‎DEMPSEY (William HARRISON, dit Jack). Boxeur américain (1895-1983).‎
‎PHOTOGRAPHIE ORIGINALE.‎

‎ Photographie noir et blanc (233 X 233), collée sur carton fort. Petit éclat.‎

Reference : 000036


‎PHOTOGRAPHIE ORIGINALE enrichie d'un ENVOI AUTOGRAPHE signé : "To Mrs. Claude Beddington, with my best wishes and respects. Your friend, Jack Dempsey". JACK DEMPSEY, boxeur américain, fut champion du monde des poids lourds de 1919 à 1926, année où il perdit son titre face à Tunney. Le 2 juillet 1921, le français Georges Carpentier dit "Le Bombardier" lui disputa son titre et fut vaincu par knock-out à la quatrième reprise. NICE COPY. PICTURES AND MORE DETAILS ON REQUEST. ‎

€150.00 (€150.00 )
Bookseller's contact details

Librairie ancienne & Moderne Eric Castéran
M. Eric Castéran
26, rue du Taur
31000 Toulouse
France

contact@librairie-casteran.com

06 21 78 12 79

Contact bookseller

Payment mode
Others
Cheque
Others cards
Sale conditions

Conditions de vente conformes aux usages du Syndicat de la Librairie Ancienne et Moderne et de la de la Ligue Internationale des Libraires de livres Anciens (LILA). Les livres sont garantis complets et en bon état sauf mention contraire. L’envoi des ouvrages par la Poste est en sus. Un envoi prioritaire en recommandé est d’environ 8 euros pour la France, 15 euros pour l’Europe et 20 euros pour les USA. Ce tarif est basé sur celui d'un livre pesant 1 kilogramme. Si le livre commandé dépasse ce poids nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le prix du supplément de port. Terms of sale according to International League of Antiquarian Bookseller's rules. Books are guaranteed to be complete and in good condition unless otherwise stated. Postage at cost is extra. Priority and registred mail : about 8 Euros for France, 15 Euros for Europe, 20 Euros for USA. Shipping costs are based on books weighing 2. 2 LB, or 1 KG. If your book order is heavy or oversized, we may contact you to let you know extra shipping is required.

Contact bookseller about this book

Enter these characters to validate your form.
*
Send

5 book(s) with the same title

‎Emilio VISCONTI VENOSTA‎

Reference : 88517

(1877)

‎Photographie originale de Lorenzo Suscipj dédicacée par Emilio Visconti-Venosta ‎

‎s. n. | Rome s. d. [1877] | 11 x 17.5 cm | Une photographie‎


‎Photographie originale représentant Emilio Visconti-Venosta de face. Tirage argentique d'époque portant, en bas du cliché, le timbre à froid du photographe romain, Lorenzo Suscipj, pionnier de la photographie en Italie. Petites piqûres noires sur le cliché. La photographie est encollée sur un feuille cartonnée portant l'adresse imprimée du photographe. Rare envoi autographe daté et signé d'Emilio Visconti-Venosta au verso : "A Mr Henri Fournier souvenir d'un ami E. Visconti-Venosta. Rome. 18 Janvier 1877." Homme politique italien, Emilio Visconti-Venosta joua un rôle important dans la lutte pour l'indépendance de l'Italie. Il fut nommé par Camille Cavour commissaire royal au près de Giuseppe Garibaldi. Il fut ensuite ministre des Affaires étrangères. Belle photographie du pionnier de la photographie en Italie représentant l'un des pionniers de l'unité et de l'indépendance de l'Italie. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 56 08 08 85

EUR800.00 (€800.00 )

‎Marc TRIVIER‎

Reference : 62371

(1981)

‎Autoportrait. Photographie Originale de l'artiste‎

‎Par l'auteur | s. l. 1981 | 22 x 22 cm | une feuille‎


‎Photographie originale en noir et blanc réalisée et tirée par Marc Trivier. Tirage argentique non signé, comme la plupart des oeuvres de Trivier. Epreuve unique tirée par l'artiste. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste «réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier.» (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » inLe Monde Libertaire, 2011). Cette «vie du papier» participe de l'uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : «Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe: le photographe affectionne ce genre d'accident.» (Claire Guillot, «Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier», Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. «Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude.» (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré qui piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium de Trivier et qui l'obsède, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes: «De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie.» (Marc Trivier). Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet ... les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reçoit le prestigieux Young Photographer Award de L'international Center of Photography en 1988 ainsi que le Prix Photographie Ouverte (Charleroi). Après le Palais de Tokyo à Paris et le musée de l'Elysée à Lausanne, le Casino à Luxembourg, la Maison Européenne de la photographie à Paris lui consacre une importante rétrospective en 2011. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 56 08 08 85

EUR2,000.00 (€2,000.00 )

‎Marc TRIVIER‎

Reference : 62363

(1980)

‎Tête. Photographie Originale de l'artiste‎

‎Par l'auteur | s. l. 1980 | 24 x 30 cm | une feuille‎


‎Grande photographie originale en noir et blanc réalisé par Marc Trivier. Tirage argentique original non signé, comme la plupart des uvres de Trivier. Découpe irrégulière sur le bord droit de la photographie. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste «réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier.» (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » inLe Monde Libertaire, 2011). Cette «vie du papier» participe de l'uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : «Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe: le photographe affectionne ce genre d'accident.» (Claire Guillot, «Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier», Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. «Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude.» (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carrésouligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadrepiège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : «Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition."» (Xavier-Gilles inLe Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette «brûlure» de la lumièrenous renvoie à un instant réel, au «ça a été» de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : «De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie.» (Marc Trivier). «La photographie ne dit qu'une chose : «C'était.» On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là.» (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet ... les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reçoit le prestigieux Youn‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 56 08 08 85

EUR2,000.00 (€2,000.00 )

‎Marc TRIVIER‎

Reference : 62385

(1984)

‎Photographie de la citadelle de Dinant et de la collégiale Notre-Dame de Dinant. Photographie Originale de l'artiste‎

‎Par l'auteur | s. l. 1984 | 19 x 37 cm | une feuille‎


‎Grande photographie originale en noir et blanc réalisée et tirée par Marc Trivier. Tirage argentique non signé, comme la plupart des oeuvres de Trivier. Epreuve unique tirée par l'artiste. Précieuse épreuve argentique originale du célèbre photographe belge, un des artistes contemporains les plus secrets, qui malgré un succès international précoce, a préféré limiter sa production pour conserver la cohérence de son uvre. Marc Trivier ne tire pas de nouveaux exemplaires de ses anciens portraits, le papier de tirage qu'il utilisait n'est d'ailleurs plus commercialisé. L'artiste «réalise lui-même ses tirages sur papier baryté Ilford, consacrant plusieurs jours de travail à chacun, avec une concentration particulière pour rendre les blancs, par contraste avec des noirs d'une rare densité. Un tirage de Marc Trivier ne ressemble à aucun autre. Lorsqu'il accepte de les exposer, il les suspend dans des cadres en inox de sa fabrication, laissant libre cours à la vie du papier.» (Xavier-Gilles, « Marc Trivier et la tragédie de la lumière » inLe Monde Libertaire, 2011). Cette «vie du papier» participe de l'uvre au même titre que les diverses altérations que subissent les photographies lorsqu'elles sont exposées : «Dans les boites, les tirages gondolent, mais qu'importe: le photographe affectionne ce genre d'accident.» (Claire Guillot, «Les face à face sans échappatoire du photographe Marc Trivier», Le Monde, 2011). Marc Trivier a une sensibilité particulière pour l'aspect matériel de ses productions. Alors que la photographie relève par essence du multiple, cette intervention de l'artiste dans tout le processus de création confère une aura autographique à ces tirages. Photographies d'artistes, de fous, d'arbres ou d'abattoirs, Marc Trivier aborde tous ces sujets avec un regard aussi précis qu'intense. «Dans sa cosmogonie, chaque chose, chaque être, végétal, animal ou humain, mérite le même respect. Car tous sont confrontés à la même loi d'airain : la solitude.» (Luc Desbenoit). La beauté qui émane de ses photos vient de cette nudité. Il n'y a ni retouches, ni recadrages. On retrouve dans son uvre le même format carré souligné par le carré du négatif que Trivier laisse sur ses tirages. Ce cadre piège notre regard dans des photographies où le fard de la couleur est rejeté pour un noir et blanc incisif. Toute artificialité ayant disparu nous ne faisons pas face à la mise en scène d'un sujet mais à une présence exacerbée par la lumière irradiante et singulière, témoin d'un instant de vie et non de pose. C'est cette lumière, liée au médium photographique, qui unit les séries de Marc Trivier : «Les photographies de Marc Trivier écrivent une tragédie de la lumière, celle-ci n'accueillant les êtres - hommes, arbres ou bêtes - qu'en les brûlant, avant disparition.» (Xavier-Gilles inLe Monde Libertaire). C'est aussi elle, délivrée de tous les artifices, qui donne à ses uvres l'aura qui les rend si présentes. Cette «brûlure» de la lumièrenous renvoie à un instant réel, au «ça a été» de Barthes (La Chambre Claire, 1980) : «De trente-cinq ans de pratique photographique, d'obsessions, c'est peut-être ça qui reste : un mode d'enregistrement singulier de la brûlure de la lumière, décliné d'une image à l'autre, en une succession de propositions qui se ressemblent et pourtant chacune est aussi singulière que la fraction de temps auquel elle renvoie.» (Marc Trivier). «La photographie ne dit qu'une chose : «C'était.» On ne fixe que ce qui a été. S'il y a une tragédie, elle est là.» (Marc Trivier) Warhol, Foucault, Beckett, Dubuffet ... les plus grands écrivains et artistes ont posés pour Trivier. Simultanément l'artiste s'intéressent également aux marges de la société, à ce que les hommes ne veulent pas voir. Il photographie alors les aliénés et les abattoirs qu'il place en regard des célébrités. Dès la fin des années 1980 son uvre est unanimement reconnue et il reçoit le prestigieux Young Photographer Award de ‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 56 08 08 85

EUR1,500.00 (€1,500.00 )

‎Jean COCTEAU‎

Reference : 78126

(1917)

‎Photographie originale inédite de Pablo Picasso à la Maison de Marcus Lucretius Fronto, Pompéi printemps 1917‎

‎Paris 1917 | 6.30 x 8.60 cm | une photographie‎


‎Photographie originale, représentant Pablo Picasso au printemps 1917 à la Maison de Marcus Lucretius Fronto à Pompéi, une brindille à la main, devant un mur sur lequel apparaît une fresque pompéïenne. Tirage argentique d'époque, peut-être unique, provenant des archives personnelles de Jean Cocteau puis du fonds Maurice Sachs. Exceptionnelle photographie inédite prise par Jean Cocteau lors de son séjour pompéien avec Picasso. Le 16 avril 1917, Picasso visite Pompéi en compagnie de Jean Cocteau et Léonide Massine afin de préparer le ballet Parade, première uvre qualifiée de sur-réaliste par Guillaume Apollinaire, pour la nouvelle saison des Ballets russes de Serge de Diaghilev. Ce voyage initiatique lui inspire, dès son retour, une peinture monumentale: le rideau de scène de Parade, véritable signature visuelle du ballet, marquant les débuts de la période néo-classique de Picasso, et aujourd'hui conservé au Musée national d'Art Moderne Georges Pompidou. Pierre Daix, dans sa biographie consacrée au peintre, relate le choc esthétique engendré par la découverte des fresques pompéiennes: «Giovanni Carandente, à qui l'on doit les meilleures études sur ce voyage, souligne que Picasso "fut fortement frappé par l'animation et la sensualité que le cataclysme de l'an 79 après J.-C. avait brutalement anéanties". S'il est exact, comme il l'écrivit à Gertrude Stein, qu'il dessina sur-le-champ "beaucoup de fantaisies pompéiennes qui sont un peu lestes", attiré comme il le fut par l'exaltation érotique qui se dégage de ces peintures licencieuses [...] ces souvenirs se sédimentèrent en lui pour affleurer avec force par la suite. [...] Tout ce qui avait constitué l'univers pompéien était conservé sur le site ainsi qu'au Museo Archeologico de Naples [...]. Dans sa singularité, cet univers contribua à enrichir le patrimoine culturel de Picasso de quelque chose de plus vivant, de plus frémissant que ce que ses visites de musées lui avaient donné jusqu'alors. Il aimait tout particulièrement la concision des peintures: deux ou trois ans plus tard, les impressions ressenties à Pompéi devaient se traduire par une véritable explosion créatrice, une série de tableaux qui tous portaient des traces de ces souvenirs jamais enfouis. Cette source devait rester vivante jusqu'à La Danse de 1925.» (Pierre Daix, Picasso) Unique et précoce photographie originale de Picasso, prise et tirée par son ami Jean Cocteau, dans un lieu mythique qui influencera durablement son esthétique. Provenance: archives personnelles de Jean Cocteau puis le fonds Maurice Sachs puis Max-Philippe Delatte. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 01 56 08 08 85

EUR10,000.00 (€10,000.00 )
Get it on Google Play Get it on AppStore
The item was added to your cart
You have just added :

-

There are/is 0 item(s) in your cart.
Total : €0.00
(without shipping fees)
What can I do with a user account ?

What can I do with a user account ?

  • All your searches are memorised in your history which allows you to find and redo anterior searches.
  • You may manage a list of your favourite, regular searches.
  • Your preferences (language, search parameters, etc.) are memorised.
  • You may send your search results on your e-mail address without having to fill in each time you need it.
  • Get in touch with booksellers, order books and see previous orders.
  • Publish Events related to books.

And much more that you will discover browsing Livre Rare Book !