Paris, Ernest flammarion, éditeur, 1936; in-12, 335 pp., broché, couverture illustr.
Reference : 200812152
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Editions Rencontre 1967 1967. Pascal: Les Provinciales-Pensées/ Editions Rencontre 1967 . Pascal: Les Provinciales-Pensées/ Editions Rencontre 1967
Bon état
frères editeurs 1856 1856. Amédée Achard: Parisiennes et provinciales/ Michel Lévy Frères éditeurs 1856 . Amédée Achard: Parisiennes et provinciales/ Michel Lévy Frères éditeurs 1856
Très bon état
A Cologne chez Nicolas Schoute, 1685.Un volume relié In-12 (9 x 15,3 cm) de 10 ff. n. ch., 369 pp. ch. 259, 96 pp. ch. 114. (erreur de pagination sans manque). Reliure plein veau brun de l'époque, dos à nerfs orné, titre doré. Reliure usée, coiffes usées, coins émoussés et mors légèrement fendu sur cinq centimètres. Intérieur en bon état."Conçues comme une défense d'Arnauld et de l'attitude de Port-Royal dans la controverse des "cinq propositions", les Provinciales se présentent comme un réquisitoire contre les jésuites français, leur politique et leur indulgence en matière de moeurs. Mais elles brisent aussi ce cadre accidentel et polémique en traitant du péché et de la grâce, questions cruciales du christianisme et objet d'un débat perpétuel au sein même de l'Église catholique." (T. Prieur). Les dix-huit Provinciales parurent d'abord séparément et anonymement de janvier 1656 à mars 1657. À la fin de 1657, une édition en recueil fut publiée et signée du pseudonyme Louis de Montalte. L'anonymat ne fut levé qu'en 1659. L'ouvrage remporta un grand succès et fut tout de suite mis à l'index. "Unanimement admirées par les grands maîtres de l'éloquence et de la controverse du XVIIe et du XVIIIe siècle, elles finirent par s'imposer comme le modèle de toute polémique." (T. Prieur). La plupart des éditions anciennes, comme celle-ci publiée à Cologne, contiennent une dix-neuvième lettre, connue aussi sous le titre Lettre d'un avocat au Parlement à un de ses amis, et d'autres textes liés à la querelle opposant jansénistes et jésuites comme Avis de messieurs les curés de Paris à messieurs les curés des autres diocèses de France.
Coloniæ, Apud Nicolaum Schouten (Leiden, Jean Elzevier), 1658. (32), 608 pp. 8vo. Contemporary overlapping vellum, handwritten title to spine. Willems 829; Brunet, iv, 396; Tchemerzine-Scheler, v, p. 69; Peignot, Livres Condamnés, ii, 27; En Français dans le Texte 96; PMM 140 (both for the original edition). First Latin edition of the famous Lettres Provinciales, translated by Pierre Nicole (and with additions (p. 510-608) by Pierre Nicole (as "Willem Wendrockius" and as "Paulus Irenaeus")), published under the pseudonym Wilhelm Wendrock, a few months after the original French edition and just as that edition forbidden (by the Conseil d'État on September 23, 1660) and burnt. The book was printed by Jean Elzevier "pour le compte de ses parents d'Amsterdam" who had very good relations with the jansenists and were about to publish the first collective edition of the Provinciales (see Willems). Born in 1623, Pascal came under Jansenist influence in 1646. 'In 1654, after a period of discouragement and repeated meditations, he underwent a mystical experience which effected his definite conversion to a religious life ..... He now, in 1655, took up his residence in Port Royal ..... Attacks by the Jesuits on the Jansenist cause and on Antoine Arnauld led to the publication in 1656-7 of eighteen Lettres de Louis de Montalte à un Provincial de ses amis et aux RR. PP. Jesuites sur la morale et la politique de ces peres; they were composed by Pascal and are known as his Lettres provinciales. They deal with two subjects: divine grace, and the ethical code of the Jesuits ... Against the relaxed morality which the Jesuits were said to teach, he makes a vigorous appeal to public opinion by means of quotations from Jesuit works and by dialogues in which Jesuits are made, by their admissions, to cast discredit on themselves. The Lettres provinciales, written with polite irony and the utmost simplicity, lucidity, and objectivity, were an enormous success and dealt the Jesuits a blow from which they never recovered. The work was placed on the Index and was ordered by the Royal Council to be burnt (1660)' (Oxford Companion to French Literature, p. 541).After his mystical experience Pascal brought into this new existence "the gift of concrete precision which was the mark of his genius. The Lettres Provinciales are masterpieces of both the esprit de géométrie and the esprit de finesse. The first carried to the extreme the demands of a morality that was sincerely Christian and did not permit of serving two masters at the same time; the second unmasked one by one the abstract formulae, seemingly framed for juridical and secular purposes, behind which lay hidden the complaisance of the casuists. He forced the faithful Christian to scrutinize his own conscience, laying bare the depths of desire and the libido which testifies to the persistence of the original sin. (.....) If the influence of Pascal, which has been decisive in the history of positive science, in the history of French literature and in the history of Christian thought, continues to be felt in our own days, the reason is that no work invites us more to pass byond discursive abstractions and to uncover by direct contact with the realities of nature and of the soul the springs of vivifying intuition (Léon Brunschvicg in ESS, vol 12, pp. 7-8).'L'ouvrage le plus lu à son epoque, Les Provinciales ont contribué à imposer un art d'écrire classique' (En Français dans le Texte).'The Lettres Provinciales, as they are called, are the first example of French prose as we know it today, perfectly finished in form, varied in style, and on a subject of universal importance ... Pascal's weapon was irony, and the freshness with which the gravity of the subject contrasts with the lightness of the manner is an enduring triumph. The vividness of and distinction of his style recalls the prose of Milton at its best' (Printing and the Mind of Man). - Provenances: Guillaume Hoffman with engraved ex-libris "G.H.", manuscript ex-libris C. Stahl and a small stamp in blank portion of the title "Bibl. Familiæ Pajacsich."
Phone number : 31 20 698 13 75
A Cologne, chez Nicolas Schoute, 1666. In-8 de (16)-355-(1) pp. Suivi de :Censura sacrae Facultatis theologiae parisiensis in librum cui titulus est Amadaei Guimenii (…) Paris, Vitré, 1666. 20 pp. La Théologie morale des Jésuites et Nouveaux Casuistes : représentée par leurs pratiques et par leurs livres : condamnée il y a déjà longtemps par plusieurs censures, décrets d'université et arrêts de cours souveraines : Nouvellement combattue par les curés de France ; et censurée par un grand nombre de Prélats et par des Facultés de Théologie catholique : Divisée en Cinq parties, qui se peuvent voir en la page suivante. Et augmentée en cette Nouvelle édition d'une Censure faite par la Sorbonne. Cologne, Nicolas Schoute, 1666. (4)-893 pp.3 parties en 1 vol. in-8, vélin ivoire rigide, titre manuscrit sur le dos (reliure de l'époque).
Première édition posthume des Provinciales suivies de la Censure de la Faculté de Théologie de Paris et de la Théologie Morale sortie des presses de Nicolas Schoute à Cologne qui publia la même année (1666) une édition différente des seules Provinciales (476 pp., Willems, n°1372).Les trois pièces (Provinciales, Censure, Théologie) avaient été réunies une première fois en 1659 par le même Nicolas Schoute, du vivant de Blaise Pascal (1623-1662). Les dix-huit Lettres provinciales parurent séparément du 23 janvier 1656 au 24 mars 1657. Cette édition comprend la 19e lettre (Lettre d'un avocat au parlement à un de ses amis) qui n'est pas de Pascal mais probablement de l'avocat Antoine Le Maître (Willems). Titre en rouge et noir ; chaque partie a sa page de titre propre avec la même adresse pour les Provinciales et la Théologie Morale et l'adresse : "Parisiis, apud A. Vitré" pour la Censure. Rousseurs mais bel exemplaire en reliure d'époque.Maire, II, 190-201 ; Basse, Monographie des éditions des Lettres provinciales, 31.