Paris, Grasset, 2015; in-8, 232 pp., br.
Reference : 202300287
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Revue Question de - Janine Monnot : Maitre Taisen Deshimaru sur maitre Dogen - Alan Watts - Jean Markale - Gérard Méchoulam - Jean Herbert - Jean During - Dr. Robert Guirdham - Pierre Crépon
Reference : 87569
(1981)
Editions Retz , Revue Question de Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1981 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur noir, illustrée d'une calligraphie chinoise représentant un cheval grand In-8 1 vol. - 128 pages
quelques illustrations dans le texte en noir et blanc 1ere édition, 1981 Contents, Chapitres : 1. Racines : Janine Monnot : Vrai Zen - Maitre Taisen Deshimaru : Le temps selon maitre Dogen - Alan Watts : Créateur et créature - Jean Markale : Bréviaire pour les temps noirs - 2. Sciences éclairées : Gérard Méchoulam : Recherches sur les civilisations cosmiques - 3. Signes du sacré : Jean Herbert : Une religion inconnue - 4. Visions : Jean During : L'ascension du prophète - 5. Enigmes : Dr. Robert Guirdham : Pourquoi je crois à la réincarnation - 6. Médecines parallèles : Pierre Crépon : La magnétothérapie - Magazine coins de la couverture à peine cornés sans gravité, la couverture reste en bon état, à peine jaunie, intérieur frais et propre, coins des premières et dernières pages à peine cornés sans gravité, cela reste un bon exemplaire
Le courrier du livre, 1990, in/8 broché, 181 pages. Traduit de l'allemand par Catherine de Bose.
"Au seuil de l'ère qui vient, on peut observer une révolte croissante contre la prédominance d'une conception du réel qui se réfère exclusivement à un monde rationnellement connaissable et maîtrisé par la technique. En effet, ce qui dépasse cette notion est classé comme appartenant au royaume de l'imaginaire ou des croyances. Ce point de vue fait négliger la totalité et la vérité de l'homme, car celui-ci, en son noyau, en son Etre essentiel, participe à une réalité qui transcende l'horizon de son moi conditionné par l'espace-temps et par le rationnel. Maintenant se pose la question : qui peut nous aider à devenir ce que nous avons éprouvé, sans le moindre doute, comme l'essentiel, à le conserver dans une conscience élargie et à lui porter témoignage dans le monde ? La réponse est le "Maître". Cependant, ce maître ne prend la réalité qu'en face de celui qui est prêt à être élève, c'est-à-dire, à suivre la "voie" indiquée et dans laquelle, selon l'éternelle loi, la grande transformation s'accomplit. Dans la trinité "maître, élève, voie", la Vie crée l'espace où elle manifeste son sens surnaturel. Le maître est autre chose qu'un éducateur, un directeur de conscience ou un thérapeute. Il est l'instrument qui, avec une force capable d'affronter le monde, ramène consciemment l'homme à son unité originelle avec l'Etre divin. Celui qui a reconnu dans le maître la puissance qui, de l'intérieur, l'appelle et le transforme, le retrouve dans toutes les situations capitales de la vie, dans la rencontre avec la mort, dans la confrontation avec le mal, dans la façon de traiter le corps et dans la recherche de son propre centre."
s.l. [Klarskovgaard] 7 octobre 1950, 21x34cm, 2 pages sur 2 feuillets.
Lettre autographe signée en partie inédite de Louis-Ferdinand Céline adressée à son "cher Maître et défenseur" Maître Thorvald Mikkelsen. Deux pages rédigées à l'encre bleue sur deux grands feuillets de papier blanc ; numéros "580" et "581" de la main de Céline en haut à gauche au crayon rouge. Pliures transversales inhérentes à l'envoi. Cette lettre a été très partiellement retranscrite dans l'Année Céline 2005. Lettre autographe signée de Louis-Ferdinand Céline adressée à son "cher Maître et défenseur" Maître Thorvald Mikkelsen. Deux pages rédigées à l'encre bleue sur deux grands feuillets de papier blanc ; numéros "580" et "581" de la main de Céline en haut à gauche au crayon rouge. Pliures transversales inhérentes à l'envoi. Céline adresse à Mikkelsen un article: "Pour intéressé que vous soyez aux choses de l'esprit je crois avoir remarqué que les turlupinades des banques, changes, fricoteries diverses vous amusaient aussi. Ci-donc, joint, article assez farceur relatant certaines galipettes de l'or et ses escrocs changeurs (à Paris, évidemment!)" L'écrivain a adjoint à sa lettre un autre feuillet dont les nombreux soulignements témoignent de la persécution dont il se sentait victime: "Maintenant qu'on remonte la Ligne Maginot, qu'on recrée une Légion Anti Bolchéviques, une armée franco-allemande, il paraît qu'il est question de me poursuivre à nouveau d'après les Beaux Draps mais cette fois pour antigermanisme et sabotage de l'Europe Nouvelle et irrespect pour Hitler! Oh je n'en mène pas large !" En 1947, Céline, poursuivi par la justice française pour son engagement collaborationniste, est reclus au Danemark. C'est en mai 1948, accompagné de Lucette et Bébert qu'il arrive chez son avocat Maître Thorvald Mikkelsen à Klarskovgaard. Ce dernier possède une grande propriété au bord de la mer Baltique et invite l'exilé à y séjourner. Le 21 février 1950, dans le cadre de l'épuration, l'écrivain est condamné définitivement par contumace par la chambre civique de la Cour de justice de Paris pour collaboration à une année d'emprisonnement (qu'il a déjà effectuée au Danemark). Le consul général de Suède à Paris, Raoul Nordling, intervient en sa faveur auprès de Gustav Rasmussen, ministre des Affaires étrangères danois, et parvient à retarder son extradition. Le 20 avril 1951, Jean-Louis Tixier-Vignancour, son avocat depuis 1948, obtient l'amnistie de Céline au titre de "grand invalide de la grande guerre" en présentant son dossier sous le nom de Louis-Ferdinand Destouches sans qu'aucun magistrat ne fasse le rapprochement. Céline quittera le Danemark l'été suivant, après trois ans passés chez son avocat. En 1947, Céline, poursuivi par la justice française pour son engagement collaborationniste, est reclus au Danemark. C'est en mai 1948, accompagné de Lucette et Bébert qu'il arrive chez son avocat Maître Thorvald Mikkelsen à Klarskovgaard. Ce dernier possède une grande propriété au bord de la mer baltique et invite l'exilé à y séjourner. Le 21 février 1950, dans le cadre de l'épuration, l'écrivain est condamné définitivement par contumace par la chambre civique de la Cour de justice de Paris pour collaboration à une année d'emprisonnement (qu'il a déjà effectuée au Danemark). Le consul général de Suède à Paris, Raoul Nordling, intervient en sa faveur auprès de Gustav Rasmussen, ministre des Affaires étrangères danois, et parvient à retarder son extradition. Le 20 avril 1951, Jean-Louis Tixier-Vignancour, son avocat depuis 1948, obtient l'amnistie de Céline au titre de "grand invalide de la grande guerre" en présentant son dossier sous le nom de Louis-Ferdinand Destouches sans qu'aucun magistrat ne fasse le rapprochement. Céline quittera le Danemark l'été suivant, après trois ans passés chez son avocat. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris Seghers, coll. "Maîtres et mystiques vivants" 1975 1 vol. relié in-4, cartonnage toilé de l'éditeur, titre et calligraphie en noir sur le plat supérieur, ruban de fermeture, 239 pp. Commenté et calligraphié par le roshi Taisen Deshimaru, présenté par Muriel Kamnitzer et Vincent Bardet. Très bon état.
[Le Maître de Musique] - Le Maître de Musique , cours pratique de piano (Journal) ; CHARPENTIER, Adeline
Reference : 50153
(1870)
1 vol. in-12 rel. demi-basane rouge, Le Maître de Musique, [ Firmin-didot ] Paris, 1869 et 1870, 22 numéros de 4 pp. chacun, soit 88 pp. au total. Le présent receuil ne contient pas les numéros entiers, mais les seuls articles introductifs de chaque numéro.
Etat très satisfaisant (couv. lég. frottée, premier feuillet plié et avec petits mques, bon état par ailleurs, avec intérieur bien frais), pour ce recueil des seules 4 premières pages de chaque numéro, qui correspondent aux articles thématiques rédigés par Mademoiselle Adeline Charpentier. Cette dernière publia à la même époque (1875) une "Méthode de Piano" (éd. Firmin-Didot). Chaque article de ce recueil est une présentation du compositeur et de la pièce musicale proposés dans les pages suivantes du numéro bi-hebdomadaire. La revue "Le Maître de Musique" parut de 1869 à 1881. Elle était dirigée par Mme Emmeline Raymond, qui était également la fondatrice et rédactrice en chef du grand périodique féminin "La mode illustrée". Cela indique que "Le Maître de musique" visait tout particulièrement un lectorat féminin et bourgeois.