Paris, Presses universitaires de france , 1954; in-12, 304 pp., br. Tome premier uniquement.
Reference : 202304032
Tome premier uniquement.
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Paris, Laurent Sonnius, 1617, in-12, [40] ff, 915 p, Parchemin rigide de l'époque, tranchefiles à passe, titre à l'encre au dos, Nouvelle édition, parue sept ans après l'originale mais "revueüe et corrigée par l'autheur" de cet traité de philosophie morale, qui connaît pas moins de huit éditions entre 1610 et 1645. Il s'agit du premier ouvrage de philosophie complet publié en français. Il analyse différents concepts relatifs à la morale en confrontant les auteurs antiques aux valeurs chrétiennes. Il s'inscrit ainsi dans le courant de pensée qui a visé la réconciliation entre philosophes antiques (particulièrement Aristote) et Christianisme. Conseiller d'état, secrétaire de la reine Margot, Scipion Dupleix est principalement connu pour son activité d'historien. Ses Mémoires sur les Gaules depuis le déluge jusqu'à l'établissement de la monarchie française étonnent encore par leur exactitude et la citation systématique de ses sources. Alors qu'il est précepteur d'Antoine de Bourbon-Bueil, fils légitimé d'Henri IV et Jacqueline de Bueil, il décide d'intégrer ce traité dans son Corps entier de la Philosophie. Curieusement, il dédie cet ouvrage, non pas à son élève ou son illustre père mais au seigneur de sa ville d'origine de Condom, Adrien de Monluc. Cette dédicace ne changera pas lors des diverses rééditions et ce, malgré l'emprisonnement du dédicataire à la Bastille. Manques à la reliure et au papier, reliure tachée. Couverture rigide
Bon [40] ff., 915 p.
Paris, chez Courcier, 1811, in-4, [8]-VI-269-[1] pages (plus une page "3 bis"), un tableau dépliant, basane racinée de l'époque, dos lisse et orné, pièce de titre rouge, Édition originale. Wronski (1778-1853) "semble avoir été l'un des précurseurs de la science actuelle". Il combattit dans les rangs de l'armée polonaise, puis russe, et enfin française. Wronsky dépassait la philosophie Kantienne en affirmant pour l'homme la possibilité d'atteindre l'absolu, ce qui lui était apparu dans une illumination en 1803. Il sut appliquer sa philosophie aux mathématiques dans une série de travaux inaugurée par l'Introduction à la philosophie mathématique. Étiquettes ex-libris Alexandre Alberto de Sousa Pinto. Épidermures, manque à une coupe. Restauration sur le plat supérieur. Ball, Histoire des mathématiques II, p. 196. DSB XV, pp. 225-226. Couverture rigide
Bon [8]-VI-269-[1] pages (plus
Chambéry, de l'imprimerie de P. Cléaz, an XII [1804], in-8, [2]-XXIII-285-[1] pages, broché, couverture d'attente de papier à la cuve rose, Seconde édition, "revue, augmentée et appuyée sur un grand nombre de différentes observations". Elle parut à la lumière des nouveaux travaux, au nombre desquels l'ouvrage fondamental de Philippe Pinel: le Traité médico-philosophique de la folie, publié 10 ans après la première édition de la Philosophie de Daquin. La seconde édition est en conséquence très justement dédiée à Pinel. Exemplaire enrichi d'un envoi non signé de l'auteur : "De la part de l'auteur en signe du plus sincère attachement". Joseph Daquin (1733-1815), grand philanthrope originaire de Chambéry, accepta en 1787, à l'âge de 54 ans, de devenir directeur de la section des aliénés de l'hôpital de sa ville natale. Sa philosophie aborde la question du traitement des maladies mentales en tentant de se débarrasser du "préjugé où l'on est que les fous ne sont plus propres à rien, quand même ils viendroient à recouvrer leur raison" et du "dégoût à les soigner" qu'il y a "presque toujours". Néanmoins, il revient quelque peu sur ses élans altruistes dans la préface de cette seconde édition, comme le souligne Semelaigne: "Il aurait voulu pouvoir propager au loin ses idées humanitaires, cependant, il s'en rendait compte, même autour de lui elles ne rencontraient pas une complète approbation". Impression sur papier azuré. Bon exemplaire, tel que paru. Semelaigne I, p.77 et suiv. Couverture rigide
Bon [2]-XXIII-285-[1] pages
Leyde, Jean et Herm. Verbreek, 1748, in-8, [8]-472 pp, Basane havane de l'époque, dos lisse et fleuronné, pièce de titre rouge, ?Nouvelle édition de cette traduction d'Élie de Joncourt (1697-1765), parue pour la première fois en 1737 (Leyde, Verbeek). L'ouvrage est notamment réputé pour son chapitre sur la cryptographie, "De l'art de déchiffrer les lettres" (chap. 35). Il comporte également, in fine, une démonstration du raisonnement par syllogismes. S'Gravesande (1688-1742), propagateur de la philosophie newtonienne, fonda avec Joncourt le Journal historique de la République des lettres à Leyde en 1732. Annotation ancienne sur le contreplat et sur la garde blanche finale. Accroc sur le plat supérieur. Bon état intérieur. Couverture rigide
Bon [8]-472 pp.
Shanghai, Imprimerie et librairie de T'Ou-Sè-Wè, 1936, in-8, 217-31 pp, broché, couverture originale imprimée, Édition originale de la 23e publication de la collection Variétés sinologiques. Elle étude l'histoire les principes de la philosophie morale de Wang Yangming, philosophe chinois qui vécut à la charnière du XVe et du XVIe siècle. Dans son appendice, l'auteur donne les textes en chinois qu'il a traduits ou résumés au cours de son ouvrage. Couverture insolée. Couverture rigide
Bon 217-31 pp.