Grenoble, ARTHAUD , s.d.; in-4, br. Avec jaquette.
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Œuvre de Pierre Matthieu, historiographe du «bon roi Henri». A Lyon, De l’Imprimerie de Pierre Michel. Avec privilège. 4 septembre 1595. In-4 de (4) ff. titre compris, 104 pages, 1 portrait à pleine page et 1 grande planche double. Maroquin caramel, triple filet doré, chiffre répété en semé sur les pats, dos orné du chiffre répété, doublure et gardes de moire chocolat (Honegger). 258 x 187 mm.
Edition originale rarissime de l’un des plus beaux et intéressants livres consacrés au roi henry IV dont un seul autre exemplaire est apparu sur le marché public national et international depuis cinquante ans. Pierre Berès cataloguait 10000 € en 1995, il y a 29 ans, un exemplaire lavé, médiocre, relié en demi-velin à coins moderne. Brun, p. 181; Vinet, n°479; Diane Barbier-Mueller, Inventaire…, n°512. «Livre très rare» mentionne Ruggieri, n°327. Un seul exemplaire serait répertorié en Grande Bretagne: British Library et trois aux U.S.A: New York Public Library, Michigan State Univ. et Walters Art Museum. Parmi ces quatre exemplaires plusieurs sont incomplets de la superbe grande planche dépliante imprimée en 1595 présente à l’état neuf dans notre exemplaire. Le 27 février 1594 l’onction sacrée et le couronnement à Chartres faisaient vraiment d’Henri IV le roi de France et le «Très chrestien». Le 22 mars le gouverneur Brissac et le prévôt des marchands ouvraient les portes de Paris aux troupes royales. La ville était ainsi prise sans coup férir et presque sans combat. En quelques mois toutes les villes du royaume allaient suivre l’exemple de la capitale. La paix définitive serait signée à Vervins le 2 mai 1598. Dans ce contexte encore troublé les entrées triomphantes de Henri IV dans les grandes villes de son royaume revêtaient un éclat tout particulier et notamment l’entrée du Monarque dans la ville de Lyon, le 4 septembre 1595. Célébrée au lendemain de la signature de l’«Edit deNantes» et de la paix de Vervins, l’Entrée de Henry IV dans la ville de Lyon fut l’objet de fastes inusités. Le roi arrive en bateau à Veise où se forma le somptueux cortège qui s’élança vers Lyon en traversant de multiples arches décorées de statues, colonnes et pyramides. La plupart sont représentées sur la grande planche dépliante non signée mais vraisemblablement dessinée par un artiste italien. L’auteur, Pierre Matthieu, embrassa avec ardeur le parti de la ligue, et se signala par son attaque pour les Guises. Cependant la ville de Lyon s’étant soumise en 1593 à l’autorité royale, il fut l’un des députés envoyés à paris pour présenter au roi l’hommage de la fidélité des habitants. Dès ce moment, Matthieu devint l’un des partisans les plus zélés d’ Henri IV; et il se chargea de diriger toutes les fêtes qui eurent lieu à Lyon, lorsque ce prince visita cette ville en 1595. Le roi lui témoigna particulièrement sa satisfaction des soins qu’il avait pris, et lui accorda un privilège pour l’impression de ses ouvrages. Matthieu ne tarda pas à se rendre à Paris, où, sur la recommandation du président Jeannin, Henri IV l’appela pour le charger d’écrire son histoire. Le roi, dans ses loisirs, entretenait lui-même Matthieu des particularités de son règne: assuré de l’amour et du respect de la postérité, il invitait surtout son historien à s’exprimer avec une entière franchise, à ne se permettre aucune réticence. «Il faut, disait-il, des ombres dans un tableau pour en rehausser les vives couleurs. Si l’on ne parlait de l’un, on ferait doute de l’autre: la flatterie rendrait la vérité suspecte.» Matthieu remplaça Duhaillan dans les fonctions d’historiographe, dont il avait déjà le titre. Après la mort de Henri, il fut également attaché à Louis XIII, qui lui témoigna les mêmes bontés que son père. Le volume est orné d’un beau portrait du roi Henri IV dessiné le 13 décembre 1593 et gravé au burin pour cette édition en 1595. Le texte, fort intéressant, révèle le faste de la cérémonie. «Dès la pointe de ce jour, l’un des plus doux & plus beaux de l’année, les rues furent tapissées, le pavé couvert de sable. Monsieur Laurans Conservateur des Privilèges des foires de Lyon, qui à son tour était entré pour ce mois en la charge de sergent Major, fit armer & conduire les compagnies des trente & six quartiers de la ville aux faubourgs de Veise au lieu où il les devait mettre en ordre, pour marcher devant le Roy. Monsieur Sève Capitaine de la jeunesse de Lyon fit sonner ses trompettes pour monter à cheval. Tous les corps de tous les ordres de la ville se preparerent pour marcher en leur rang. Sur les huit heures du matin après la Messe, le Roy entra au bateau pour monter sur la rivière jusques à la Clare où était le Theatre des premieres cérémonies. Ce bateau était d’une belle & riche structure, à douze rames, le couvert au dehors peinturé en écailles d’argent, le dedans de damas incarnat & blanc, avec les rideaux de même étoffe: à la poupe sur le gouvernail était un Lyon de bronze doré. Le Roy apres son diner se fit voir en son trône royal eslevé sur un échafaud de septante pied de longeur & trente de largeur, dont le dessus était couvert de taffetas vert, le parterre de tapisserie, les barrières d’autour de tapis, avec deux escaliers afin que ceux qui se presenteraient à sa Majesté puissent monter & descendre sans désordre. A la droite du dais & siège du Roy y avait une grande table d’attente en ovale, environnée de festons de lierre & or clinquant. Le Roy était vêtu de toile d’argent enrichie de perles & broderies monté sur un cheval blanc & harnaché de blanc, environné des Gentils-Hommes de la garde de son corps, avec les hallebardes & hocquetons blancs, faicts d’orfèvrerie. Sa Majesté était suivie par monseigneur le Duc de Guise, monsieur le Maréchal de Brissac, & plusieurs autres grands seigneurs. Comme on marchait en cet ordre, S.M. arriva à la porte du faubourg de Veyse, laquelle était revêtue d’un avant-portail à la rustique, qui soutenait une longue voute de verdure, au fond de laquelle paraissait un Saturne couché sur une gerbe d’or, ombragé d’un Chêne, dont la chevelure était frisée de toutes sortes de fruits, tenant en main une corne d’Amalthee qu’il presentait à un Lyon, au milieu d’un beau & riant paysage. Le Roy passant outre arriva à la porte neuve du Pont-levis où Messieurs les Echevins l’attendaient pour lui présenter les clefs de la ville. On lui présenta aussi le Poile de drap d’or, enrichi de fleurs de Lys, armes, chiffres & devises de sa Majesté, faites en broderie. Comme le Roy approcha de la principale porte de la ville qui est à pierre fize toutes les cloches commencèrent à sonner, & l’artillerie à canonner, avec un tel bruit que quand l’air eut été en tonnerres & éclairs il se fut rasséréné, & Jupiter n’eut sceu faire ouyr son foudre. Devant cette porte fut élevé un grand arc, d’une belle & ingénieuse architecture, haut de cinquante pieds, large de vingt & deux, ses statues & figures de bronze, ses colonnes & pilastres ceints de marbre blanc, revêtu des admirables effets de la gloire & vaillance du Roy. Le premier ordre était Dorique ayant à chaque côté de l’Arcade deux colonnes cannelées, liées d’un laurier de bronze, sur un piédestal, …» Belle illustration comprenant une planche double à l’eau forte, non signée, qui rappelle un peu le style de celles du recueil de Tortorel et Périssin; elle représente les méandres du cortège passant sous les cinq grands arcs de triomphe érigés dans la ville, au bord de la Saône, au milieu d’obélisques, de colonnes et de statues allégoriques; les personnages, à pied ou à cheval, portant armes, drapeaux et emblèmes, suivent le roi, à cheval, sous un dais. Précieux volume, lavé comme les exemplaires Berès et Sourget avec un ex-libris gravé portant les initiales PR et la devise Notre-Dame protège la France et la lignée de nos rois, indéterminé et l’ex-libris Jean-Paul Barbier-Mueller. Deux feuillets liminaires intervertis et marge blanche du dernier cahier N légèrement plus courte.
Lyon, Claude de La Rivière, 1646. In-12 de (8)-234-(3) pp., maroquin rouge, dos à nerfs orné à petits fers, super-libris dans un triple filet doré d'encadrement sur les plats, dentelle intérieure, tranches dorées (Capé).
Édition originale rare de ce recueil curieux où sont réunies en guise d'exempla les histoires de Coriolanus, Porcia, Cornelie, Jugurtha, Caligula, Darius, Origene, Tertullien, Belisaire, Catherine Reine d'Angleterre, Charles de France etc. Benoît Gonon, né à Bourg-en-Bresse vers 1580 mort à Lyon en 1656, se fit moine célestin vers 1608, fit imprimer de nombreux ouvrages et laissa plusieurs manuscrits.Ex-libris manuscrit à l'encre du temps sur le titre "de Stavay-Mollondin", probablement Jacques d'Estavayer-Molondin (Soleure 1601 - Cressier 1664) connu sous le nom de Stavay-Molondin. Membre du Grand Conseil de Soleure dès 1642, du Petit Conseil dès 1649, il mena une carrière diplomatique et militaire au service de France. D'abord contrôleur de l'extraordinaire des guerres pour la France dans la Valteline en 1624, il remplit la fonction de secrétaire interprète de l'ambassade de France à Soleure de 1624 à 1648 et assuma des missions dans le Valais et les cantons catholiques entre 1625 et 1627. Il leva des compagnies en 1630 et 1635, année où il devint colonel de son régiment (Molondin), qu'il remit dix ans plus tard à son frère Laurent, ne conservant que sa compagnie aux Gardes suisses, levée en 1639. Il prit part à des campagnes en Allemagne (1635), en Picardie (1636), en Lorraine (1637, à Rocroi en 1643), en Flandre (1638, 1644), en Dauphiné (1639), en Artois (1640 et 1641), dans le Roussillon (1642). Maréchal de camp en 1645, il fut le premier Suisse à obtenir cette charge. Au service du prince de Neuchâtel, d'Estavayer fut nommé en 1628 châtelain du Landeron et conseiller d'Etat. En 1643, Henri II d'Orléans-Longueville lui confia la charge de capitaine et lieutenant ordinaire du comté de Valangin, en 1645 celle de gouverneur de la principauté de Neuchâtel, qu'il occupa jusqu'à sa mort. Instigateur de l'érection en 1656 de la paroisse de La Chaux-de-Fonds en mairie, il reçut en 1659 la bourgeoisie d'honneur de cette commune. [Eric-André Klauser: "Estavayer-Molondin, Jacques d'", in: Dictionnaire historique de la Suisse (DHS)].Provenance : Joseph Nouvellet avec ex-libris sur le contreplat supérieur - devise "In tenebris lucent" accompagné de la mention : "Bibliothèque de Mr Joseph Nouvellet à Saint André de Corcy (Ain)" - et deux cachets apposés sur trois feuillets manuscrits de renseignements bibliographiques reliés en tête d'exemplaire. « Livre très rare et fort curieux. Il est très difficile d'en trouver des exemplaires en aussi belle condition. Cet ouvrage populaire ayant été beaucoup lu, se trouve généralement en mauvais état. ». Joseph Nouvellet (1841-1904) avait réuni une bibliothèque importante, vendue plusieurs années avant sa mort, par Louis Brun libraire-expert à Lyon. La collection se composait principalement d'ouvrages relatifs à l'histoire de Lyon, du Lyonnais, de la Bresse, du Bugey et de la Dombes. (Catalogue de l'importante et magnifique bibliothèque de M. X. ... de Lyon ... vente aux enchères publiques à l'Hotel des ventes à Lyon, le lundi 14 décembre et 8 jours suivants. Lyon, 1891).Bel exemplaire dans une reliure signée Capé ornée du super-libris du libraire lyonnais Auguste Brun (devises "Travaille, Prie et espère" et "Deus providebit"). Auguste Brun (23 juin 1821 - 27 mai 1904) qui ouvrit en 1847, rue du Plat, la "Librairie ancienne" à l'enseigne de la Providence qui « ne tarda pas à devenir la mieux achalandée de Lyon et, pendant de longues années, fut le rendez-vous d’un groupe de bibliophiles et d’érudits. Auguste Brun s’était spécialisé dans les ouvrages héraldiques, généalogiques et historiques et devint l’éditeur de nombreuses publications sur le Lyonnais, Forez et Beaujolais. Pendant près de quarante ans, il rédigea les catalogues de la plupart des bibliothèques vendues aux enchères, à Lyon. Il s’était créé une bibliothèque personnelle, composée principalement d’ouvrages relatifs au Velay, son pays natal, et à la Provence, sur lesquels il apposait l’ex-libris ci-dessus dessiné par Steyert, reproduction de sa marque de libraire. (…) A. Steyert dont il avait édité l’Armorial du Lyonnais et dont il avait facilité ses travaux par sa bienveillance et par la communication des livres de sa librairie » (Armorial des bibliophiles du Lyonnais, Forez, Beaujolais et Dombes par W. Poidebard, J. Baudrier et L. Galle (Lyon : Société des bibliophiles lyonnais, 1907), p. 76.).
Lyon, , 1754. Manuscrit in-8 (14 x 19 cm) de (1)-XVIII-619 pp. 54 pp., maroquin noir, dos à nerfs, pièce de titre manuscrite (reliure de l'époque).
Manuscrit daté 1754 consacré à la retraite pour les religieuses de la Visitation Sainte-Marie de Bellecour à Lyon, établi selon l'avertissement d'après la parole du Révérend Père de Chargey : octave de méditations, conférences et lectures qui abordent plusieurs aspects de la vie religieuse comme les amitiés et les aversions naturelles, le voeu de chasteté, les péchés des religieux, la pensée de la mort, la médisance, les tentations secrètes, la vie domestique de Jésus Christ avec les apôtres etc. Suivi, avec une pagination séparée de : Récapitulation de la retraite donnée à l'Abbaye Royales des Dames de Saint Pierre de cette ville au mois de septembre 1754 par les Révérends Pères de Chargey et de Vaubonne qui contient Pratique de piété pour se préparer à la fête de Saint François de Sales, les trois jours qui la précèdent et pour l'octave qui la suit.L’ordre de la Visitation Sainte-Marie est présent à Lyon à partir de 1615. Le premier monastère est ouvert à Bellecour : la Visitation Sainte-Marie de Bellecour. En 1613, les travaux du premier monastère de l’ordre débutent à Annecy et se termineront en 1614. Face au succès rencontré, l’ordre décide très vite de fonder d’autres couvents. Lyon est choisi pour la création d’un deuxième établissement en 1615. Ce sera le premier en France. Mais pour obtenir les autorisations, François de Sales va se confronter au cardinal archevêque de Lyon Denis-Simon de Marquemont qui refusera de transiger sur ce qui constituait jusqu’alors les fondements mêmes de l’ordre : une clôture stricte devra être respectée par les sœurs et ce afin de se conformer aux règles en vigueur imposées par Rome aux congrégations de religieuses. A partir de cette date, cette règle s’appliquera à tous les nouveaux monastères de l’ordre qui s’ouvriront et se traduira physiquement dans les plans des monastères qui seront conçus de façon à respecter la réclusion des soeurs. (Patrimoine Lyon)Provenance manuscrite (titre) : « Ce livre du Monastère de la Visitation de Ste Marie de Montélimar ».Un seul manuscrit attribué au Père de Chargey est recensé au Catalogue collectif de France et conservé à la Bibliothèque de l’Académie des Sciences, Belles-Lettres et Arts de Lyon (cote Ms PA 86) : « Retraite spirituelle, donnée dans le premier monastère de la Visitation Sainte-Marie de Bellecour, à Lion, en 1754, par le R. P. de Chargey, de la C. de J. » (279 pages).Copieux manuscrit rédigé à l'encre brune, parfaitement lisible, conservé dans sa première reliure en maroquin noir janséniste.
(Lyon), Jacques-Nicolas Senocq, 1849. Placard autographié (560 x 440mm).
Appel à l'installation du Gouvernement universel à Lyon en 1849. « Au nom de Dieu et de la République française santi Apoléon 4 de France, Roi de la nouvelle Rome, fils de Jessé, Empereur des Gentils, Chevalier de la Légion d'honneur, Commandant général de toutes les armées Française, Romaine, Italienne, Piémontaise, Savoie, Suisse, Autrichienne et Gentillienne, avec notre aimable conseil républicain, savoir : l'Empereur, le Roi, le Prince, les deux Ambassadeurs. Nous avons ordonné et ordonnons ce qui suit : savoir la nomination, l'installation du Gouvernement universel composé de 10000 français de deux langues, langue latine et langue française, et 5000 étrangers. Nouveau grand ministère universel des deux langues, langue latine, langue française pour le Prince Prophète d'Apoléon 4 de France, Roi de la Nouvelle Rome, fils de Jessé, l'Empereur des Gentils, Robertos son Prophète ».Pièce très rare imprimée par Jacques-Nicolas Senocq accompagnée au verso d'une demande autographe signée pour obtenir l'autorisation du préfet de Lyon, pour la reproduction en 500 exemplaires de cette affiche étonnante : Je soussigné lithographe à Lyon déclare déposer cinq épreuves conformes au modèle ci derrière, prie Monsieur le Préfet de vouloir bien autoriser à imprimer la dite autographie pour le compte de Mr. Robertos éditeur et auteur dudit au nombre de cinq cents exemplaires. Loyn, le 20 7bre 1849. Senocq imprimeur lithographe Rue Puits Gaillot 29.Professeur d’écriture et sténographe, Jacques-Nicolas Senocq était employé à la Mairie de Lyon et demeurait rue Sirène (rue Lanterne) lorsqu’il créa son atelier, en 1853. Celui-ci fut autant et plus encore une lithographie qu’une imprimerie en caractères. Senocq était d’ailleurs ouvrier sur pierre et travaillait dans l’imprimerie Rey et Sézanne, rue Saint-Côme 2, quand, en 1850, il épousa la fille d’Antoine Ronet, associé de François Dumoulin. Il avait été reçu imprimeur typographe en 1852 lorsqu’il s’établit au numéro 16 de la rue Centrale. La même année, il est domicilié rue Puits-Gaillot 29, puis rue Centrale 20 en 1854.En 1855, 1856 et 1857, l’Almanach de Lyon le signale encore mais sans lui donner d’adresse, et en 1859, une liste d’imprimeurs le dénonce cours de Brosses (cours Gambetta). Senocq, venu de la Moselle, éditait de la poésie, des chansons et de la musique. (Musée de l'imprimerie de Lyon)Un seul exemplaire au Worldcat (BnF). Brunet, Les Fous littéraires, p. 174 ("Roberts") ; absent de Blavier.
Musée des beaux-arts (Lyon) ; VINCENT, Madeleine ; JULLIAN, René, dir.
Reference : 97238
(1956)
Lyon, Les éditions de Lyon 1956 In-4 25 x 16,5 cm. Broché, couverture ivoire, titre en rouge sur le VII-417 pp., 8 planches en couleurs hors-texte., 96 pl. en noir & blanc h.t., bibliographie, table des planches. Dos cassé, intérieur très frais. L’un des 1400 exemplaires sur alfa de cellunaf.
Bon état d’occasion