‎[LITTERATURE] - BOUVIER (Alexis) - ‎
‎Les pauvres. ‎

‎Le manuel des dames de charité, ou formules de médicamens faciles à préparer dressées en faveur des personnes charitables, qui distribuent des remèdes aux pauvres dans les villes et dans les campagnes : avec des remarques pour faciliter la juste application des remèdes qui y sont contenus. Et un traité abrégé sur l'usage des différentes saignées.‎

‎Louis Daniel Arnault de Nobleville, Le manuel des dames de charité, ou formules de médicamens faciles à préparer dressées en faveur des personnes charitables, qui distribuent des remèdes aux pauvres dans les villes et dans les campagnes : avec des remarques pour faciliter la juste application des remèdes qui y sont contenus. Et un traité abrégé sur l'usage des différentes saignées. Orléans, Lanquement & Paris, Debure, 1747. In-12, [6]-XXXII-256p. Edition originale de cet ouvrage de médecine. Si on retient habituellement Nobleville comme auteur, la dédicace à l'intendant général de la généralité d'Amiens est signée de trois autres personnes : François Salerne, médecin à Orléans lui-aussi, Loyré du Perron, membre de la société littéraire d'Orléans, et Villac de Laval. Les éditions suivantes porteront à sept les noms indiqués et tous étaient membres du collège de consultations gratuites au profit des pauvres d'Orléans. Ce livre était d'ailleurs un soutien à ce collège et à la médecine en faveur des pauvres. Il y aura de nombreuses éditions au XVIIIe siècle. Plein vélin vert, dos à nerfs, pièce de titre, tranches rouges. Dos bruni, vélin craquelé aux mors comme souvent avec les vélins vers, mors fendu en bouts (moins d'un cm). Sympathique exemplaire en vélin vert. ‎

‎Les Parens [Parents] pauvres.- La Cousine Bette - Le Cousin Pons‎

‎Honoré de Balzac, Les Parens [Parents] pauvres. Paris, Louis Chlendowski, 1847 puis Paris, Pétion, 1848. In-8, 331p, 311p, 306p, 314p, 314p, 293p, 307p, 324p, 306p, 322p, 311p & 351p. Edition originale des romans La Cousine Bette et Le Cousin Pons qui avaient paru en feuilleton dans Le Constitutionnel entre le 8 octobre et le 3 décembre 1846. Les trois premiers volumes paraissent dès janvier et les suivants de manière régulière. Curieusement, dès le tome VII et le passage chez Pétion, les volumes sont datés 1848 alors que le tome VII est en vente dès avril 1847. Notons que ce volume contient la fin de La Cousine Bette et le début du Cousin Pons. Cela explique explique peut-être cette curiosité. Provenance : cabinet de lecture du papetier Bijard à Bourges. Il est intéressant de noter que ce type de provenance est assez courant pour les ouvrages de Balzac qui ont été particulièrement présents dans les cabinets de lecture. Modeste cartonnage d'époque, cartons couverts de papier jaune (parfois orange), dos toilé avec papier collé par dessus, pièces de titre papier, très peu rognés, rousseurs, nombreux feuillets renforcés anciennement en marge intérieure (probablement un effet de l'usage en cabinet de lecture), quelques petites mouillures marginales, tome 3 mouillé. Une correction manuscrite (T.4, p.14). Feuillet 297/298 du tome 4 mal placé (après la page 310). Un feuillet grossièrement réparé au tome 5 (p.95/96). Deux feuillets mal placés au tome 8. Certaines pages ou cahiers très brunies. Exemplaire modeste mais peu commun. ‎

‎Le Médecin des Pauvres qui enseigne le Moyen de guérir les maladies par des remèdes faciles à trouver dans le Païs, & préparer à peu de frais par toutes sortes de personnes [ Suivi de : ] Le Chirurgien des Pauvres qui enseigne le moyen de guerir les Maladies externes par remedes faciles à trouver & preparer, en faveur de ceux qui sont éloignez des villes‎

‎Le Médecin des Pauvres qui enseigne le Moyen de guérir les maladies par des remèdes faciles à trouver dans le Païs, & préparer à peu de frais par toutes sortes de personne, Reveu & augmenté en cette troisième Edtion de divers Traitez, & particulièrement, du Scorbut, avec le moyen de se guérir & de s'en préserver [ Suivi de : ] Le Chirurgien des Pauvres qui enseigne le moyen de guerir les Maladies externes par remedes faciles à trouver & preparer, en faveur de ceux qui sont éloignez des villes, 1 vol. in-12 reliure de l'époque pleine basane marron, dos manquant restauré par du papier fort, Chez Edme Couterot, Paris, 1671 et 1673, 21 ff., 429 pp., 18 ff., 94 pp.‎

‎Exemplaire modeste mais bien complet de cette réunion du "Médecin des Pauvres" et du "Chirurgien des Pauvres", rédigés par le médecin de Montargis Paul Dubé, surnommé le "Père des Pauvres"; mort en 1698. Exemplaire modeste (dos manquant restauré au papier fort, reliure frottée restaurée à l'adhésif, petit travail de vers dans le texte sur 5 ff.), comme souvent pour cet ouvrage transmis et consulté de générations en générations, portant l'ex-libris manuscrit de l'abbaye de Blanche-Couronne, en Loire-Atlantique. Prix en l'état‎

‎Le chirurgien des pauvres, qui enseigne le moyen de guérir les maladies externes par remèdes faciles à trouver & préparer, en faveur de ceux qui sont éloignés de la ville‎

‎Paris, Edme Couterot, 1669, in-12, [28]-89-[1] pp, Vélin souple postérieur, dos muet, tranches rouges, Édition originale de cet opuscule de médecine charitable. Achevé d'imprimé "pour la première fois en 13 juin 1669" à la fin du Privilège du roi. Ce Chirurgien des pauvres se trouve habituellement relié à la suite de l'ouvrage complémentaire, le Médecin des pauvres, du même auteur. L'Avis aux pauvres qui clôt l'opuscule le mentionne d'ailleurs comme faisant partie d'un "traité" réunissant les deux parties. L'ouvrage a connu maintes éditions au cours du XVIIe siècle. Cette partie-ci traite ici des tumeurs, plaies et ulcères et propose une thérapeutique utilisant d'une part des gestes opératoires simples, tels que la saignée et, d'autre part, des remèdes que l'on trouve aisément "dans notre climat", exception faite de la séné, que les pauvres pourront néanmoins trouver à quelques sous seulement chez certains droguistes de Paris revendant des fonds de ballots (Avis aux pauvres). Paul Dubé, médecin de la Faculté de Montpellier, fut un praticien très populaire de Montargis au XVIIe siècle. Il prescrivait notamment son "syrop émétique fébrifuge", composé de verre d'antimoine, qui sera par la suite connu et préparé sous le nom de "sirop de Dubé". Étiquette ex-libris de Maurice Villaret. Mouillure claire en tête, réparation ancienne au dernier feuillet. Wellcome II, p. 488. Couverture rigide‎

‎Bon [28]-89-[1] pp.‎

‎Carmel n° 3 - Service des pauvres et vie spirituelle, La pauvreté selon Sainte Thérèse d'Avila, Nos maitres les pauvres par Yvonne Bougé, De l'or dans les choses saintes ? par le R.P. Albert de l'annonciation, L'or, le culte et les pauvres, opinions‎

‎Editions du Carmel. 1966-3. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 161 à 240.. . . . Classification Dewey : 248-Vie chrétienne et méditations‎

‎Sommaire : Service des pauvres et vie spirituelle, La pauvreté selon Sainte Thérèse d'Avila, Nos maitres les pauvres par Yvonne Bougé, De l'or dans les choses saintes ? par le R.P. Albert de l'annonciation, L'or, le culte et les pauvres, opinions des pères de l'église Classification Dewey : 248-Vie chrétienne et méditations‎