Paris, Fayard, 1998; in-8, 464 pp., br. Avec jaquette.
Reference : 201322272
Avec jaquette.
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Editions RAOUL BRETON. 1949. In-8. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Dépliant 8pages, 2 partitions, couverture ecrite noir. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions
"L'AME DES POETES ( longtemps, longtemps) paroles et musique de Charles TRENET arrangement de Albert LASRY, chanson crée et enregistrée par : charles trenet, edith piaf, yves montand, les compagnons de la chanson, jacqueline françois, yvette giraud, evelyne dorat, noel chiboust, gus viseur. accompagnement piano conducteur tumpo valse et paroles. n°fasicule: R2609B. -UNE VALSE...UNE VALSE... paroles de Andre Viaud, musique et arrangement de Boris Sardek, le grand succes de Marie José disque ""ODEON"", accompagnement Piano conducteur et paroles, tumpo valse, n°fasicule E.54E Classification Dewey : 780.26-Partitions"
Breton Raoul 1951
Très bon état Format Coquille Piano
Editions Cénomane / La Vie du Rail, 1992, in-4 rel. cart. (22,5 x 31), 191 p., coll. "Le Siècle des Petits Trains", préface de Daniel Vaxelaire, nombreuses ill. photos en n. et b. et documents, cartes, jaquette, bon état.
Montagne, creusant, perçant, avançant mètre par mètre, de jour comme de nuit à la tueur des lampes à gaz acetylene, jetant ponts et viaducs par delà rivières et ravines, affrontant raz-de-marée et cyclones, crues et éboulements, pour réaliser cette oeuvre colossale que fut l'implantation d'un chemin de fer en cette fin de XIXe siècle, dans l'île de la Réunion. Et ceux-là encore qui creusèrent un port et jetèrent les bases d'une ville nouvelle à la Pointe des Galets... C'est ainsi un siècle de l'histoire de l'île, de son développement économique, social, culturel, de son passage du statut de colonie à celui de département, qu'Eric Boulogne nous livre en racontant la vie quotidienne du petit train. Neuvième titre de la collection "Le Siècle des Petits Trains", Le petit train longtemps y occupe une place tout à fait originale. La géographie, le climat, la culture de l'île de la Réunion ont posé au petit train des problèmes nulle part ailleurs rencontrés. Appartenant de plain-pied à l'histoire des petits trains par ses caractéristiques, le chemin de fer de la Réunion est aussi le seul train de l'île : son histoire rejoint là celle des premières grandes lignes et les bouleversements qui en découlent. Fabuleuse aventure humaine que Le petit train longtemps nous fait revivre au présent, avec rigueur, simplicité et passion. Pour réaliser ce travail inédit, l'auteur a puisé à toutes les sources : archives, presse, photothèques publiques et privées : il a rencontré témoins et acteurs, cheminots et usagers, retrouvé fort loin parfois des documents d'une grande rareté ; et parcouru l'île en tous sens pour s'imprégner de l'odeur des lieux, faire surgir une trace, photographier un vestige. D'une extraordinaire richesse de documentation, l'ouvrage satisfera les plus exigeants par sa précision et son originalité. Il émerveillera tous les anciens qui y retrouveront leur histoire, écrite dans un style chaleureux et vivant. L'abondance et la variété des illustrations séduiront les amateurs de beaux albums illustrés. Les passionnés de chemin de fer, quant à eux, découvriront l'histoire inédite de cette ligne, digne des premières grandes lignes européennes. Le public métropolitain enfin y respirera dans toute sa dimension historique le charme de cette île tropicale. Voir le sommaire sur photos jointes.
Triel s. d. [8 juillet 1889] | 9.90 x 15.20 cm | 3 pages sur un feuillet rempliée
Lettre autographe signée de Guy de Maupassant à la comtesse Potocka, 38 lignes à l'encre noire sur un feuillet double. Publiée dans Marlo Johnston, «Lettres inédites de Maupassant à la comtesse Potocka»,Histoires littéraires, n°40, octobre-novembre-décembre2009. Plus sombre que d'ordinaire, Maupassant semble tracassé par un fait qu'il ne mentionne pas mais dont il s'excuse auprès de la comtesse: «Je vous demande encore pardon, ce qui du reste n'atténue pas mon remords; et je vous assure qu'il est cuisant car j'ai cette arrière-pensée que cous m'en voudrez un peu pendant longtemps.» Maupassant s'était fait une réputation de farceur ainsi que d'homme au langage très libre, sans doute avait-il dépassé une limite en parole ou en action. Quelques années auparavant, il s'était illustré avec la fameuse blague des poupées. La comtesse Potocka avait offert à Maupassant des poupées de chiffon représentant les invitées d'un dîner qu'elle organisait chez elle. Par jeu, il bourra le ventre des dites poupées et les renvoya le lendemain à la comtesse, prétendant ainsi les avoir engrossées dans la nuit. La farce fut connue et provoqua bien des réactions outrées mais la comtesse avait fini par lui assurer son pardon. Quel qu'ait été l'événement malheureux, les courriers semblent s'être croisés: «Votre lettre m'a été renvoyée à Triel car le facteur ne me savait pas à Paris.» Pensant subir de nouveau des remontrances il avoue avoir: «[...] été, en la lisant pénétré de confusion.» Soucieux de plaire à la comtesse, il exprime son inquiétude: «Pourquoi suis-je ainsi nerveux, par moments, comme une femme, sans motifs réels, et sans avoir ressenti, vraiment, aucun froissement. Je n'en sais rien. Je ne peux que le constater.» Qu'ils soient les signes avant-coureurs de la folie où il terminera ses jours, ou les conséquences de ses sentiments pour la comtesse, qu'il s'effraie de fâcher, ces accès de nervosité ne cesseront plus de la vie de l'auteur. Pour s'assurer de la venue de la comtesse à Triel, Maupassant lui demande confirmation: «Je compte sur vous demain n'est-ce pas.» Pour ce faire, il lui conseille le train: «Si vous venez par le chemin de fer, comme vous y paraissez décidée, j'irai vous attendre à Meulan [...]Si vous veniez par le bateau de Georges je vous prie de vouloir bien m'en informer par une dépêche.» Le Georges en question est Georges Legrand, journaliste, «Macchabée» de la comtesse, qu'il fit connaître à Maupassant, et selon le peintre Jacques-Émile Blanche, le seul qui ait eu ses faveurs. Provenance : collection Jean Bonna. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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1er juin 1893 | 11.30 x 17.70 cm | un feuillet
Lettre manuscrite probablement inédite, rédigée par un secrétaire, datée du 1er juin 1893 et signée par Léopold de Sacher-Masoch à un destinataire inconnu, probablement un avocat. Mention manuscrite de la main de Sacher-Masoch en marge haute gauche de la lettre: «Répondu le 1 mai 93». Deux pages rédigées à l'encre noire sur un double feuillet. L'écrivain se prépare à un éventuel procès intenté par sa première femme Wanda, l'inspiratrice de son célèbre roman La Vénus à la fourrure, qui tente de recouvrer ce qui lui est dû et se libérer du fantasme qu'elle avait incarné à travers les uvres de son mari. Wanda, de son vrai nom Angelika Aürora Rümelin, avait signé avec lui le fameux contrat stipulant qu'elle devait se couvrir de fourrure, et le fouetter ainsi vêtue, véritable évangile de ce qui deviendra le masochisme. Malgré cette union sacrée et actée, dès la fin des années 1870, Leopold fut las de la vie avec elle, Wanda étant incapable de combler ses désirs: «Courtisane malgré elle» et «infirmière» selon Jean-Paul Corsetti, elle fut, nous dit Gilles Deleuze «sa compagne à la fois docile, exigeante et dépassée». Accablé par les difficultés d'argent, il revendit les fameuses fourrures et les robes de sa femme, et leur divorce fut prononcé en 1886. Poursuivie par son alter-ego de Vénus à la fourrure qui avait fait d'elle une Dalila impérieuse et vénale, il semble que Wanda ait voulu poursuivre en justice son ancien mari: «Ayant cessé depuis longtemps toute communication avec Madame Wanda de Sacher-Masoch, il m'est impossible de m'entendre avec elle à l'amiable [...] En cas échéant, ce sera contre moi que Mme de Sacher-Masoch pourra tenter un procès?». Le procès est sans aucun doute lié à la sortie de Kassya, un opéra de Léo Delibes sur un livret de Sacher-Masoch adapté par Henri Meilhac et Philippe Gilles, créé à l'Opéra-Comique la même année. Il est possible que Wanda, traductrice des uvres de Masoch pendant ses années de mariage, n'ait pas reçu ses droits de traduction qui lui étaient dus pour Kassya, tiré d'une nouvelle parue dans les Contes galiciens de son mari. Dans le même esprit que ses années de soumission absolue à Wanda, il tient à porter seul le fardeau des accusations de sa femme, moyennant une somme d'argent payée par les autres auteurs de l'opéra (Henri Meilhac et Philippe Gilles): «Je déclarerai dans un acte notariel [sic] que, en touchant la somme dite, je me charge de toute responsabilité vis-à-vis de Mme de Sacher-Masoch?». étrange et pittoresque étape de l'histoire du fondateur du masochisme, encore inconnue de ses biographes. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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