Paris, Grasset, 1999; in-12, 326 pp., br.
Reference : 202000549
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Paris, Imprimerie de Louis-Pierre Couret, s.d. (décembre 1791 - août 1792) 65 livraisons en 2 vol. in-8, 576 pp. ; 288 pp., puis pp. 285-444, 32 pp., le tout en numérotation continue, demi-basane fauve mouchetée modeste, dos lisses tomés II & III (reliure de l'époque). Dos légèrement frottés, rousseurs, petite galerie de vers à la fin du vol. I, avec perte de quelques lettres, marge du premier feuillet restauré.
Il s'agit du très rare périodique officielle de l'Église constitutionnelle, dont les collections se présentent généralement incomplètes.Le premier volume regroupe les livraisons I-XXXVI (du 21 décembre 1791 jusqu'au 21 avril 1792) ; la numérotation redémarre à partir du numéro du 26 avril 1792 jusqu'au 28 juillet 1792, formant le second volume en 28 livraisons ; enfin, une seule livraison du 5 août 1792 termine la collection (il y aurait eu cependant une dernière livraison du 10 août 1792, d'après Deschiens, mais le fait demeure contesté). Il manque à notre ensemble les livraisons du 15 août au 14 décembre 1791.Le titre de ce périodique changea plusieurs fois : il était devenu le Journal de l'Église constitutionnelle de France, réuni au Journal chrétien et au Nouvelliste moral (à partir du numéro XVIII du 18 février 1792), puis le Journal de l'Église constitutionnelle de France, sans plus, à partir du numéro du 26 avril 1792, et enfin le Journal de l'Église de France, réuni au Journal chrétien, ou L'Ami des moeurs et de la vérité ; à la Correspondance religieuse et morale, et au Journal prophétique, à partir d'août 1792. C'est que l'histoire éditoriale de ce journal se présente de façon particulièrement embrouillée, en dépit de l'unité de son imprimeur et directeur, qui fut le prolifique journaliste Louis-Pierre Couret de Villeneuve (1749-1806), du début à la fin : le nouveau titre commença par conserver la présentation et poursuivre la numérotation et la pagination du "Journal chrétien", réuni avec un journal non identifié "paru ces jours derniers" ; quant au "Nouvelliste moral", il constituait seulement une rubrique dans le n° IV du "Journal chrétien". C'est au moment où Couret devint seul propriétaire et rédacteur (au n° 35 du 19 avril 1792), qu'il publia un prospectus et une circulaire sous le titre de : "Journal de l'Église constitutionnelle de France, réuni au Journal chrétien & à la Correspondance religieuse et morale avec les quatre-vingt-trois départemens". Mais la réunion avec la "Correspondance religieuse et morale" ne paraît pas avoir été réalisée, ce journal étant encore attesté en juillet 1792. Enfin, après la cessation de la parution du Journal de l'Église constitutionnelle de France, la numérotation de partie sera quand même reprise le 27 août 1792 par les livraisons du "Journal prophétique, par Pierre Pontard, évêque du département de la Dordogne", dont Couret devint alors l'imprimeur-rédacteur. Ce n'est pas grave si vous n'avez pas suivi.Deschiens, 188. Hatin, 209. Tourneux, III, 15411. Martin et Walter, Journaux, 610.Vignette ex-libris du séminaire de Carcassonne. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Collection Studies in the social sciences, 20.La Haye-Paris, Mouton, 1975 in-8, 194 pp., toile noire (reliure de l'éditeur).
Unique édition de cette monographie sur un périodique protéiforme de la Révolution : fondé en novembre 1792 par le Rennais Vatar, Le Républicain, journal des hommes libres de tous les pays était une feuille montagnarde. En 1793, elle inversa titre et sous-titre pour devenir le Journal des hommes libres de tous les pays. Interdit en 1798, le journal ne tarda pas à resurgir, sous de nombreux titres (Le Persévérant, Le Républicain, le Journal des Francs, la Correspondance des représentans du peuple, La Tribune nationale, La Lumière ou encore Le Consolateur). Il reprit son titre originel en juin 1799, mais fut de nouveau interdit trois mois plus tard ; il devint alors L’Ennemi des oppresseurs, puis le Journal des hommes, avant de choisir le nom plus évocateur de Journal des Républicains. Fin novembre 1799, il redevint – enfin – le Journal des hommes libres de tous les pays avant de disparaître définitivement un an plus tard, en septembre 1800. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Imprimerie de Le Normant, 1800-1815 3785 livraisons en 21 vol. in-folio, pagination multiple, texte sur deux colonnes, cartonnage d'attente de papier bleu (reliure de l'époque). Manquent certains dos.
Très intéressante collection, couvrant la presque totalité de la période impériale, de ce journal fondé par les frères Bertin, et dont l'histoire, comme l'importance, sont connues de tous.I. Du 1-2 vendémiaire an IX [23-24 septembre 1800] au 30 ventôse an IX [21 mars 1801]. - II. Du 1er germinal an IX [22 mars 1801] au 5e jour complémentaire an IX [22 septembre 1801]. - III. Du 19 décembre 1805 au 30 décembre 1806. Manquent les livraisons des 14, 17, 19, 20 et 24 avril, des 13, 20 et 24 mai, du 10 juin, du 9 août, des 7 et 24 septembre, des 1er et 14 octobre, des 23 et 24 novembre, des 3, 9, 10 et 31 décembre 1806. - IV. Du 1er janvier au 30 décembre 1807. Manquent les livraisons des 8, 9, 10 et 11 février, des 26 et 27 mars, des 19, 21 et 22 mai, du 23 juin, des 1, 2 et 3 juillet, du 26 septembre, du 8 novembre, des 15 et 31 décembre 1807. - V. Du 1er janvier au 30 décembre 1808. Manquent les livraisons du 20 mars, 16 et 17 avril, du 21 juin, du 12 juillet, des 6 et 21 novembre, des 15, 16, 19 et 31 décembre 1808. - VI. Du 1er janvier au 31 décembre 1809. Manquent les livraisons des 17, 18 et 19 janvier, des 16 et 17 février, des 4 et 31 mars, des 16 et 17 mai, du 31 juillet, des 12 et 15 août 1809. - VII. Du 1er janvier au 30 juin 1810. Manquent les livraisons des 5 et 6 janvier, et du 31 mars 1810. - VIII. Du 1er juillet au 31 décembre 1810. Manquent les livraisons des 9, 26 et 27 juillet, des 20 et 29 septembre, du 13 octobre 1810. - IX. Du 1er janvier au 30 juin 1811. Manquent les livraisons du 5 janvier, des 12, 13 et 16 février, des 4 et 22 mars, des 6, 7 et 8 avril 1811. - X. Du 1er juillet au 31 décembre 1811. Manquent les livraisons du 23 août au 2 septembre, toutes celles d'octobre, de novembre, et du 1er au 18 décembre 1811. - XI. Du 1er janvier au 30 juin 1812. Manquent les livraisons du 2 au 6 janvier, des 17 et 30 mars, et du 23 juin 1812. - XII. Du 1er juillet au 31 décembre 1812. Manque la livraison du 26 décembre. - XIII. Du 1er janvier au 30 juin 1813. Manquent les livraisons des 26 et 27 mars. - XIV. Du 1er juillet au 31 décembre 1813. Manquent les livraisons du 13 octobre, des 6, 13 et 25 novembre, du 18 décembre 1813. - XV. Du 1er janvier au 31 mars 1814. Manque la livraison du 13 mars. - XVI. Du 1er avril au 31 mai 1814. - XVII. Du Du 1er juin au 30 septembre 1814. Manquent les livraisons du 9 août, du 11 au 19 août, des 27 et 29 septembre. - XVIII. Du 1er octobre au 31 décembre 1814. Manquent les livraisons du 6 octobre, du 14 novembre, des 6, 8, 9, 10 et 11 décembre. - XIX. Du 1er janvier au 30 juin 1815. Manquent les livraisons des 3 et 13 janvier, ainsi que du 16 au 31 mars. - XX. Du 1er juillet au 31 août 1815. - XXI. Du 1er septembre au 31 décembre 1815. Manquent les livraisons du 11 septembre, des 29 et 30 octobre, des 19, 23 et 24 novembre. Hatin, pp. 130-131. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
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Paris, Émile-Paul, 1907 petit in-8, IX-397 pp., index, demi-maroquin rouge, dos à nerfs, tête dorée (reliure de l'époque).
Tulard, 962 : "Sœur de Chateaubriand, elle a consigné dans son journal tous les événements de 1814, du 11 février au 3 mai, jour où Louis XVIII entra à Paris. Malgré ses partis-pris royalistes, ce document constitue une source importante sur l'esprit public dans la capitale dans les derniers jours de l'Empire."Suivi du Journal d'Underwood. (p. 95-397)Tulard 1440 : "Peintre revenu en France après la rupture de la paix d'Amiens, il fut lié à Joséphine, Isabey, Marmont. Son journal correspond aux mois de janvier, février, mars et avril 1814. Remarquablement informé (l'auteur indique toujours la nature de ses sources), il nous éclaire sur l'état des esprits à Paris au moment de la chute de l'Empire."Envoi de l'éditeur.Bel exemplaire. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, Didier et Cie, 1860 2 vol. in-8, X-CCLI-256 pp. et 590 pp., demi-veau havane, dos lisse, filets à froid, couv. cons. (reliure moderne).
Bourgeois et André, II, 830 : "Ils comprennent seulement l'histoire des premières années, les seules vraiment brillantes, du règne personnel du Grand roi, 1661-1668. Louis XIV a pris des notes, éparses sur quelques feuillets, sur les événements importants de cette époque : il a dicté ensuite, d'après ces notes, un journal plus étendu. Ce journal a servi enfin de base pour la rédaction des mémoires proprement dits dans lesquels ont été insérés les documents, les instructions politiques et morales destinées à former l'esprit du jeune dauphin.(...)"Bon exemplaire. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT