Paris, Presses de la cité paris match , 1968; in-8, 259 pp., broché. Broché bon état.
Reference : 201117755
Broché bon état.
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L’un des rarissimes imprimé sur papier impérial conservé dans sa reliure de l’époque aux armes de l’Empereur Napoléon Ier. Paris, Imprimerie Impériale, 1812. Grand in-8 de 362 pp. Maroquin rouge à grain long, large roulette dorée autour des plats, armoiries au centre, dos lisse orné, coupes décorées, roulette intérieure, gardes et contre gardes de moire bleue, tranches dorées. Reliure de l’époque. 205 x 120 mm.
Somptueux exemplaire de l’état général des routes de Postes de l’Empire français pour l’année 1812. Imprimé sur papier impérial de Hollande, cet état des Postes Impériales s'ouvre sur le calendrier de l’année 1812. Il est conservé dans son éclatante reliure de l’époque en maroquin rouge aux armes de l’empereur Napoléon Ier. (Olivier, Pl. 2652). I) La poste de l’Empire est « inventée», par le grand commis Gaudin. Celui-ci a fait carrière dans les bureaux des finances depuis 1775 sous Calonne et Necker. Nommé commissaire des postes par le Directoire, il devient ministre des Finances dès le 18 Brumaire et le restera pendant tout l’Empire. C’est lui qui rompt définitivement avec le système de la Ferme et assure la mainmise du ministère des Finances sur la poste. Le monopole exclusif du transport des lettres est une nouvelle fois proclamé par arrêté du 27prairial an ix, un texte considéré comme la base de la réglementation contemporaine. L’article Ier dit : « Il est défendu à tous les entrepreneurs de voitures libres et à toute personne étrangère au service des postes de s’immiscer dans le transport des lettres, journaux, feuilles à la main et ouvrages périodiques, paquets et papiers, du poids de 1 kg et au-dessous, dont le port est exclusivement confié à l’administration de la poste aux lettres. » En 1802, les correspondances maritimes et coloniales sont réorganisées dans le même esprit. II) Les Maîtres de poste. Toute l’efficacité de la poste aux lettres repose sur les maîtres de poste qui sont 1 400 sur tout le territoire qui entretiennent environ 16 000 chevaux et rémunèrent 4 000 postillons. III) Un Instrument au service de l’empire. Si l’Empire accorde tant de soins au rétablissement du service des postes, c’est qu’il le considère comme un instrument de gouvernement. L’Empereur est très sensible à l’exactitude des courriers. IV) La poste aux armées. L’état de guerre quasi permanent de l’Empire rend nécessaire une organisation importante de la poste aux armées dont un règlement général est publié en 1809. L’autorité du directeur général de la poste aux armées rattaché à la direction générale des postes, commence au bureau frontière où se fait l’échange des lettres destinées aux armées en campagne. V) Peu de progrès dans la vitesse. Si la poste impériale connaît des réorganisations administratives décisives, ses moyens techniques et donc le temps d’acheminement moyen des lettres et des voyageurs ne progresse pas de façon significative par rapport à l’Ancien Régime. A l’époque Napoléonienne, un courrier express peut parcourir la distance de Paris à Châlons-sur-Marne en une douzaine d’heures, la malle-poste des Messageries en seize, la diligence en vingt. Ces chiffres sont à comparer avec le temps mis par les courriers sur les grandes routes de Champagne en 1737, que l’on connaît avec précision. Venant de Paris, il leur fallait au moins 23 heures et 30 minutes pour gagner Reims ou Troyes, et 25 heures pour Châlons, ce qui correspondait à des moyennes d’environ 7 km à l’heure. Ces moyennes semblent n’avoir été que légèrement améliorées jusqu’à la fin de l’Empire; c’étaient les meilleures possibles pour un courrier seul et chargé ; elles dépendaient largement de l’état des routes, plus ou moins bien entretenues. L'Etat des postes indique, outre la nomenclature des routes de l'Empire avec leurs relais, la distance entre eux de toutes les routes soit menant de Paris à toutes les principales villes, soit faisant communiquer ces différentes villes entre elles. Cet Etat est précédé d'un calendrier pour l'année 1812, d'un extrait des lois et réglemens sur le fait de la poste aux chevaux, des tarifs, etc. La constante expansion territoriale de l'Empire français ne pouvait que rendre de plus en plus aigu pour Napoléon le problème de la transmission aussi rapide et aussi facile que possible de tout message écrit d'un bout à l'autre de l'Europe. Lorsque, le 18 mai 1804, l'Empire est proclamé, le service des Postes est dirigé par Antoine Marie Chamant de Lavalette, directeur général des Postes. Tout dévoué à l'Empereur, Lavalette reste à ce poste jusqu'en 1814. Le bon fonctionnement de la Poste était essentiel pour l'Empereur. Les problèmes politiques et même diplomatiques ne manquaient donc d'influencer sur le fonctionnement de la poste. Les conquêtes territoriales obligent les administrateurs des Postes à adapter l'organisation des services postaux. Les nouveaux territoires furent partagés en départements. L'administration postale viendra donc s'insérer dans ces nouvelles structures administratives. Les mêmes règles de fonctionnement seront en usage sur tout le territoire de l'Empire. Un second grand service était placé sous l'autorité du directeur général des Postes: le service des Relais, c'est-à-dire l'administration de la Poste aux chevaux. Les relais de poste servaient d'abord aux courriers de l'administration de la Poste aux lettres: ils y trouvaient les montures fraîches que le maître de poste était tenu de leur réserver. Les entrepreneurs de voitures publiques, même s'ils n'utilisèrent pas les chevaux des maîtres de poste furent tenus de leur payer pour chacune de leurs voitures 25 centimes par cheval et par poste. Par ailleurs, le développement du service d'estafettes favorisa les maîtres de poste qui mettaient leurs postillons à la disposition de l'administration pour assurer la transmission des plis urgents du gouvernement. Toute la règlementation concernant le service de la poste aux chevaux, les tarifs, la nomenclature des différents relais étaient indiqués sur les livres de poste, appelés officiellement «Etat général des routes de poste». Ces annuaires qui permettaient aux voyageurs en poste d'établir leur itinéraire ainsi que le prix à payer pour leur voyage étaient mis à jour et édités chaque année. Somptueux exemplaire de l’état général des Postes de l’Empire français pour l’année 1812. L’un des rarissimes imprimés sur papier impérial de Hollande, cet état des Postes Impériales, très grand de marges (hauteur 205 mm) était réservé aux présents de l’Empereur. Il est conservé dans son éclatante reliure de l’époque en maroquin rouge aux armes de l’empereur Napoléon Ier. [Olivier, Pl. 2652].
Edition originale rare de cette analyse des campagnes de Frédéric II jugées par le célèbre tacticien français Jacques-Antoine-Hippolyte Guibert, ouvrage qui eut une grande influence sur les conceptions militaires de Napoléon. Londres, 1787.In-8 de 304 pp. Conservé dans sa brochure d’origine de papier orangé, pièce de titre de papier en tête du dos, non rogné. Brochure de l’époque.212 x 137 mm.
Edition originale rare de cette analyse des campagnes de Frédéric II jugées par le célèbre tacticien français Jacques-Antoine-Hippolyte Guibert, ouvrage qui eut une grande influence sur les conceptions militaires de Napoléon.Jacques-Antoine-Hippolyte Guibert est un général et auteur militaire français né le 12 novembre 1743 à Montauban et mort le 6 mai 1790 à Paris.« Le 1er juin 1772, M. de Guibert avait fait parvenir au Roi, par l’entremise de d’Alembert, son ‘Essai général de tactique’ ; il arriva lui-même à Postdam le 14 juin 1773, et écrivit à Frédéric une lettre. Aux pages 215 et suivantes, M. de Guibert parle de la conversation qu’il eut avec le Roi le 17 juin, et de son séjour à Postdam. Dans le second volume de son ‘Journal’, il parle des manœuvres et des revues auxquelles il avait assisté en Silésie, aux mois d’août et de septembre 1773. Son séjour à Berlin, à Postdam et en Silésie, ses conversations avec Frédéric, et la connaissance assez intime qu’il avait faite avec M. de Catt, l’abbé Bastiani, le colonel Quintus Icilius, les généraux d’Anhalt et de Rossières, et avec beaucoup d’autres personnages très capables de le mettre au fait de l’histoire de la Prusse et du caractère de Frédéric, lui donnèrent l’idée et lui fournirent les moyens d’écrire ‘l’Eloge du roi de Prusse’. A Londres (Paris), 1787, 304 pages in-8. Cet ouvrage a été souvent réimprimé ; il a été traduit deux fois en allemand, et en italien. On en trouve une critique sévère dans la ‘Lettre du comte de Mirabeau à M. le comte de... sur l’Eloge de Frédéric, par M. de Guibert’, 1788. Il est souvent fait mention de M. de Guibert dans la correspondance de Frédéric. » (Œuvres de Frédéric le Grand). Guibert entre en 1756, à l'âge de treize ans, au régiment d'Auvergne avec le grade de lieutenant. Il devient capitaine en 1758 et prend part à la guerre de Sept Ans. Il y accompagne son père, Charles-Benoît, comte de Guibert. Il est décoré de la Croix de Saint-Louis lors des opérations en Corse. À l’issue de la campagne, il est nommé colonel et reçoit le commandement de la Légion corse à sa création. Il publie à Liège son Essai général de tactique, accompagné d'un Discours où il se propose « ...de tracer le tableau politique et militaire de l’Europe » et en particulier de sa Nation. Par prudence, il se retire en Prusse en attendant de voir l'effet que son ouvrage aura sur l'opinion : c’est ainsi qu'en 1773, Frédéric II le Grand reconnaît en lui un grand tacticien avec lequel il conversera souvent sur les questions militaires. Sa Défense du système de guerre moderne mettait en lumière les méthodes de défense raisonnée et scientifique utilisées par l'armée prussienne. Ce fut la base de son travail lorsqu'en 1775 il coopéra avec le comte de Saint-Germain dans une série de réformes de l'armée française.Il est élu à l'Académie française le 15 décembre 1785. À la veille de la Révolution, il est rappelé au conseil de l’administration de la guerre en 1787. En 1788, il est nommé maréchal de camp et inspecteur divisionnaire d'infanterie de l'Artois. Il est emporté par une courte maladie le 6 mai 1790. L’œuvre de Guibert a eu une grande influence sur les conceptions militaires de Napoléon, qui avait lu et médité ses écrits. « Traditionnellement, on présente Napoléon comme l’héritier direct de Guibert et de ses théories. Jean Tulard n’émit pas en 1977 un avis différent dans son fameux Napoléon ou le mythe du Sauveur : « Les idées stratégiques de Napoléon n’étaient pas neuves ; elles venaient tout droit de Guibert et du principe divisionnaire ». Dans le très bon ouvrage de vulgarisation de Thierry Lentz, Napoléon : « Mon ambition était grande », publié en 1998, à la page 71, sur la page de présentation du chapitre IV intitulé « Le Dieu de la Guerre (1800-1810) », nous avons droit à une photographie de la trousse de campagne de l’Empereur, mise en valeur par un montage photographique avec deux livres grands ouverts. Sur la page droite du livre aux dimensions les plus réduites, nous pouvons lire ce titre : Essai général de tactique. Ce joli montage est en parfaite adéquation avec ce que Thierry Lentz écrit à la page 86, affirmant que ‘jeune, il avait découvert le fondement de sa stratégie dans les commentaires de Guibert sur les campagnes de Frédéric le Grand’. »Bel exemplaire conservé broché et à toutes marges.
Première édition de la version française, amplement augmentée, de cet ouvrage du plus haut intérêt pour l’histoire de la Pennsylvanie. S.l., 1756.In-8 de 128 pp., une carte dépliante. Petite restauration marginale p. 128 sans atteinte au texte. Veau fauve marbré, dos lisse finement orné de croisillons dorés, gardes de papier orné de motifs floraux, tranches rouges. Reliure de l’époque. 160 x 95 mm.
Rare édition originale de la version française de cet ouvrage important, du plus haut intérêt pour l’histoire de la Pennsylvanie, visant à obtenir le soutien du peuple Français dans le combat que la France mène contre l’Angleterre en Amérique. Sabin, 19370 ; Leclerc, 519 ; Howes, p. 216; Streeter II-960. L’abbé de la Ville donne en fait ici sa propre version en français, largement augmentée et remaniée, de l’ouvrage de William Smith intitulé “Brief state of the Province of Pennsylvania” qui vient de paraitre à Londres quelques mois auparavant. Ce récit de l’abbé de la Ville s’avère également une source d’information primordiale sur les activités de Benjamin Franklin durant cette période et surtout sur ses efforts pour obtenir de l’aide pour le général Braddock. Streeter explique que le présent ouvrage fut sans doute publié dans le but d’obtenir le soutien du peuple français dans le combat que mène alors la France contre les anglais dans le nord de l’Amérique, suite à la défaite du général Braddock. Le texte de Smith n’occupe que la partie centrale de l’ouvrage de La Ville et donne un aperçu des atrocités commises par les indiens sur les membres de la colonie en octobre et novembre 1755, en insistant sur l’impuissance des colons anglais à repousser les français et leurs alliés indiens. L’auteur a ajouté une préface dans laquelle il décrit brièvement la géographie et la population de la Pennsylvanie, et a donné une suite au texte original de Smith (‘Relation contenant la suite de ce qui s’est passé en Pensilvanie’). Le volume se termine par la traduction d’un acte du 25 novembre 1755 visant à « apporter plus d’ordre & plus de discipline parmi les Habitans de Pensilvanie ». « In his preface the author remarks that Pennsylvania suffered more than any of the other English colonies from the defeat of General Braddock, and that he is publishing this work because of the great interest the French people took in the progress of the War with England. He says that he has based his account of Pennsylvania on an English pamphlet published a few months earlier. This pamphlet was William Smith’s “Brief state of the Province of Pennsylvania” published in London». (Sabin). L’ouvrage est illustré d’une jolie carte dépliante de la Pennsylvanie qui manque le plus souvent. Très bel exemplaire, d’une grande pureté, conservé dans sa reliure de l’époque au dos finement orné. Provenance : ex-libris imprimé « O.B. ».
Librairie Nouvelle. 5 Septembre 1891. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 8 à 16 pages, paginé de 145 à 160 .Illustrées de nombreuses gravures en noir et blanc dans le texte et hors texte. Texte sur 3 colonnes.. . . . Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
Journal hebdomadaire. Sommaire :Nos gravures (47 photographies) - Général de Hay-Durand - Général de Jessé - Général Voisin - Général Giovaninelli - Général Hervé - Général Bonie - Général Heppe- Général Saint-Marc - Général Brault - Général Moutz - Général Senault - Général Derrecagaix - Général Schneegans - Général Fariau - Général Moreau-Revel - Général Livet - Général Boisfleury - Général de Sesmaisons - Général Galland - Général de Galliffet - Général Miribel, Général Davout - Général Jamont - Général Zurlinden - Général Cremezel de Kerhué - Général de Négrier - Général Fay - Général Boisdeffre - Général Lacoste de l'Isle - Général Collet-Maigret - Général Moulin - Général de Boysson - Général Darras - Général de Saint-Julien - Général Correnson - Général Leplus - Général Coeuret de Saint-Georges - Général Jollivet - Général Rapp - Général Fleury - Général Riu - Général Rothwiller - Général Guerrier - Général Bichot - Général d'Agou - Général Colbert - Généralde division Brière de l'Isle de l'infanterie de Marine (Arbitres). Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique
MILLEREAU JEAN (CAPITAINE DE CAVALERIE DANS L'ARMEE ROYALE DE VENDEE) [MONNIERES]
Reference : 18355
(1820)
1820 un document Original Authentique manuscrit à l'encre brune sur un feuillet de papier vergé ligné filigrané (filigrane à la "Couronne de Lauriers") couleur crème, format :23,5 centimètres de large par 37 centimètres de haut, Liste avec les noms, prénoms, Domiciles, désignation de l'armée ou ils ont servi, emplois qu'ils ont remplis, détails des Services et Blessures, Désignation des personnes qui ont certifié leurs services, Observations.........fait à Monnières, sans date (1820 environ), non signé,
Pierre-Marie-Michel Comte de Bruc de livernière, seigneur de la Gillière, de la parentière, de Bourneville, etc Maréchal des Camps et armées du roi, chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint Louis, Emigré et ayant rejoint l'Armée de Condé, il rentre en France en 1793 poour rejoindre l'Armée Royale de la Vendée, que commandait en chef, le Général Charrette. Il s'y trouva à toutes les batailles, il a signé avec Charrette la Pacification de Vendée présentée par le gouvernement républicain, en 1814 il commande le 3ème corps de l'Armée Royale aux ordres du général de Suzannet, le roi le charge pour ce qui est de Vallet et des communes Avoisinantes, de faire dresser les LISTES des hommes ayant combattu dans l'Armée Royale de Vendée afin de les dédommager ( par des allocations pour les blessés, par des pensions pour les veuves et éventuellement un emploi dans la Garde Nationale Royale en récompense de leur Fidélité).....Liste concernant 14 Hommes de la Paroisse de MONNIERES.... 1- MILLEREAU, Jean, domicilié à Monnières, Division du Général de Bruc, Capitaine de Cavalerie, Blessé à la jambe gauche à Remouillé, Toujours sous les yeux du Général De Bruc, à toujours bien servi et montré de l'attachement à sa cause, 2- MESNARD Pierre, domicilié à Monnières, Division du Général de Bruc, Lieutenant d'Infanterie, Toujours sous les yeux du Général De Bruc, à toujours bien servi et montré de l'attachement à sa cause, 3- LAUDRIN Pierre, domicilié à Monnières, Division du Général de Bruc, Sous Lieutenant d'Infanterie, Toujours sous les yeux du Général De Bruc, à toujours bien servi et montré de l'attachement à sa cause, 4- GIRAUD François, domicilié à Monnières, Division du Général de Bruc et a passé la Loire, Simple Soldat, Toujours sous les yeux du Général De Bruc, a montré beaucoup de Bravoure, 5- BROCHARD Joseph, domicilié à Monnières, Division du Général de Bruc, Simple Soldat, Toujours sous les yeux du Général De Bruc, a montré beaucoup de Bravoure, 6- RICHARD Vincent, domicilié à Monnières, Division du Général de Bruc, Simple Soldat, Toujours sous les yeux du Général De Bruc, a fait son service, 7- GAILLARD Pierre, domicilié à Monnières, Division du Général de Bruc, Simple Soldat, Toujours sous les yeux du Général De Bruc, a fait son service, 8- ARIAIL Pierre, domicilié à Monnières, Division du Général de Bruc, Simple Soldat, Toujours sous les yeux du Général De Bruc, a fait son service, 9- MESNARD Pierre, domicilié à Monnières, Division du Général de Bruc, Simple Soldat, Toujours sous les yeux du Général De Bruc, a fait son service, 10- POIRIER François, domicilié à Monnières, Division du Général de Bruc, Simple Soldat, Toujours sous les yeux du Général De Bruc, a fait son service, 11- Vve LOIRET Louis, domicilié à Monnières, Division du Général de Bruc, Capitaine d'Infanterie, MORT à la suite de la Bataille de La Rocheservière, Par Fatigues faisant son service, Toujours sous les yeux du Général De Bruc, a Toujours bien servi en 1793 et 1815, 12- Vve GARNIER René,domicilié à Monnières, Division du Général de Bruc, Simple Soldat, MORT à la Bataille de Luçon, Toujours sous les yeux du Général De Bruc, a bien fait son service, 13- Vve BOUYER Louis, domicilié à Monnières, Division du Général de Bruc, Simple Soldat, MORT à Coueron, Toujours sous les yeux du Général De Bruc, a bien fait son service, 14-Vve DROUET François, domicilié à Monnières, Division du Général de Bruc, Simple Soldat, MORT à Chateau(gontier,Toujours sous les yeux du Général De Bruc, a bien fait son service .................................DOCUMENT ORIGINAL trouvé dans les papiers du Comte de Bruc de Livernière.....conservés plus tard, par le Baron Armel de Wismes........Unique.....en trés bon état (very good condition).