Paris, Nagel verlag archaeologia mvndi , 1970; in-8, 266 pp., cartonnage d'éditeur. avec jaquette en allemand.
Reference : 201005427
avec jaquette en allemand.
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Paris, Garnier, 1861 ; 2 vol. in-12 ; 432pp. - 442pp. - 1 carte dépliante hors-texte. Demi-basane blond, dos lisse, filets à froid et dorés, pièces de titre noires et de tomaison blondes. Nombreuses rousseurs.
Jacquemont (Victor), voyageur né à Paris le 8 août 1801, mort à Bombay le 7 décembre 1832. Fils de Frédéric-François-Wenceslas Jacquemont de Moreau (1757-1836), qui renonça à son titre de noblesse après la nuit du 4 août, qui fit partie du Tribunat en l'an VIII, devint directeur général de l'instruction publique et encourut la disgrâce de Napoléon pour sa participation au complot du général Mallet. Victor fit de fortes études littéraires, suivit les cours de chimie de Thénard et se consacra à la botanique et à l'histoire naturelle. Il avait débuté brillamment dans le monde, s'était lié avec La Fayette, Mérimée, Stendhal. Une passion malheureuse le jeta dans un profond désespoir. Pour l'en tirer, son frère le poussa vivement à voyager. Jacquemont en 1826 s'embarqua pour l'Amérique, visita Haïti et revint bientôt en France pour s'occuper des préparatifs d'une mission scientifique en Inde que les administrateurs du Jardin du Roi lui avaient confiée. Parti en août 1828, avec une subvention insuffisante, il attendit vainement à Calcutta durant sept mois un supplément de subsides qu'il avait sollicité du gouvernement français. Il gagna l'amitié du vice-roi, lord William Bentink et, grâce à son appui, put continuer son voyage. Il parcourut l'Inde, explora l'Himalaya, pénétra dans la Tartarie chinoise, passa dans le Pendjab dont le roi Rundjet-Sing l'accueillit admirablement, parcourut le Cachemire et le Tibet et, à peine de retour à Bombay, mourut soit des suites d'une attaque de choléra, soit, selon Bouillet, d'une fièvre contractée en herborisant dans l'île empestée de Salsette. Guizot fit éditer le journal de son Voyage dans l'Inde (Paris, 1836-44, 6 vol. gr. in-4) qui abonde en renseignements géologiques, géographiques, météorologiques, botaniques et zoologiques et donne de curieux détails sur les moeurs, les institutions, les langues, le commerce des pays qu'il a visités. Mais toute sa notoriété lui vient de la publication de sa Correspondance (Paris, 1833, 2 vol. in-8, nombr. éd.) avec sa famille et ses amis. Ses lettres écrites sans apprêt, d'un style vif et gai, révèlent un esprit très fin et très compréhensif, des facultés d'observation tout à fait remarquables. D'une lecture très attachante, elles inspirent pour leur auteur des sentiments de sympathique admiration auxquels sa mort prématurée n'est sans doute point étrangère. (R. S.)."La publication de sa correspondance a été complétée en 1867, avec une préface de Prosper Mérimée. Son volumineux journal de voyage fut partiellement édité par Alfred Martineau sous les titres de « État politique et social de lInde du Nord en 1830 » (1933) et « État politique et social de lInde du Sud en 1832 » (1934). Présenter Victor Jacquemont, c'est faire connaître non pas tant le naturaliste que 1observateur des sociétés et des gens qu'il rencontre dans son très long parcours du sous-continent indien. Curieux des hommes, de leurs murs et de leurs institutions, il s'entretient avec tous, observe, jauge, critique. Ce sont les colonisateurs britanniques, les Musulmans, les Hindous, les Sikhs, hommes et femmes, qui le reçoivent et avec lesquels il s'entretient en Anglais, en Persan, en Hindoustani, selon les besoins il commence même à apprendre le sanskrit et qu'il compare aux Français de ce début du XIXe siècle, lui qui se dit « radicalement parisien » (lettre du 3 septembre 1832 au gouverneur de Pondichéry). Bien de ses observations et formulations charment le lecteur d'aujourd'hui et font écho, chez un indianiste, à sa propre expérience de l'Inde contemporaine. Jacquemont est un observateur irremplaçable de cette Inde d'il y a deux siècles, comparable et opposable en un certain sens à l'ouvrage fameux auquel l'abbé J. A. Dubois a donné son nom, « Murs, institutions et cérémonies des peuples de lInde » (Paris, Imprimerie royale, 1825)". (Extrait d'un article de Olivier Herrenschmidt au 130ème Congrès national des sociétés historiques et scientifiques, La Rochelle , 2005, Voyages et voyageurs .)
Librairie Moderne. Gustave Havard, éditeur. 1858. In-8°, reliure cartonnage, dos de basane à filets dorés. 320 pages. E.O. (pas de grand papier).
Bon état.
1913 À Paris, chez Charpentier, 1913.
1 volume in-12 (18,5 cm x 11 cm), demi-maroquin rouge (reliure moderne signée A.D. Lavaux), dos à nerfs, tête dorée, joli papier intérieur, couverture et dos conservés. [6]-406-[1] pages (complet). Très bon état. ÉDITION ORIGINALE. Tirage à 30 exemplaires sur papier du japon, seuls grands papiers, ici n°15. Albert Besnard, (1849-1934), est un peintre et graveur français. Sa notoriété aujourd’hui ne reflète guère la gloire dont il a été couvert tout au long de sa carrière. Il a suivi un parcours exemplaire, en parfait représentant du cursus honorum des peintres du 19e siècle, qui l’a mené de l’École des beaux-arts à l’Académie française en passant par la Villa Médicis. L’artiste accomplit souvent de longs voyages au cours desquels sa palette se modifie. Après Londres, il y a l’Algérie en 1893-1894, d’où Besnard rapporte plusieurs œuvres qui le feront classer parmi les orientalistes. L’Inde enfin en 1912, voyage que décrit le peintre dans L’Homme en rose, l’Inde couleur de sang et dont les œuvres qu’il y réalise, exposées à la galerie Georges Petit, remportent un véritable triomphe. Agréable exemplaire.
Payot, éd. 1958. Grand in-8° broché. 314 pages. E.O. Pages non coupées. Bon état.
L'Anachorète de l'Adyar - Le Yoga vainqueur de la mort - Le Sage qui ne parle jamais - Saints et magiciens - Le Thaumaturge de Bénarès - L'Ermitage de la jungle
Editions Phaidon. 1955. In-4°, reliure cartonnage. Jaquette illustrée. 190 illustrations hors texte en noir et sur vignettes appliquées en couleurs. 230 pages. E.O.
Bon état.