Paris, Fernand lanore, 1957; in-8, 221 pp., broché avec jaquette. Sites et légendes, images et croquis.
Reference : 200614773
Sites et légendes, images et croquis.
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Paris, Garnery. 1817. 4°. XXXIX S., 31 gestochene Karten, Pläne und Ansichten und einer mehrfach gefalteten Karte des alten Kontinents, datiert 1788. Restaurierter Halblederband der Zeit goldgeprägtem Rückentitel.
Spätere Ausgabe des erfolgreichen Atlas zur Reise des Jungen Anacharsis, der erstmals 1788 erschien. Hier mit den 4 Karten zur Einleitung, 27 Karten, Pläne und Ansichten zur Reise und der offenbar aus einer anderen Ausgabe ergänzten Kontinentkarte. Die vorliegende erste Ausgabe bei Garnery mit 39 Seiten Text, die späteren Ausgaben alle mit 19 Seiten. - Mit 2 handschriftlichen Besitzvermerken auf dem Titelblatt. Titel, Text und die ersten 2 Karten leicht gewellt. Rücken neu ersetzt.
A Paris, Chez de Bure l'aîne, 1789. 28x22,5 cm. XLII p. et 31 planches (l'introduction no. i-iv et Voyage no. 1-27). Cartonnage d'époque.
L'Atlas seul. - Avec 28 cartes et plans (dont 1 en double page et 11 avec contours en couleurs), 1 gravure 'vue du Parthénon', 1 gravure 'Platon sur le Cap Sunium au milieu de ses disciples' et 1 gravure de médailles. - Reliure endommager. Quelques rousseurs.
3 vol. Paris, Le Normant. 1811. 8°. CIX, 277 p.; 2 f. n.ch., 413 p.; 2 f. n.ch., 370 p., 8 p. catalogue. Avec un planche en fac-similé. Reliure demi maroquin blonde, titre doré.
Edition originale. - Manque la carte. - Rare rousseurs. - Exemplaire non rogné. Relié vers 1950.
Paris, Didot l'Ainé 1783. 16°. 219 p., 1 p. d'approbation. Reliure plein veau avec double filets sure les plats, pièce de titre rouge.
"Collection des moralistes anciens". - Rousseurs, Reliure avec petits manques à la coiffe.
P., Librarie Orientale & Américaine, E. Guilmoto, s.d. (1913), pt in-8°, xvi-294 pp, 12 pl. de photos hors texte, reliure demi-chagrin vert, dos à 4 faux-nerfs, titres et caissons dorés, encadrements à froid sur les plats, fer doré de prix de la ville de Paris au 1er plat (rel. de l'époque), qqs rousseurs, bon état
"Aux personnes qui désirent être renseignées sur la Grèce, spécialement au point de vue économique, nous recommandons l'ouvrage de M. Martin. Il a, été composé avant les guerres balkaniques, mais ses renseignements n'en conservent pas moins toute leur valeur. M. Pontsevrez a d'ailleurs ajouté plusieurs notes complémentaires qui en font un livre parfaitement à jour. L'auteur étudie successivement la cour et le gouvernement, les finances, l'instruction publique, les chemins de fer, la marine marchande, l'industrie, l'agriculture, les mines, les questions sociales, etc. Il consacre ensuite plusieurs chapitres aux villes principales, comme Athènes, Patras, Nauplie, etc., et aux diverses provinces. C'est donc un ouvrage récent tout à fait unique en son genre. Point de descriptions, de rappel de l'antiquité, point de lyrisme classique. M. Martin a étudié la Grèce en homme d'affaires pour qui seules les choses du présent ont une importance réelle." (Raymond Janin, Revue des études byzantines, 1914) — "Il ne s'agit pas, malgré le titre, de la Grèce telle qu'elle a été agrandie par le traité de Bucarest ; c'est bien pourtant une Grèce nouvelle qui s'est révélée à l'Europe au cours de la dernière guerre. Une Grèce qui avait réparé l'échec de 1897, dont l'armée était réorganisée, dont les finances étaient rétablies ; en grande partie l'oeuvre d'un homme d'Etat de premier ordre, M. Eleutherios Venizelos, premier ministre. Sans doute la Grèce ne peut encore se comparer à l'un de nos Etats occidentaux ; et si M. Percy Martin avait été géographe, il aurait tenté de montrer quelle part dans ce retard revient aux conditions physiques ; sa comparaison de la Grèce avec la Colombie de l'Amérique du Sud est assez saugrenue. La mer offre, en Grèce, des communications si faciles et si naturelles, la terre, en revanche, a un relief si accidenté et si tourmenté que l'on s'est tourné vers la mer et que l'on a négligé les routes terrestres. Les dominations successives qui ont pesé sur le pays ont été stériles à cet égard ; ce n'est que depuis l'indépendance, à mesure que la Grèce se remettait des plaies du régime turc, des blessures des guerres libératrices, qu'elle a pu songer aux routes et aux chemins de fer. Elle possède maintenant quelques bonnes routes où l'on peut circuler en automobile. Elle possède aussi un réseau ferré de 1600 kilomètres de long ; il appartient à diverses compagnies ; il n'y a pas jonction entre plusieurs des lignes ; il ya plusieurs types de voie, à1m. 44, à1m., à 60 cm. ; enfin, jusqu'ici, il y avait interruption de la ligne à l'ancienne frontière turque et impossibilité de communiquer directement avec l'Europe. Cependant on voit l'agriculture trouver de nouvelles voies, l'industrie naitre. Il ne manque plus que le temps, la persévérance dans le travail, la confiance de l'étranger aussi bien que du peuple dans un gouvernement qui comprend son devoir. L'organisation administrative et judiciaire du pays, l'instruction (le l'armée, l'état des finances, marquent déjà un progrès énorme. C'est donc une impression optimiste qui se dégage des nombreux renseignements recueillis par M. Martin. Un mot d'éloge en passant aux très belles photographies." (C. Biermann, Bulletin de la Société neuchateloise de géographie, 1915)