1931 1931 In Caractères de ce temps, Paris, Hachette, 1931. Un volume in-12 broché, couverture verte, 131 pages. Bel état.
Reference : 674
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A la Haye, 1764. 4 works in 1 volume. iv, 156 pp.(4), 60, 107, (1, blank) pp.; (2), 26 pp.; 24 pp. 8vo. Contemporary paper-covered boards, spine gilt with gilt lettering, red edges, slightly rubbed. First work: INED 281; not in Goldsmiths; not in Kress, not in Einaudi; not in Higgs (the latter three citing variant issues); Weller, ii, p. 165.First edition, one of three different editions from the same year, no priority established.One of the works whose publication was due to Roussel de la Tour's Richesse de l'État. Baudeau's proposals for financial reform are close to those proposed by Roussel de la Tour. 'Projet de réforme totale de l'administration des finances tendant au même but d'ailleurs que la Richesse de l'État, qui venait de paraître avec un grand retentissement. Trois questions en font l'objet: maniére la plus simple de recouvrir les deniers royaux; méthode la plus claire et la plus économique de dépenser les deniers publiques; moyens les plus équitables d'affranchir le gouvernement de la dette publique' (INED). Of Baudeau's work three issues are known: one of iv, 132 pages, and one in which each of the three parts is separately paginated. In fact, Baudeau wrote the work in 1760, and had it passed on 'au Ministre par le canal de M. l'Abbé B** (Bertin), son frère' (Avertissement). Second work: Higgs 3266; INED 1276; not in Kress; not in Goldsmiths; not in Einaudi (all citing other editions); Weller, ii, p. 164; Le Bucher bibliographique, 505. Third work: Kress S.4358; Goldsmiths 10025; Einaudi 5516; Higgs 3268; not in INED.First editions.Edme-François Darigrand (not Jean-Baptiste) wrote the above works which had an immense impact upon publication: ' ..... Darigrand, qui en 1763 publiait un livre à sensation, dont le titre seul était un programme: L'Anti-Financier' (Weulersse, i, p. 88). The work was a 'pamphlet très violent contre les Fermiers-généraux.' The work reasoned along the lines set forth in that other famous work aiming at reform of the taxes, Roussel de la Tour's Richesse de l'État. Darigrand 'préconise l'abolition des Fermes, s'élève contre les règlements fiscaux, intentionnellement obscurs et arbitraires et contre les exemptions accordées aux commis des aides et gabelles. Il veut établir l'égalité par l'établissement d'un impôt unique, réparti et perçu par les Corps et Communautés du royaume' (Marguerite Leblanc, De Thomas More à Chaptal. Contribution bibliographique à l'histoire économique, (1961), pp. 118-119).Fourth work: Goldsmiths 10020; Higgs 3268; INED 4778; not in Kress; not in Einaudi; Weller, ii, p. 169.First edition.One of the many works opposing Darigrand's work and defending the existing situation.
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Paris, G. Crès et Cie 1920 In-12 18,5 x 12 cm. Broché, couverture rouge, titre en noir sur le dos et le premier plat, VI-231 pp., table des matières. Avec encart publicitaire. Couverture poussiéreuse.
Critique d'art et syndic de la presse artistique, Ernest Tisserand était aussi romancier. Bon état d’occasion
Imp.Gadrat aîné. 1938. In-4. En feuillets. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 8 pages. Texte sur 3 colonnes. Journal légèrement troué au niveau des pliures.. . . . Classification Dewey : 70.1-Journaux
Sommaire : Assemblée générale du 24 avril - Rapport du Président - Exposé de M. Louis Palauqui - Rapport financier du Trésorier général - Compte-rendu des commissaires aux comptes - Rapport financier de M. Gustave Faur - Mouvement de la Société - Notre banquet du 8 mai - M. Pradères, président des enfants de l'Aude et de l'Hérault - M. l'intendant général Bourès - Discours de M. l'intendant général Bourès - De grands noms de chez nous Classification Dewey : 70.1-Journaux
Reference : alb33e5836b1ead7e1f
DIvernois, Sir Francis. Napoleon administrator et financier. In English /DIvernois, Sir Francis. Napoleon administrateur et financier. Pour faire suite au Table Historique et Politique des Pertes que la Revolution et la Guerre ont causeuses au Peuple Francaise, dans sa Population, son Agriculture, ses Colonies, ses Manufactures et son Commerce.-Mars, 1799. Original edition. In French, London. Schulze et Dean. Avril 1812, 329, 3 p. We have thousands of titles and often several copies of each title may be available. Please feel free to contact us for a detailed description of the copies available. SKUalb33e5836b1ead7e1f.
Rochecorbon, Editions Charles Gay, 1959 in-4°, xxiii-(1)-423-(2) pp, avant-propos de Bertrand Gille, un portrait en couleurs en frontispice, 3 planches (dont 2 portraits) et 3 plans sur 2 ff. doubles hors texte, broché, jaquette illustrée, bon état
Edition critique de cette correspondance (du 16 mars 1803 au 9 juin 1815) conservée au Département des Manuscrits du Museo Julio Lobo de La Havane à Cuba. Ces lettres proviennent de la collection Julio Lobo ; elles avaient précédemment appartenu à André de Coppet. Magnifique publication tirée à petit nombre sur papier couché. — "Dans la publication de M. Arnna, 533 lettres envoyées par Napoléon du 16 mars 1803 au 9 juin 1815 à Mollien, son ministre du Trésor, sont réunies et commentées de manière excellente. Malgré la brièveté de certains billets, leur intérêt est capital. Non qu'ils nous éclairent davantage sur la personnalité du comte Mollien, déjà connue par ses Mémoires et sa correspondance privée, mais ils nous révèlent un côté méconnu du génie napoléonien : le financier. M. Bertrand Gille, dans un remarquable avant-propos, rappelle que l'empereur, « plus préoccupé de gloire militaire et politique, n'a guère fait allusion dans ses conversations de l'exil à cet aspect de son activité. » Gaudin, Mollien et Chaptal ont prétendu dans leurs mémoires avoir enseigné à l'empereur les rudiments de la finance et de l'économie. Napoléon a en tout cas très vite assimilé ces difficiles questions. La correspondance échangée avec Mollien confirme cette impression. Y sont abordés les problèmes les plus importants : rapports entre l'État et la Banque de France, krach des Négociants Réunis, trafic des licences, né du Blocus, crise de 1810 et politique de prêts aux manufactures et au commerce, détresse du Trésor en 1813 que laisse entrevoir ce billet du 6 mars : « On manque d'argent à la Grande Armée, ce qui fait beaucoup de tort à mes affaires. » La lecture de ces lettres fait surtout apparaître l'étonnante atmosphère de spéculation qui accompagna le règne de Napoléon. Le Consulat s'ouvre sur une opération boursière fondée sur la réussite du coup d'État de Brumaire, et les débuts financiers de l'Empire sont compromis par les entreprises d'Ouvrard imaginant, à partir du recouvrement des créances françaises en Espagne, un gigantesque projet d'exploitation de l'Amérique du Sud qui, ébranlant le Trésor et la Banque de France, provoqua la disgrâce de Barbé-Marbois et son remplacement par Mollien au ministère du Trésor. Les réactions que révèle la correspondance qu'il échange avec Mollien ne permettent plus de voir en Napoléon « le comptable méticuleux » des histoires financières traditionnelles. Une politique cohérente se dégage de ces cinq cents lettres. M. Gille la définit ainsi : « Dans l'équilibre financier et économique, Napoléon estimait en tout cas, et à juste titre, que le Trésor public jouait un rôle considérable : c'était en quelque sorte la pierre angulaire de l'édifice. Il désirait donc avant tout que le mécanisme de la Trésorerie fût parfaitement agencé. »." (J. Tulard, “La Correspondance de Napoléon”, in Journal des Savants, 1966)