidée par décret du Conseil d'État le 24 mars 1875. Le plan montre en orangé la ville de Lisieux avant l'annexion, en vert les quartiers annexés. Saint-Jacques fut dépossédée de 129 hectares, Saint-Désir en perdit 38. Dans le même temps, la superficie de Lisieux fut triplée. Le plan est accompagné de 37 légendes numérotées permettant de situer rapidement les monuments et établissements publics, ainsi que l'usine à gaz et station d'électricité. Bon exemplaire. Quelques traces de pliures. Site de la ville de Saint-Désir, Brochure n° 2. Les limites de notre commune.
1873 Lisieux, Typographie Emile Piel, 1873, 2 Volumes reliés, 270 x 175 mm. 11. dcliij-XXI. 419. Reliure demi cuir, dos à 4 nerfs, titre, tomaison, en Frontispice, Portrait photographique de l'Auteur, au centre de l'Ouvrage, photographie de la Cathédrale de Lisieux, in fine, tome I, Carte couleurs, dépliante, Diocèse,dos légèrement insoles, du reste, excellente condition.
Table des Matières,L'Introduction à l'Histoire de l'Ancien Evêché - Comté de Lisieux, Les Mémoires de Noël Deshays sur les Evêques de Lisieux, Les Huguenots et la Saint-Barthélemy à Lisieux, Les quatre Appendices, comprenant la Table du Cartulaire de l'Evêché, les Rôles des Fiefs des Vicomtés d'Auge, de Pont-Autou et Pontaudemer, d'Orbec …
Phone number : 02.31.77.03.74
Lisieux, F. B. Mistral, Paris, Barbou, s.d. (1788) in-4, LXXIV-331-[9] pp., avec 5 tableaux dépliants, dont 3 "in fine", bradel papier rose (reliure moderne). Plat supérieur légèrement sali, mais bon exemplaire.
La généralité d’Alençon, qui prit le nom de Moyenne-Normandie, comprenait le département actuel de l’Orne et une partie de l’Eure et du Calvados. Elle se divisait en neuf élections, qui formèrent ensuite sept arrondissemens, Alençon, Bernay, Lisieux, Conches, Verneuil, Domfront, Falaise, Argentan et Mortagne. L’assemblée provinciale fut convoquée à Alençon, chef-lieu de la généralité, pour la session préliminaire d’août; mais elle exprima le vœu de se réunir à l’avenir à Lisieux, et la session de novembre s’y tint en effet. Le président de l’assemblée, M. de La Ferronnays, évêque-comte de Lisieux, fut sans doute pour beaucoup dans ce changement, qui devait faire de sa ville épiscopale le chef-lieu de la province. Lisieux avait, outre son évêché, de véritables titres à cette préférence; située au milieu de la partie la plus riche et la plus peuplée de la généralité, cette ville était en communication facile avec Paris, Rouen et Caen, tandis qu’Alençon, occupant le sommet d’une sorte de triangle, se trouvait loin de tout le reste. Le maire d’Alençon, M. Pottier du Fougeray, défendit les droits de sa ville, mais il ne put changer le vote.Frère II, 422. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Lisieux, F. B. Mistral, Paris, Barbou, s.d. (1788) in-4, LXXIV-331-[9] pp., avec 5 tableaux dépliants, dont 3 "in fine", basane fauve, dos lisse orné, roulette en encadrement sur les plats, tranches marbrées (reliure postérieure). Épid. sur les plats.
La généralité d’Alençon, qui prit le nom de Moyenne-Normandie, comprenait le département actuel de l’Orne et une partie de l’Eure et du Calvados. Elle se divisait en neuf élections, qui formèrent ensuite sept arrondissemens, Alençon, Bernay, Lisieux, Conches, Verneuil, Domfront, Falaise, Argentan et Mortagne. L’assemblée provinciale fut convoquée à Alençon, chef-lieu de la généralité, pour la session préliminaire d’août; mais elle exprima le vœu de se réunir à l’avenir à Lisieux, et la session de novembre s’y tint en effet. Le président de l’assemblée, M. de La Ferronnays, évêque-comte de Lisieux, fut sans doute pour beaucoup dans ce changement, qui devait faire de sa ville épiscopale le chef-lieu de la province. Lisieux avait, outre son évêché, de véritables titres à cette préférence; située au milieu de la partie la plus riche et la plus peuplée de la généralité, cette ville était en communication facile avec Paris, Rouen et Caen, tandis qu’Alençon, occupant le sommet d’une sorte de triangle, se trouvait loin de tout le reste. Le maire d’Alençon, M. Pottier du Fougeray, défendit les droits de sa ville, mais il ne put changer le vote.Frère II, 422. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT