Paris Perrin 1991 Un volume in-8 dos collé, couverture blanche illustrée, 776 pages, iconographie en n&b. Bon état, envoi de l'auteur.
Reference : 10103
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(Luisant), Imprimerie Durand, (1976). Une plaquette au format in-8 (233 x 157 mm) de [8] pp., agrafée.
Tiré à part du Bulletin de la Société des Amis de Marcel Proust constitué d'une étude sur ''le plaisir de la gourmandise'' dans les oeuvres de Marcel Proust. Très belle condition.
Paris, Plon / Coll. ''La Palatine'', 1930. Un vol. au format n-8 (217 x 137 mm) de iv - 291 pp., broché.
Edition originale. Un des 202 exemplaires du tirage numéroté sur Hollande van Gelder. Lequel a ici conservé de larges témoins. Volume complet en tant que tel (le second tome étant relatif à la correspondance de Proust avec la Comtesse de Noailles). C'est à 22 ans que Proust fit la connaissance de Montesquiou, alors séduit par la finesse et l'intelligence de jugement de ce critique d'art hors-pair. De cette rencontre naquit une amitié de 30 ans, ce que vient refléter cette correspondance. Quelques rousseurs et plissures affectant les témoins. Du reste, belle condition.
S.l., Grasset, (1958). Un vol. au format pt in-12 (173 x 113 mm) de 158 pp., broché, sous couverture à rabats rempliés.
Edition originale et premier tirage. Belle impression sur vergé d'édition. ''Du jour où je l'ai connu jusqu'à celui de sa mort prématurée, j'ai été l'ami de Marcel Proust''. Claires rousseurs sur les plats et dans le corps d'ouvrage. Du reste, bonne condition.
Editions Denoël 1987 252 pages in-8. 1987. Broché. 252 pages. Illustré de dessins en noir de l'auteur
Bon état
S.D. TRE?S BELLE ET INTE?RESSANTE LETTRE DANS LAQUELLE MARCEL PROUST E?VOQUE LE PEINTRE VE?NITIEN VITTORE CARPACCIO [pour Proust, le symbole me?me de Venise, dont il se servira dans Albertine disparue] ET LES « MORNINGS IN FLORENCE » DE RUSKIN, publie?s par Laurens (en 1908) : ...Si plus tard votre collaborateur vous rend le Carpaccio italien (que je ne connais pas) je serai tre?s heureux de le lire, si vous pouvez me le pre?ter. Quant au franc?ais je vais e?crire a? Venise ou? on me dit quil a e?te? e?dite?. Carpaccio est un artiste si charmant quon voudrait pouvoir e?tre toujours plus renseigne? sur son œuvre et sur sa vie. Si vous naviez de?ja? dispose? du cpte rendu, je me serais mis a? votre disposition pour le faire. Si M. Laurens publie les Mornings in Florence vous devriez lui conseiller ceci. La magnifique e?dition de Ruskin (Library Edition) qui parai?t chez Alen... Proust pre?cise que les Mornings contiennent un ...ine?dit « The visible church », tre?s inte?ressant. M. Laurens naurait pas le droit de le publier, car il ny a pas assez de temps quil a paru. Mais par voie dappendice ou de note en disant franchement ou? il le prend, il pourrait en donner de longs extraits. Du reste les Mornings in Florence sont bien courts pour constituer un volume, il devrait y ajouter Val dArno qui est dailleurs infiniment supe?rieur aux Mornings in Florence lesquels sont le plus mauvais ouvrage de Ruskin, franchement me?diocre... En grand admirateur du critique dart anglais John Ruskin, et, à la suite de la traduction quil fit (avec laide de sa mère Jeanne Proust) de La Bible dAmiens du critique anglais (parue au Mercure de France, en 1904), Marcel Proust avait été promu « expert en études ruskiniennes ».En novembre 1905, Proust fut donc approché par Auguste Marguillier, un ancien collaborateur de Charles Ephrussi (un ami de Proust), devenu directeur de La Chronique des arts, pour un compte-rendu de Pierres de Venise de Ruskin, que Mathilde Crémieux, une cousine de Proust, venait de traduire et qui allait paraître chez Henri Laurens, le futur éditeur des Matins de Florence de Ruskin. En janvier 1906, Proust adressait à Marguillier une notice au sujet du Gainsborough de Gabrielo Mourey paru dans La Chronique des Arts, puis dans les « Villes dart », une collection (éditée par H. Laurens) très appréciée par lauteur de La Recherche ; toujours dans la même collection, Proust découvrit avec plaisir le Carpaccio de G. et L. Rosenthal (paru en 1906), auquel il fait allusion dans cette lettre.Introduit dans La Recherche, au travers des chatoyantes robes du couturier Fortuny offertes à Albertine par le Narrateur, le peintre vénitien Vittore Carpaccio (1460-1526) fut longuement étudié par Proust lors de ses séjours à Venise grâce aux ouvrages de Ruskin.