Paris, Hachette collection genies et realités, 1963; in-8, cartonnage de l'éditeur. Avec roidhoide.
Reference : 202102715
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Paris, Floury, 1926-1929 ; 3 volumes in-4°, bradel, demi-toile ocre, pièce de titre maroquin rouge, couverture conservée; 3ff., 296pp.; 2ff., 339pp.; 22ff., 295pp.,1p.nch.; + de 600 reproductions en noir et en couleurs dans et hors texte des gravures, dessins et huiles de Delacroix.
Etude de base sur l'œuvre du grand peintre. Bon exemplaire. (Reu-CO2).
Chez Gihaut frères, Edit. Boulevard des Italiens, 5 | Paris s.d. (1843) | 36.40 x 49.80 cm | relié
Suite complète de 13 lithographies originales d'Eugène Delacroix, en premier tirage avec la lettre, un des 20 exemplaires sur papier Chine appliqué sur vélin: «Il en a été tiré à l'origine quelques épreuves sur chine dont le format dépasse le trait carré d'un à deux centimètres. Elles sont très recherchées quoiqu'elles portent la lettre» (Robaut). Reliure de l'éditeur en demi-chagrin marron, titre estampé à l'or sur le premier plat, couverture conservée. Petite déchirure restaurée dans la marge de la couverture sur 5 cm, dos insolé, mors et coins frottés, rousseurs éparses et une mouillure en partie inférieure affectant le vélin sur lequel les lithographies sont contrecollées, sans atteinte aux lithographies. Exceptionnel et rare ensemble de lithographies originales d'Eugène Delacroix tirées sur papier Chine, illustrant le chef-d'uvre de Shakespeare. Sommet de l'art romantique, cette suite a "été faite pour le compte personnel de M.Delacroix. Le tirage ne comportait que 80 exemplaires, dont 60 sur blanc et 20sur chine, lesquels étaient épuisés au décès de l'auteur" (Henri Béraldi). * Il s'agit du deuxième portfolio lithographique de Delacroix d'après une uvre littéraire, après le Faust de Goethe en 1828. Fortement influencé par les Caprices de Goya, les planches arborent des noirs profonds et de saisissants contrastes, magnifiés par le tirage sur papier Chine : "Personne aussi ne méconnaît l'importance du rôle joué par Delacroix dans la lithographie, [...] dans l'Hamlet, dans le Cheval terrassé par un tigre, ou mieux encore dans le Lion de l'Atlas et le Tigre royal, ces merveilles, il montre ce que le crayon lithographique peut acquérir de vigueur et de couleur dans la main d'un maître" (Henri Béraldi). Malgré les bons commentaires de Théophile Gautier et de Jules Janin, la suite d'Hamletest demeurée confidentielle dès sa publication à l'initiative de Delacroix chez les frères Gihaut : «Je les avais fait tirer à un petit nombre et bien m'en avait pris car ils n'ont pas eu de succès et son loin de m'avoir indemnisé des frais de tirage» écrira Delacroix dans une lettre à Champfleury (1er mai [1852]). Même au XIXe siècle, les exemplaires sur Chine sont presque impossibles à trouver : seulement vingt ans après la parution, Philippe Burty considérait la suite, tous tirages confondus «si rare désormais» ! (vente colonel De La Combe, 1863). Sa contribution à l'imaginaire visuel et l'iconographie d'Hamlet est immense. C'est en effet Delacroix qui inaugure ici l'image d'Ophelia morte, à l'horizontal, sur l'eau - préfigurant le célèbre tableau préraphaélite de John Everett Millais. C'est même à partir des lithographies qu'un nombre de ses peintures est né: « Entre les années 1830 et sa mort, Delacroix a également peint des versions à l'huile d'un certain nombre de lithographies [dont Hamlet et sa mère, aujourd'hui au Metropolitan Museum]....» (Alan R. Young, Hamlet and the Visual Arts, 1709-1900). L'intérêt de Delacroix pour le théâtre de Shakespeare - et tout spécialement Hamlet - s'est manifesté très tôt, comme en témoignent certaines de ses lettres signées "Yorick", où il dévoile en 1817 ses premières passions pour la jeune anglaise Elizabeth Salter. Il lut probablement la pièce en anglais dans le texte (si l'on en croit son Journal, étudié par Luciana Lourenço Paes) et se reconnut dans le protagoniste principal, qui lui inspirera un « Autoportrait en Hamlet », aujourd'hui au musée Delacroix. En 1825, il fit un voyage à Londres où il assista à plusieurs pièces du barde, et regretta d'avoir manqué le Hamlet interprété par le légendaire Henry Keane au Drury Lane Theater. Deux ans plus tard, Delacroix tomba sous le charme, avec le Tout-Paris romantique, du Hamlet joué au théâtre de l'Odéon par la troupe anglaise de Charles Kemble, directeur de Covent Garden. C'était la première fois qu'on jouait Shakespeare dans sa langue originale, avec les scènes auparavant censurées: l'apparition du fantôme dans le premier act
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1930 Grenoble Arthaud, 1930; petit ion-4° broché, couverture rempliée grise imprimée en noir et rouge au 1er plat , en noir au dos; xiii, (i), 235pp., (2)ff. Illustré de vignettes dans le texte et de XXIV planches hors texte. Petite tache d'encre brune à la serpente de la plnache XXIV, sinon très bon état.
Edition numérotée, exemplaire sur velin des papeteries des Ponts-de-Claix. Envoi autographe signé de l'auteur. Curieux ouvrage dans lequel le jeune Maxime Lanvol dialogue avec Delacroix. (GrD2)
Paris, la Nouvelle Edition, 1949 ; in-8°, broché, couverture illustrée en couleurs d'un dessin d'un seul tenant sur les plats et le dos; 94pp., ( 1)f.Couverture très légèrement frottée au dos, bon exemplaire.
Edition en partie originale de ces poèmes sans ponctuation de Prévert et Verdet. ( CO2B)
Paris,Hachette,1965 ; grand in-8°,plein skivertex bordeaux de l'éditeur,titre doré sur fond noir au dos, jaquette de rhodoïd transparent avec titre doré au 1er plat ,étui de carton blanc;283pp.,1ff.
Très nombreuses illustrations en noir et en couleurs dans et hors texte.Collection "Génies et Réalités",imprimée sur papier vergé Saint-Alban.(Gr)