Saint-Laurent, [Montréal] 1927 In-12, xviii et 91p. Couverture illustrée. :: Roman religieux. Lettres à l'auteur par le chanoine J.-A. Mousseau et par Alfred Charron. :: Cartonnage récent, toile rouge, couverture supérieure conservée. Cachets des Franciscains, Montréal-Est. Cote sur un plat.
Reference : 31178
Librairie Transatlantique
M. Francois Côté
10415 Grande Allée
H3L 2M4 Montréal
QC - Québec Canada
1 514 820 2324
Les livres et documents offerts sont en bon état, sauf indications contraires. Les documents insatisfaisants peuvent être retournés, après entente, dans la semaine de leur réception. ::::: Les prix sont nets, en dollars canadiens. Paiement sur cartes bancaires, Paypal, traite en dollars canadiens ou chèque en devises (plus frais de banques). Les frais de port, d emballage et d assurance sont en sus. La TPS canadienne, lorsqu elle s applique, sera ajoutée au total. ::::: Frais de port minima, avec couverture et repérage, jusqu'à 500 gr : Canada, 15$; USA, 30$; international, 62$ (air). Plus de 500 gr et jusqu à 1 kg : Canada, 18$; USA, 30$; international 87$ (air); plus de1kg et jusqu'à 2kg : Canada, 20$; USA, 32$; international 97$ (air); (augmentation des Postes de février 2023). Des tarifs plus bas existent mais aux risques du client, désolé.
BUREAU DU JOURNAL. 14 JANVIER 1971. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 28 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 780-Musique
Sommaire : Pop Music vous présente les vedettesdu Midem 71 par Gérard Jourd'hui, Elton John fut sifflé a Paris, je ne voulais pas faire de tournées, je ne voulais pas être une vedette non plus par Penny Valentine, Buffy Sainte-Marie une indienne fière de l'être par Albert Roy, Robert Charlebois : le verbe corrosif par François Ayral Classification Dewey : 780-Musique
S.n., S.l. 14 juin (1908), 22,5x18cm, une page.
Lettre autographe signée du comte dandy, 52 lignes écrites à l'encre noire sur papier calque, adressée probablement à son ami et bibliographe le critique Henri Lapauze. "Neuilly, Mon cher ami, je crains de vous avoir mal dit, en hâte, et en proie à de cruels mouvements, ce que je ressentais fort bien, et que, par suite, je devais exprimer mieux. L'épithète de "métallique" appliquée à votre voix (sans insister sur la richesse du timbre et la noblesse de la vibration) m'apparaît bien loin de ce que me dictaient mon sentiment et ma pensée. Je ne voulais que lui faire figurer l'accent mâle, en regard du contralto qu'il me plaisait de lui juxtaposer en plus. Ce que je voulais sous-entendre aussi dans cette supposition d'une résultante (en ce carnet) du chant alterné de nos causeries, c'est l'hommage qu'il nous est toujours agréable de voir rendre aux dignes objets de notre attachement et que j'aimais vous offrir, sous la forme du mien, désormais double, sans cesser d'être un. Robert de M. P.S. : voilà ce que je tenais à vous dire et que des graves préoccupations autour de la santé de mon pauvre Iturri m'ont fait, écourter un peu. Je m'occupe (mot illisible), et vous avertirai, vous renseignerai. 14 juin" Traces de pliures inhérentes à la mise sous pli. - Photos sur www.Edition-originale.com -
(Paris) 3 mars 1906, 12,4x16,8cm, 3 pages 1/2 sur un double feuillet.
Lettre autographe signée "Paule" de Renée Vivien adressée à Natalie Clifford Barney et rédigée à l'encre violette sur un double feuillet à en-tête de violette et adresse du 23 avenue du Bois de Boulogne.Pliures transversales inhérentes à l'envoi. Charmante lettre laissant espérer un apaisement dans l'ubiquité amoureuse de Renée Vivien qui semble avoir finalement choisi Hélène de Zuylen : "Je t'envoie des vers... Les aimes-tu? Ils ne me plaisent qu'à moitié c'est déjà beaucoup! Tu as oublié que tu voulais te tuer pour moi... A part ce léger détail, tu as été parfaite Mon amie t'aime je t'adore tout est parfaitement ordonné [...]N'est-ce pas que mon amie est parfaitement bonne et charmante? Je l'aime tant, d'une façon si poignante, si simple et si bête... ce qui est, après tout, la meilleure façon d'aimer!"On sent pourtant ici un attachement toujours très profond de la Muse aux violettes pour l'Amazone : "Je baise tes mains d'autrefois et tes mains d'aujourd'hui Et je t'aime plus que je ne sais le dire." C'est à la fin de l'année 1899 et par l'intermédiaire de Violette Shillito que Renée Vivien - alors Pauline Tarn - fit la connaissance de Natalie Clifford Barney «cette Américaine plus souple qu'une écharpe, dont l'étincelant visage brille de cheveux d'or, de prunelles bleu de mer, de dents implacables» (Colette,Claudine à Paris). Natalie, qui venait de vivre une idylle estivale avec la sulfureuse Liane de Pougy qui l'a initiée au saphisme, ne prêta qu'une attention discrète à cette nouvelle connaissance. Renée en revanche fut totalement subjuguée par la jeune Américaine et relatera ce coup de foudre dans son roman autobiographiqueUne Femme m'apparut: «J'évoquai l'heure déjà lointaine où je la vis pour la première fois, et le frisson qui me parcourut lorsque mes yeux rencontrèrent ses yeux d'acier mortel, ses yeux aigus et bleus comme une lame. J'eus l'obscur prescience que cette femme m'intimait l'ordre du destin, que son visage était le visage redouté de mon avenir. Je sentis près d'elle les vertiges lumineux qui montent de l'abîme, et l'appel de l'eau très profonde. Le charme du péril émanait d'elle et m'attirait inexorablement. Je n'essayai point de la fuir, car j'aurais échappé plus aisément à la mort.» «Hiver 1899-1900. Débuts de l'idylle. Un soir, Vivien est invitée par sa nouvelle amie dans l'atelier de Mme Barney [mère de Natalie], 153 avenue Victor-Hugo, à l'angle de la rue de Longchamp. Natalie s'enhardit à lire des vers de sa composition. Comme Vivien lui dit aimer ces vers, elle lui répond qu'il vaut mieux aimer le poète. Réponse bien digne de l'Amazone.» (J.-P. Goujon,Tes blessures sont plus douces que leurs caresses) Suivront deux années d'un bonheur inégal, rythmées par les infidélités récurrentes de Natalie et la jalousie maladive de Renée dont les lettres oscillent entre déclarations enflammées et douloureuxmea culpa. «Renée Vivien, c'est la fille de Sappho et de Baudelaire, c'est la fleur du mal 1900 avec des fièvres, des envols brisés, des voluptés tristes.» (Jean Chalon,Portrait d'une séductrice) En 1901 survint une importante rupture qui durera presque deux années; Renée, malgré les sollicitations de Natalie et les intermédiaires qu'elle lui envoie pour la reconquérir, résiste. «Les deux amies se revirent, et se fut, en août 1905, le pèlerinage à Lesbos, qui constitua une déception pour Natalie Barney et demeura sans lendemain. [...] Le ressort était définitivement brisé. Les deux anciennes amies cessèrent de se voir dès 1907, et Vivien mourut sans qu'elles se soient revues. » (J.-P. Goujon,Ibid.) Précieuse et très rare lettre de Sapho 1900 à l'Amazone. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Mill Harry 1916
Bon état Petit format
S.n., s.l. (Paris) 13 Juillet 1880, 13,5x20,5cm, une feuille.
Lettre autographe datée et signée d'Edmond de Goncourt (12 lignes à l'encre noire). Traces de pliures inhérentes à la mise sous pli. Il s'excuse de son mutisme accaparé qu'il était par l'écriture d'un ouvrage : "... mais je peinais dans un laborieux volume dont je en voulais pas sortir...", et congratule son correspondant pour la qualité de son dernier livre : "... je m'empresse de vous témoigner tout le plaisir que j'ai eu à lire votre délicat drame bourgeois, écrit dans une jolie et fraîche langue..." - Photos sur www.Edition-originale.com -