Grenoble, ARTHAUD, 1950; in-8, 196 pp., broché, couverture illustr.
Reference : 200705835
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Bruxelles, Fonds Mercator, 2012 Couverture reliee sous jaquette ,240 x 280mm.,244pp., 130 illustrations en couleurs. bon etat. ISBN 9789061538226.
LCanaletto-guardi Venise et son charme intemporel deviennent au xviiie siecle le sujet de predilection de peintres appeles vedutistes . Leurs vues de Venise se repandent tres vite en Europe et font de la veduta, aujourd'hui encore, le genre le plus collectionne et l'un des plus aimes du public. Si l'ouvrage offre une place centrale a Canaletto, figure emblematique du genre, en devoilant plus de vingt-cinq oeuvres remarquables du maitre, issues des plus grands musees et collections, il resitue egalement l'artiste au sein de ce grand genre artistique. Ses oeuvres entrent en resonance avec celles de Gaspar van Wittel, Luca Carlevarijs, Michele Marieschi, Bernardo Bellotto et Francesco Guardi qui s'impose comme le dernier maitre ayant reussi a immortaliser l'enchantement et l'elegance du xviiie siecle venitien. Le Musee Jacquemart-Andre presente egalement des ? caprices ? : de remarquables scenes d'une Venise imaginaire, peintes par Canaletto, Guardi et Bellotto.
BE, Mercatorfonds / Fonds Mercator, 2010 Hardback, 285x245mm, 160p, French edition. etaf neuf ! . ISBN 978906153971113.
La peinture de vue du dix-huitieme siecle a Venise est apparue avec Luca Carlevarijs et s'est eteinte a la mort de Francesco Guardi en 1793, suivi par l'invasion de Napoleon et la chute de la Republique de Venise en 1797. Entre deux, une constellation de peintres remarquables s'est distinguee dans l'illustration des vues les plus celebres comme des coins les plus recules de la ville dans d'eblouissantes images qui comptent parmi les plus grandes reussites artistiques du dix-huitieme siecle. Bien que Canaletto soit probablement l'artiste le plus directement associe a ces images, il comptait beaucoup de rivaux. Chaque artiste avait de la meme topographie sa propre vision unique et la representait de facon clairement distincte. Ce catalogue montre les differentes reponses a ce paysage urbain avec sa lumiere toujours changeante et ses personnages de theatre. Toutes les figures majeures sont ici representees, Bellotto, Canaletto, Carlevarijs, Guardi, Joli, Marieschi et Vanvitelli , a cote de quelques contemporains fascinants comme Cimaroli et Tironi dont les dernieres recherches ont mis en lumiere les rapports stylistiques complexes entre eux.National Gallery, Londen Expo: 13/10/2010 - 16/01/2011, National Gallery, Washington, 20/2/11 - 30/5/2011
LANDON H. C. ROBBINS . NORWICH JOHN JULIUS
Reference : 100077743
(1991)
ISBN : 2709609967
Jean-Claude Lattès coll. "Musiques et musiciens" 1991 in4. 1991. cartonné broché. 3 volume(s). 3 livres autour de Venise et sa culture abondante iconographie noir et blanc et en couleur
Bon Etat à très bon état de conservation
sd Au Bureau de la Mode / Chez Aubert et Cie, Paris - Sans date (circa 1850) - In-4, demi-basane noire, plats et dos ornés, toutes tranches dorées - 152 pp. - 10 gravure sur les onze annoncées en page de titre
Assez bon état - Frottements sur les bords, les plats et le dos - Rousseurs et mouillures (sans incidence sur le texte) dans l'ouvrage - Inscriptions à l'encre sur les gardes
Flammarion, 1918, in-12, viii-316 pp, reliure demi-percaline aubergine à la bradel, dos lisse avec titre doré (rel. de l'époque), bon état (Bibliothèque de philosophie scientifique)
"Tout est à louer dans ce volume. M. Diehl a visité souvent Venise, s'est imprégné de son atmosphère. Dans les chroniques latines ou italiennes, et aussi dans les chroniques grecques – car l'Orient byzantin permet seul de comprendre cette cité toute grecque – il a étudié à fond son histoire ; derrière chacune de ses assertions nous devinons le texte précis. En plus il a disposé sa matière avec beaucoup d'art ; on suit avec un véritable intérêt ses développements toujours clairs; on lit avec un grand plaisir ses descriptions chatoyantes. Qu'on compare ce volume avec un ouvrage à peu près analogue publié en Allemagne, le “Venedig als Weltmacht und Weltstadt” de H. v. Zwidineck- Südenhorst ; autant celui-ci est lourd, doctrinal, et malgré tout superficiel, autant celui-là est gracieux, pimpant, et aussi très solide. Parcourons rapidement les quatre livres dont se compose le volume. Le premier nous entretient des origines de Venise et de la formation de sa grandeur. Par le traité de 812, Venise échappa à la domination des Carolingiens ; placée sous la suzeraineté de Byzance, gouvernée par ses ducs qui cherchèrent à rendre leur charge héréditaire, elle établit son autorité solidement sur l'Adriatique et jeta les fondements de sa grandeur maritime. Avec le livre II, nous entrons au cœur du sujet. Du XIe à la fin du XVe siècle, Venise est, dans la Méditerranée, la grande puissance commerciale ; et avec beaucoup de raison, M. Diehl insiste sur l'organisation de ce commerce, sur l'essor que lui donnèrent les croisades et la conquête de Constantinople en 1204. (...) Le livre III montre l'évolution de Venise du milieu du XVe à la fin du XVIe siècle. Les causes de décadence sont déjà très visibles. Les Turcs enlèvent à Venise son bel empire colonial... (...) Le livre IV, « la fin de Venise », n'est qu'un épilogue assez court. En 1669, Venise perd la Crète ; la conquête de la Morée par François Morosini le Péloponésiaque ne fut que passagère ; Venise ne la garda que trente années (1685-1715). Et dès lors elle renonça à toutes ses ambitions. Elle devint l'hôtellerie décrite dans Candide, la ville où s'arrêtèrent tous les voyageurs du XVIIIe siècle, celle des comédies de Goldoni et des farces de Gozzi, jusqu'au jour où, après les Pâques véronaises, Bonaparte la livra à l'Autriche. Ici s'arrête le livre de M. Diehl." (Ch. Pfister, Revue Historique, 1916) — Il y a une Venise romantique, celle de Byron, de Musset, de George Sand : de cette Venise, charmante assurément, un peu conventionnelle aussi peut-être, et dont la gloire est faite de beaucoup de littérature et d'un peu de snobisme, il n'est pas question dans ce livre. Il y a une autre Venise, celle dont on a joliment dit qu'elle est "La plus formidable leçon d'énergie active et d'utilisation pratique qui se rencontre dans l'histoire". C'est de cette Venise que l'auteur a voulu ici, non point sans doute écrire une fois de plus l'histoire, mais étudier le régime politique, l'évolution historique, et déterminer les causes qui firent sa grandeur et sa décadence. Dans la succession, compliquée et diverse, des formes politiques que connurent tour à tour les peuples européens, Venise tient une place à part. Sa constitution est une des créations les plus originales qu'ait comptées l'histoire des institutions ; elle offre le type classique – et presque unique – d'un gouvernement purement aristocratique, d'une république patricienne, où le pouvoir se concentre aux mains d'une oligarchie peu nombreuse, étroitement fermée et singulièrement jalouse de ses privilèges. Mais ce qui est peut-être plus remarquable encore, c'est que cette œuvre politique, née des circonstances, et par bien des côtés artificielle, a été, par la ferme volonté de ceux qui y présidèrent, une œuvre durable. L'ouvrage de Charles Diehl est devenu un classique.