Toulouse, Privat editeur " Rhadamanthe", 1971; in-8, 214 pp., br. Très bon état - textes choisis et présentés par E. Trillat.
Reference : 201504551
Très bon état - textes choisis et présentés par E. Trillat.
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Revue Française de psychanalyse - Revue Bimestrielle - Organe officiel de la Société Psychanalytique de Paris
Reference : 17901
Paris, La semaine médicale, 1909, in-8, 30 pp, Broché, Ultime publication de Babinksi sur la destruction du concept d'hystérie selon Charcot. Formulée pour la première fois en 1901 dans la Revue neurologique ("La définition de l'hystérie"), cette profonde remise en cause de la théorie de l'hystérie consiste en sa redéfinition nosographique. Selon Babinski, l'hystérie doit être clairement distinguée des lésions organiques et des simulations, et ainsi porter un autre nom, pithiatisme, lié à sa nature essentiellement psychique et suggestive, voire auto-suggestive. "Consequently, the Charcot etiological theory of a dynamic lesion of the cerebral cortex was ruled out by Babinski, who favored the idea that hysteria was a purely psychic disorder" (Following Charcot, Karger, 1911, p. 99). Très bon exemplaire enrichi de deux tirés à part de 1912 : études de Babinski réalisées en collaboration avec Chaillous, Martel et Jumentié. Couverture rigide
Bon 30 pp.
Paris, Baillère et Fils, 1870, in-8, [4] ff, 143 pp, 1bl, [48] pp. de catalogue, Broché, couverture imprimée, PREMIÈRE ÉDITION de cette étude d'Emile Chairou, médecin en chef de l'Asile Impérial du Vésinet et élève du docteur H. Roger, sur l'hystérie. Depuis la théorie neuro-génitale de Landouzy, couronnée par l'Académie de médecine en 1845, l'hystérie est communément envisagée comme une "névrose de l'appareil générateur de la femme". Dans cet ouvrage, Chairou, définit l'hystérie comme "une névrose prenant son point de départ dans la congestion des ovaires, principalement de l'ovaire gauche, et déterminant l'abolition du mouvement réflexe de l'épiglotte d'abord et toute sorte de perturbations nerveuses ensuite". Concevoir ainsi la maladie de manière purement physiologique adoucira le diagnostique d'hystérie, si déshonorant à l'origine. (Nicole Edelman, Les métamorphoses de l'hystérique, p.130, 246) Dos fragilisé, couverture légèrement salie. Cachet ex-libris du docteur Carrier sur la page de titre Couverture rigide
Bon [4] ff., 143 pp., 1bl., [48]
Paris, J.B. Baillière et fils, 1901, in-8, VIII-320 pp, Broché, couverture imprimée de l'éditeur, non coupé, EDITION ORIGINALE de cette thèse sur l'hystérie auriculaire du Dr Fleury Chavanne, disciple de Lannois à qui il dédie cette étude. A travers cet ouvrage, Fleury Chavanne entend déterminer l'histoire des rapports entre l'oreille et l'hystérie, et regrouper les diverses manifestations auriculaires de la névrose. Découverte en premier lieu par Fabricius Hidanus en 1595, l'hystérie auriculaire fit l'objet de plusieurs études par la suite. Elle peut se manifester sous deux aspects : soit à l'état d'épiphénomènes, soit à l'état d'hystérie auriculaire monosymptomatique. Ainsi, ce trouble auditif engendre des cas d'anesthésie provoquant plusieurs formes de surdité, d'hyperesthésie (hypercousie douloureuse, zones hystérogènes, otalgie ou algie mastoïdienne), ainsi que des otorrhagies. Cette étude est agrémentée de 84 diagrammes dans le texte. Agréable exemplaire, deux légers manques restaurés au plat inférieur. Envoi signé de l'auteur à l'attention du docteur Carrier en tête d'ouvrage. Cachet ex-libris du docteur Carrier sur le plat supérieur et la page de titre. Couverture rigide
Bon VIII-320 pp.,
Paris, J.B. Baillière et fils, 1870, in-12, [4]-143 pp, Broché, couverture d'attente bleue de l'époque, PREMIÈRE ÉDITION de cette étude d'Emile Chairou, médecin en chef de l'Asile Impérial du Vésinet et élève du docteur H. Roger, sur l'hystérie. Depuis la théorie neuro-génitale de Landouzy, couronnée par l'Académie de médecine en 1845, l'hystérie est communément envisagée comme une "névrose de l'appareil générateur de la femme". Dans cet ouvrage, Chairou, définit l'hystérie comme "une névrose prenant son point de départ dans la congestion des ovaires, principalement de l'ovaire gauche, et déterminant l'abolition du mouvement réflexe de l'épiglotte d'abord et toute sorte de perturbations nerveuses ensuite". Concevoir ainsi la maladie de manière purement physiologique adoucira le diagnostique d'hystérie, si déshonorant à l'origine. Ex-libris manuscrit Michel Collée. Nicole Edelman, Les métamorphoses de l'hystérique, p.130, 246 Petites et pâles rousseurs. Couverture rigide
Bon [4]-143 pp.