Bézier, Editions Suerte, 2006; petit in-4, 174 pp., br. Broché neuf.
Reference : 201113785
Broché neuf.
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1854 Troyes, Bouquot, 1854 ; in-8 de [3] ff., 34 pp. ; 48 pp., demi-veau glacé lavallière à coins, deux filets dorés, dos à 4 nerfs plats soulignés à l'or et à froid (reliure de l'époque).
Réimpressions de deux rares opuscules latins : Trecae, éloge de la ville de Troyes, en vers latins, par Pierre Berthault, avec notes et éclaircissements et Vita Urbani Papae Quarti, a gregorico decano ecclesiae bajocassium et a Theodorico Valliclore scripta Ancheri Cardinals Studio. Elles forment les quatrième et septième livraisons d'une petite collection donnée par l'érudit Alexandre Assier (1821-1906), alias le bibliophile du département de l'Aube. Trois bois gravés dans le texte et une belle marque d'imprimeur in-fine. Tirages à 34 et 51 exemplaires, ici sur papier vergé (il y a quelques exemplaires sur papiers de couleur). Bon exemplaire en dépit d'une mouillure au bas du second plat. Étiquette-ex-libris de Louis-François Camusat de Vaugourdon (1800-1871).
[CHAMBRY ], [HÉRON DE VILLEFOSSE (René)], [DUROZOIR (Charles-François)]
Reference : 181913
Rome, Prope Cæsaris hortos, Londres, Dulau et compagnie, 1803 in-8, XXIV-111 pp., dérelié. Traits au crayon dans les marges.
Quérard, Les Supercheries littéraires dévoilées, III, 662 : "Le texte latin est à gauche et le français à droite. Les auteurs latins dont on trouve des fragments dans cet ouvrage sont : Cicéron, Tite-Live, Velleius Paterculus, Tacite, Pline, Suétone, Cornélius Nepos, Quinte-Curce, Aurelius Victor, Aulus-Gellius, etc, etc. (...)".D'après Leber, "idée singulière, non pas neuve, mais habilement quoique bien inutilement exécutée. Il n'y a pas un fait, pas une réflexion dans cette histoire de la Révolution de 1789, qui ne soit une traduction littérale de Tacite, Suétone, Salluste, Quinte-Curce, ou de quelque autre classique".Voir aussi la notice de Tourneux, I, 73. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Séduisant exemplaire conservé à toutes marges dans son cartonnage d’origine car non rogné, très frais intérieurement. Paris, chez l’Auteur et chez Didot le jeune, Barrois le jeune, Belin, 1783. In-folio de viii pp., 242 pp., (7) ff. d’explication des planches et (1) f. d’errata, 10 planches hors texte à pleine page dont 9 en couleurs. Cartonnage de papier marbré bleu de l’éditeur avec une pièce de titre au centre du plat supérieur, dos lisse, non rogné, qq. frottements. Reliure de l’époque. 352 x 226 mm.
Edition originale de la plus grande rareté de ce très pratique dictionnaire de botanique, qui connut de nombreuses rééditions dans les dernières années du XVIIIe siècle et au début du XIXe siècle. Pritzel, 1355. Monglond IV, 288. «Jean Baptiste François Bulliard (1752-1793), called Pierre Bulliard, was another picturesque outsider whose works represented the Linnaean tradition in Paris. Bulliard was a descriptive naturalist, little given to theoretical or methodological meditations, but an industrious and skilled draftsman and floristic botanist” (Stafleu). Bulliard obtint une place à la nomination de l’abbé de Clairvaux. A cet emploi, dont le modique revenu suffisait à tous ses besoins, était attaché un logement à l’abbaye; il employa le temps qu’il passa dans cette retraite à étudier l’anatomie et la botanique, dans les meilleurs ouvrages. Il apprit aussi le dessin, et vint ensuite à Paris, pour y continuer ses études médicales; mais son goût pour l’histoire naturelle lui fit changer de résolution. Il résolut de réunir en lui seul les talents de l’artiste à ceux de l’auteur, il perfectionna les connaissances qu’il avait acquises dans le dessin, et apprit à graver sous François Martinet, habile peintre et graveur. C’est la parution de sonHerbier de France, dont la diffusionpar cahiers débute en 1780, qui achèvera de lui donner une certaine célébrité.À son lancement, il était prévu que cet ouvrage comporterait cinq parties : plantes vénéneuses, plantes médicinales, champignons, plantes grasses, plantes frumentacées et fourrages. Abondamment illustrée par ses soins, cette publication bénéficied’une nouvelletechnique, mise au point parJohannes Teyler, qui évite d’avoir à faire des retouches au pinceau, ce qui a pour effet de faire baisser le coût de fabrication du livre sans nuire à la qualité du dessin en couleurs. En outre, la vente par livraisons permet à l’auteur d’étaler les frais d’impression dans le temps, et de mettre le livre en vente à un prix modique. Disciple de Rousseau, Bulliard ambitionne d’être un vulgarisateur qui mettrait la connaissance de la botanique à la portée du plus grand nombre. Il ne réalise pas de découvertes, il ne poursuit aucune recherche mais, partant de ce qui est déjà connu, il réalise un grand travail de synthèseet ouvre de nouvelles pistes de réflexion. Dès la parution de son ouvrage, il ressent le besoin de le compléter par un dictionnaire général sur la botanique, destiné aux lecteurs qui ne bénéficient pas au départ d’un grand bagage scientifique. C’est ainsi que paraît en 1783 leDictionnaire élémentaire de botanique, ou Exposition par ordre alphabétique des préceptes de la botanique et de tous les termes, tant françois que latins, consacrés à l’étude de cette science, dont il est bien précisé sur la page de titre qu’il a été composé comme une introduction à l’Herbier de France. Pédagogue avant tout, Bulliard multiplie les exemples et les études de cas à l’appui de ses démonstrations. Dans ses descriptions, ilse réfère en permanence à des illustrations qu’il a voulu les plus exactes possible.Si l’objectif premier de l’auteur consiste à “familiariser avec le langage de la Botanique etrendre plus facile l’étude des principes de cette science”, il entend également baliser la démarche de ceux qui voudraient aller plus loindans l’étude de la botanique,en traçant “un plan méthodique à celui qui désire la cultiver”. Dans ce but,à l’articlePrincipes, il explique qu’“on pourra voir de quelle manière il faut s’y prendre pour s’engager avec succès dans la carrière de la Botanique, soit que l’on se trouve à même de profiter des secours d’un jardin botanique, d’un herbier naturel ou artificiel, ou soit qu’absolument éloigné du commerce des lettres, on n’ait aucune de ces ressources à sa disposition”. Dans le même ordre d’idées, il défend la théorie“qu’une méthode est d’une nécessité indispensable, que c’est un fil qui nous guide, nous ramène au but lorsque nous nous égarons”, mais il ne peut s’empêcher en même temps de fustiger“l’abus que l’on ne fait que trop souvent des méthodes, et combien, en changeant tous les jours la surface de la Botanique, elles s’opposent à ce qu’on puisse diriger cette science vers l’utilité publique”. Il est vrai qu’à l’époque, la botanique, à l’instar d’autres sciences, est dans la phase de bouillonnement intellectuel qui précède inévitablement l’unification du corpus et de la méthodologie, caractérisée par la multiplication des classifications, des théories et des méthodes. Le latin constituant le véritable “espéranto” des botanistes, chaque nom de plante écrit en français est accompagné de son équivalent latin. Bulliard enrichit son livre d’un petit, qui est une traduction duTermini Botanici de Linné, dans lequel chaque mot est assorti d’unrenvoi à sa définition dans le corps du dictionnaire principal. Après le décès de Bulliard, survenu en 1793, ce dictionnaire, qui a rencontré le succès,connaîtra en 1797 une réédition. Ilsera ensuite repris, corrigé et refonduparLouis-Claude Rciahrd, qui le republiera en1800, puis en1802 dans une nouvelle version augmentée. «Bulliard a fait lui-même les dessins et les gravures de ses ouvrages». Le présent dictionnaire est orné en premier tirage de 10 planches à pleine page dessinées et gravées par Bulliard lui-même dont 9 ont été coloriées à la main à l'époque. Séduisant exemplaire conservé à toutes marges dans son cartonnage d’origine car non rogné, très frais intérieurement.
1879 Paris, Firmin-Didot et Cie, 1879 - Fort vol. pet. in-4, demi-basane racinée, dos à nerfs orné de motifs dorés, pièces de titre de maroquin à grain long rouge, rel. de l'époque, XX, 545, 166, 211 p., texte sur deux colonnes. Coiffes très légèrement frottées, sinon bel exemplaire. De la Collection des Auteurs latins, publiée sous la direction de M. Nisard.Édition bilingue: français - latin.
Théâtre complet des latins, comprenant Plaute, Térence et Sénèque le tragique. Avec la traduction en français Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
Lacombe Paris 1777 Dictionnaire interprète-manuel des noms latins de la géographie ancienne et moderne, pour servir à l'intelligence des auteurs latins, principalement des auteurs classiques, avec les désignations principales des lieux. Ouvrage utile à ceux qui lisent les poëtes, les historiens, les martyrologes, les chartes, les vieux actes, etc.In-8 ( 205 X 130 mm ) de 454 pages, plein veau fauve marbré, dos à nerfs orné de caissons et fleurons dorés, pièce de titre de maroquin havane, tranches marbrées ( Reliure de l'époque ). Bel exemplaire.Dictionnaire.Noms Latins.