Paris, Asselin et Houzeau editeurs, 1912; in-12, 303 pp., br. Broché bon état - 12e edition bruni - depuis les origines jusqu'a nos jours 1031-1911.
Reference : 201901350
Broché bon état - 12e edition bruni - depuis les origines jusqu'a nos jours 1031-1911.
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Paris, Conciergerie, s.d. ; in-16, broché, quelques reproductions.
Bon état.
Dépot à la conciergerie. 1926 c.. In-12. Broché. Etat passable, Plats abîmés, Dos abîmé, Intérieur bon état. 307 p. - Manque du second plat de couverture. Manques sur la dos... . . . Classification Dewey : 908.4434-Régionalisme : Ile-de-France
Classification Dewey : 908.4434-Régionalisme : Ile-de-France
Ed? Maison Quantin/ Compagnie gén. d'imp. et d'éd. 1887 272 pages. Ill. de gravures H.T. in-12 br
Paris, Société Française d'Editions d'Art, 1898. 12 x 18, 280 pp., quelques illustrations, reliure d'édition percaline rouge, très bon état (sauf dos légèrement insolé).
4e édition.
In-8 (174 × 115 mm) de 16 pages ; maroquin rouge, dos lisse avec titre or en long, trois filets encadrant les plats, deux filets sur les coupes, tranches dorées (Koehler).
Pièce très curieuse, romanesque à souhait, sur l’assassinat d’Henri IV. Elle est aussi connue sous le titre de «Manifeste de Pierre Du Jardin», qui figure en tête de la page 2. Témoignage véritable, délire « complotiste » ou manipulation politique ? En 1608, alors qu’il était au service du grand-duc de Toscane à Naples, Pierre Dujardin ou Du Jardin, fils d’un plâtrier de Rouen devenu mercenaire sous le nom de «Capitaine La Garde», aurait été approché par d’anciens membres de la Ligue qui projetaient d’assassiner le roi de France avec la complicité de la couronne d’Espagne. Dujardin affirme même avoir rencontré Ravaillac, porteur de lettres du duc d’Épernon : effrayé, il se serait rendu en France et aurait été reçu par le roi, qui n’aurait pas pris la menace au sérieux. À la suite de ces révélations, l’auteur aurait d’abord été accusé de complot et emprisonné, avant d’être reconnu innocent, libéré et dédommagé par arrêt du Parlement en 1616. Plusieurs historiens, dont Michelet, se sont appuyés sur ce document identifiant les responsables de la mort du roi, mais Jean-Christian Petitfils a émis des doutes quant à la réalité du complot et au témoignage de Dujardin, qui viserait surtout à discréditer le duc d’Épernon et Marie de Médicis (alors en disgrâce), et expliqueraient sa libération et la pension dont il a bénéficié jusqu’à sa mort. Exemplaire grand de marges, finement relié par François Koehler au milieu du xixe siècle. Provenance : Librairie Jean Clavreuil (1993, étiquette). Références : Frère, I, 393. – S.H.F., no 3273. – J.-C. Petitfils, L’Assassinat d’Henri IV, Paris, Perrin, 2009.