, Cherche midi , 2014; in-8, 461 pp., br.
						Reference : 201412995
					
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 Paris, Librairie de Furne et Charles Gosselin, 1836 2 vol. (140 x 215 mm) de VIII-322 pp. ; [2] ff. et 328 pp. Brochés, étui-chemises bordé (signé de Goy et Vilaine). Edition originale.
« Jocelyn est un homme sensible et passionné que des circonstanes et des vertus jettent dans le sanctuaire, et qui devient curé de village. » Comme Lamartine en avertit son lecteur, ce texte est « un fragment d'épopée intime » qui doit « (...) être lu comme cela fut écrit. C'est un rêve d'un coeur de seize ans ». À ce « rêve », l'auteur travaillera pendant quatre ans et ce qui ne devait être qu'un poemetto de deux chants devint une épopée qui en compte sept, composés de plusieurs milliers de vers, « demain je termine la copie de huit mille vers que j'ai promis à Gosselin », annonce-t-il à un ami le 14 novembre 1835. Enfin achevée, succède à la tâche d'écrire celle, dirait-on aujourd'hui, de promouvoir. Lamartine s'y attelle avec beaucoup d'ardeur, touchant nombre de critiques et d'influents personnages, mais sans se douter du succès qui allait survenir à quelques jours seulement de la sortie en librairie : « Jocelyn (...) a fait son trou plus large que je ne croyais. C'est une fureur, une rage. Cela passe les Premières Méditations en succès unanime. Cela se lit dans les cours de tous les professeurs, dans les collèges, et cela s'en va par milliers d'exemplaires » (lettre à Virieu) ; « Jocelyn triomphe d'heure en heure dans le coeur des femmes » confie-t-il encore à Sainte-Beuve) et, à Cazalès : « Je passe mon temps (...) à répondre à des billets parfumés ». Enfin, la gloire appportant avec elle l'argent, il écrit à un autre : « Mon poème a un succès inouï. C'est magnifique ! Je ne m'y attendais pas ! Mon libraire me dit que je gagnerai 400.000 francs ! » 
 Paris, Librairie de Charles Gosselin, Librairie de Furne, 1836 2 vol. (140 x 220 mm) de VIII-322 pp. ; [2] ff., 328 pp. Demi-chagrin maroquiné à coins, dos à nerfs, fleurons dorés, couvertures et dos conservés, étui bordé (reliure signée de Devauchelle). Edition originale.
« Jocelyn est un homme sensible et passionné que des circonstanes et des vertus jettent dans le sanctuaire, et qui devient curé de village. » Comme Lamartine en avertit son lecteur, ce texte est « un fragment d'épopée intime » qui doit « (...) être lu comme cela fut écrit. C'est un rêve d'un coeur de seize ans ». À ce « rêve », l'auteur travaillera pendant quatre ans et ce qui ne devait être qu'un poemetto de deux chants devint une épopée qui en compte sept, composés de plusieurs milliers de vers, « demain je termine la copie de huit mille vers que j'ai promis à Gosselin », annonce-t-il à un ami le 14 novembre 1835. Enfin achevée, succède à la tâche d'écrire celle, dirait-on aujourd'hui, de promouvoir. Lamartine s'y attelle avec beaucoup d'ardeur, touchant nombre de critiques et d'influents personnages, mais sans se douter du succès qui allait survenir à quelques jours seulement de la sortie en librairie : « Jocelyn (...) a fait son trou plus large que je ne croyais. C'est une fureur, une rage. Cela passe les Premières Méditations en succès unanime. Cela se lit dans les cours de tous les professeurs, dans les collèges, et cela s'en va par milliers d'exemplaires » (lettre à Virieu) ; « Jocelyn triomphe d'heure en heure dans le coeur des femmes » confie-t-il encore à Sainte-Beuve) et, à Cazalès : « Je passe mon temps (...) à répondre à des billets parfumés ». Enfin, la gloire appportant avec elle l'argent, il écrit à un autre : « Mon poème a un succès inouï. C'est magnifique ! Je ne m'y attendais pas ! Mon libraire me dit que je gagnerai 400.000 francs ! ». 
 Paris, Grasset, (mars) 1953 1 vol. (120 x 185 mm) de 254 pp. et [1] f. Broché. Édition originale. Un des 15 exemplaires sur vélin vert d'eau (n° V), celui-ci imprimé pour le docteur Pierre Renard. Envoi signé : " Pour le Dr Pierre Renard. Ah ! si j'en croyais Chatté, j'écrirais des roses. Je ne sais ce que vous lui avez envoyé hier. Il délire d'amitité pour vous. Moi aussi. Jouhandeau. 13 avril 1953"
 Paris, Flammarion, (décembre) 1945 1 vol. (120 x 190 mm), de 1 f., 307 p. et [1] f. Broché. Tirage post-Goncourt. Un des 2 000 exemplaires sur vélin des Vosges imprimés « à l'occasion du prix Goncourt » (n° G.369).
 1613 Genève, Paul Marceau, 1613. — Leyde, Louis Elzevier, 1614. 2 parties en un vol. in-12, I : (4) ff., 95 pp. ; II : 150 pp. ; parchemin de l'époque très usagé, traces de liens, armes frappées en noir sur le premier plat (avec "Ge. Lippai. Ar. St.").La première édition de cette satire parut en 1610, et connut de nombreuses rééditions.Ex-libris manuscrit sur le premier titre, daté 1614.Manques au dos, plats tachés. Rousseurs à la deuxième partie.