Paris, Robert Laffont - BEST SELLERS, 2007; in-8, 344 pp., br. Très bon état - broché - traduit de l'américain par Patrick Berthon.
Reference : 201409861
Très bon état - broché - traduit de l'américain par Patrick Berthon.
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Paris, Imprimerie de Valleyre, 1773. In-4 de 42 pp. Cordier, 332. Supplément au Mémoire à consulter pour Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais, Ecuyer, Conseiller-Secrétaire du Roi & Lieutenant-Général des Chasses au Bailliage & Capitainerie de la Varenne du Louvre, Grande Vénerie & Fauconnerie de France, accusé en corruption de Juge & calomnie. De l'Imprimerie de Quillau, 1773. In-4 de 64 pp. Cordier, 334. Addition au Supplément au Mémoire à consulter pour Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais, Écuyer, Conseiller-Secrétaire du Roi & Lieutenant-Général des Chasses au Bailliage & Capitainerie de la Varenne du Louvre, Grande Vénerie & Fauconnerie de France, accusé : servant de Réponse à Madame Goezman accusée, au Sieur Bertrand Dairolles, accusé, aux Sieurs Marin, Gazetier de France, & Darnaud Baculard, Conseiller d'Ambassade, assignés comme témoins. Paris, de l'Imprimerie de Ph. D. Pierres, 1774. In-4 de 78 pp. Cordier, 336. Requête d'Atténuation pour le Sr Caron de Beaumarchais. A Paris, de l'imprimerie de Knapen, 1773. In-4 de (2)-28 pp. Cordier, 337. Quatrième Mémoire à consulter, pour Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais, Écuyer, Conseiller-Secrétaire du Roi, Lieutenant-Général des Chasses, &c. Accusé de corruption de Juge. Contre M. Goezman, Juge accusé de subornation & de faux ; Madame Goezman, & le Sieur Bertrand, accusés ; les Sieurs Marin, Gazetier ; Darnaud-Baculard, Conseiller d'Ambassade ; & Consorts. Et réponse ingénue à leurs Mémoires, Gazettes, Lettres courantes, Cartels, Injures, & mille & une Diffamations. De l'Imprimerie de J.G. Clousier, 10 Février 1774. In-4 de 108-(1) pp. 5 pièces reliées en un vol. in-4, basane marbrée, dos orné à nerfs, pièce de titre en maroquin rouge, tranches rouges (reliure de l'époque).
Édition originale des cinq mémoires de Beaumarchais dans l'affaire Goëzman. Le 17 Juillet 1770, le financier Pâris-Duverney meurt et les dispositions qu'il a prises dans son testament en faveur de Beaumarchais sont contestées par le comte de La Blache, son légataire universel. Un procès s'ensuit et les biens de Beaumarchais sont finalement saisis lorsqu'en 1773 il publie à propos des agissements du rapporteur à son procès, le juge Goëzman, quatre mémoires dont l'esprit et la dialectique ont un retentissement considérable et font condamner le juge, le 26 février 1774.« Ces mémoires singuliers sont encore le plus beau titre littéraire de leur auteur ; ils l'environnèrent d'une réputation bruyante qui alarma Voltaire lui-même, jaloux de toute espèce de gloire et lui concilièrent je ne sais quelle faveur publique, dont il tira plus de force que de considération, mais qui n'en préparèrent pa moins le succès de tous ses ouvrages » (Michaud). Rousseurs éparses, coiffe de tête usée, mors frottés et fendus en tête, épidermures.
Sans lieu [Paris], 1774, in-12, 499 pp, cinq parties en un volume relié demi-veau havane époque, dos lisse orné de filets dorés, tranches jaunes. Manque la page de titre, sinon bon exemplaire sans rousseurs
Réédition en un volume au format in-12 des cinq mémoires de Beaumarchais dans l'affaire Goëzman. Le 17 juillet 1770, le financier Pâris-Duverney meurt et les dispositions qu'il a prises dans son testament en faveur de Beaumarchais sont contestées par le comte de La Blache, son légataire universel. Un procés s'ensuit et les biens de Beaumarchais sont finalement saisis lorsqu'en 1773 il publie à propos des agissements du rapporteur à son procès, le juge Goëzman, quatre mémoires dont l'esprit et la dialectique ont un retentissement considérable et font condamner le juge, le 26 février 1774. Ces mémoires singuliers sont encore le plus beau titre littéraire de leur auteur ; ils l'environnèrent d'une réputation bruyante qui alarma Voltaire lui-meme, jaloux de toute espèce de gloire et lui concilièrent je ne sais quelle faveur publique, dont il tira plus de force que de considération, mais qui n'en préparèrent pas moins le succés de tous ses ouvrages. (Michaud).
Nouvelle édition française entièrement revue et corrigée. Avertissement de Anton Suter, Dr. en droit. Critique de la guerre et des forces en présence. Situation économique de l'Allemagne.Paris, Payot 1915 - 334 pp.Reliure demi chagrin noir de l'époque. Dos à nerfs avec initiales dorées en queue. Pas de rousseur. Dos insolé et légèrement frotté. Bon état. Format in-8° (22x15).
Lausanne, Verlag von Payot & Cie, 1915. In-8 reliure cartonnée demi-chagrin, titre et floraisons dorés sur dos à nerfs, 378 p., texte en allemand - TBE /// Very good condition, hardcover, german text
P., Librairie Payot & Cie, 1915, in-8°, 334 pp, reliure demi-chagrin noir, dos à 5 nerfs soulignés à froid, titres et fleurons dorés (rel. de l'époque), dos lég. frotté, bon état
Par Richard Grelling (1853-1929), avocat, journaliste, écrivain et militant pacifiste allemand. Candidat du Parti progressiste en 1887, Grelling est le cofondateur en 1892 de la Deutsche Friedensgesellschaft (Société allemande de la paix). Exilé en Suisse pendant la Première Guerre mondiale, il critique vivement l'Allemagne qu'il rend responsable de la guerre dans son ouvrage paru à Lausanne en 1915, “J'accuse !”. — "Ce livre, d'un intérêt extraordinaire, paru d'abord en langue allemande, a eu un très grand retentissement. C'est l'ouvrage le plus important que la guerre ait inspiré. Sa publication a été un événement d'une portée mondiale. C'est le cri d'angoisse d'un patriote allemand clairvoyant qui aurait voulu arrêter la nation germanique sur les bords de l'abîme. Sur les menées de l'impérialisme allemand, la responsabilité des dirigeants, la préméditation cynique du plan d'agression austro-allemand, la démonstration est péremptoire et définitive." (L'Editeur) — "J'accuse, qui a fait du bruit, est un document intéressant de toute façon, mais d'un intérêt capital s'il est bien d'un Allemand. On en peut tout d'abord douter : l'anonymat, le titre à effet, une sévérité extrême, presque excessive, pour l'Allemagne, une véhémence passionnée contre elle, par contraste une sympathie presque ostentatoire pour l'Angleterre, de nombreuses pages parsemées de taches blanches qui sont, dit-on, précaution d'une censure volontaire, quoique l'ouvrage paraisse en pays neutre... Mais, en fin de compte, le doute s'efface. Tout le livre respire un patriotisme ardent, sincère, de bon aloi, qui s'indigne, s'angoisse de voir l'Allemagne courir à l'abîme. Le style est bien allemand ; l'auteur anonyme enfin a un répondant : M. Suter, qui a reçu le dépôt du manuscrit et assumé la responsabilité de le publier, atteste, avec l'autorité d'une loyauté notoire, que “J'accuse” est bien le livre d'un patriote allemand..." (Louis Eisenmann, Revue Historique, 1915)