N° 123 - Mai 1994 : Revue de 130 pages, format 285 x 220 mm, illustrée, brochée
Reference : LFA00b0a
Au sommaire : Grand Palais : les Impressionnistes font l'événement ; Miro ; Venet ; Nantes passe à l'heure italienne
Lettre de France, L'Art de Vivre à la Française
M. Olivier Auriol de Bussy
04 74 33 45 19
Vente par correspondance, lors de salons à l'extérieur ou au Château de Vallin lors de manifestations culturelles. Nous vous accueillerons notamment les 21, 22 et 23 juin 2024 (de 10 h à 18 h) à l'occasion de notre "Foire aux Livres" estivale : exposition-vente de plusieurs milliers d'ouvrages, organisée au Château de Vallin, demeure historique des XIVe et XVIIIe siècles, située à Saint Victor de Cessieu, proche de La Tour du Pin, en Isère. A cette occasion, également une grande braderie de livres à 1 €
A Paris, chez Bernard, 1798. In-8 de (8)-316 pp., 2 pp. du catalogue Bernard (Notice des principaux livres d'assortiment qui se trouvent chez Bernard), demi-veau blond à petits coins de vélin, dos lisse orné, pièce de titre en maroquin rouge (reliure de l'époque).
Première édition française traduite par François-René de Pommereul. « Milizia fait éloge du rôle fonctionnel des édifices. Pour lui, l’architecture est née du besoin de l’homme de se protéger contre les intempéries ; aussi blâme-t-il vigoureusement l’ornementation gratuite dont les architectes, principalement ceux du baroque et du rococo, ont paré leurs monuments, détournant ainsi leur art de sa fonction primordiale. Désormais, il s’agit de revenir à la pureté des formes classiques de l’architecture gréco-romaine, mais dans un esprit critique, sous l’égide de la philosophie et de la raison. Milizia entend relever les « erreurs » des architectes les plus célèbres. Les théoriciens dont il s’inspire (Vitruve, Alberti, Palladio, Serlio, Scamozzi) n’échappent pas à la rigueur de son jugement critique. Simplicité, harmonie, unité dans la variété, juste proportion, tels sont les critères qui déterminent la beauté de l’édific » (Encyclopédie Universelle). A la suite : Des Institutions propres à encourager et perfectionner les beaux-arts en France ; Etat des objets d'arts envoyés aux divers musées français, et conquis par les armées de la République pendant la guerre de la liberté. (83 pp.). Par le général de Pommereul. Si François-René de Pommereul a traduit plusieurs essais sur l'Art du critique italien Milizia, il a aussi exprimé ses propres conceptions ; adepte du néo-classicisme, il a préconisé l'édification de monuments publics pour familiariser la société avec l'art et il a voulu encourager la créativité des artistes principalement des graveurs : ses thèses sont exposées dans la seconde partie de l'ouvrage De l'art de voir dans les Beaux-Arts : Des institutions propres à encourager et perfectionner les Beaux-Arts en France. Pommereul a milité pour la création d'un musée public de gravure où seraient réunies les estampes des collections nationales et conservés les cuivres des graveurs ; il a voulu faciliter le commerce des épreuves de façon à soutenir la création des artistes, il est ainsi à l'origine de la Chalcographie du Louvre ou Collection des estampes (1799).
PERRIER Charles - L'Artiste, Journal de la Littérature et des Beaux-Arts.1855
Reference : 27768
(1855)
1855 L'Artiste, Journal de la Littérature et des Beaux-Arts.1855- du N°2-13 mai 1855 au 23 septembre 1855,IN4 brochés, en feuilles sous chemises jaunes, très rare,
PERRIER Charles (1835-1860).- L'EXPOSITION UNIVERSELLE DES BEAUX ARTS 1855, reedité dans PERRIER Charles- ÉTUDES SUR LES BEAUX-ARTS EN FRANCE ET A L’ÉTRANGER hachette 1863 : Il appartint dès lors à ce groupe de brillants écrivains qui prenaient part à la rédaction de l'Artiste et exerçaient une grande influence sur le mouvement des jeunes esprits. Lorsque s’ouvrit en 1855 l’Exposition universelle des beaux-arts, c’est à lui que fut confiée la tâche de juger toutes les écoles contemporaines dont les principales productions se trouvaient réunies pour la première fois dans une seule enceinte. Dans les quelques lignes qu’il écrivit en tête de cette longue et périlleuse revue de l’art contemporain, il a lui-même indiqué avec une grande modestie qu’il comprenait mieux que personne la responsabilité qu’il acceptait. Quelques-uns des articles qu’il composa à cette occasion forment encore une des plus solides parties des œuvres choisies que nous publions.Né à Châlons-sur-Marne, Charles Perrier (1835-1860) publia dans le journal "l'Artiste" puis collabora à la "Revue Contemporaine" ; ses commentaires sur l'Exposition universelle de 1855 et sur l'Exposition de 1857 furent remarqués. dans la présente étude, il évoque notamment les artistes suivants : Ingres, Delarcoix, Paul Delaroche, Ary Scheffer, Horace Vernet, Decamps, Bouguereau, Paul Baudry, Courbet, Biard, Gustave Doré, Yvon, Clésinger, Cornelius, Overbeck, Schnorr de Carolsfeld, Kaulbach, Landseer, Mulready, Leslie, Webster et les Préraphaëlites .
Paris, Bernard, 1798. In-8 de (8)-316 pp., 2 pp. (catalogue Bernard), veau marbré, dos lisse orné, pièce de titre en maroquin rouge, premier plat de couverture de papier dominoté conservé (reliure de l'époque).
Première édition française des essais sur l'art du critique italien et théoricien de l'architecture Francesco Milizia (1725-1798) traduits et commentés dans une seconde partie par François-René de Pommereul où celui-ci expose ses thèses sous le titre Des institutions propres à encourager et perfectionner les Beaux-Arts en France, suivi de État des objets d'arts envoyés aux divers musées français, et conquis par les armées de la République pendant la guerre de la liberté.« Milizia fait éloge du rôle fonctionnel des édifices. Pour lui, l’architecture est née du besoin de l’homme de se protéger contre les intempéries ; aussi blâme-t-il vigoureusement l’ornementation gratuite dont les architectes, principalement ceux du baroque et du rococo, ont paré leurs monuments, détournant ainsi leur art de sa fonction primordiale. Désormais, il s’agit de revenir à la pureté des formes classiques de l’architecture gréco-romaine, mais dans un esprit critique, sous l’égide de la philosophie et de la raison. Milizia entend relever les « erreurs » des architectes les plus célèbres. Les théoriciens dont il s’inspire (Vitruve, Alberti, Palladio, Serlio, Scamozzi) n’échappent pas à la rigueur de son jugement critique. Simplicité, harmonie, unité dans la variété, juste proportion, tels sont les critères qui déterminent la beauté de l’édifice » (Encyclopédie Universelle). Rare exemplaire relié à l'époque avec le très beau premier plat conservé de papier dominoté fabriqué par Letourmi à Orléans « LETOURMI - N°177 ». Quelques corrections et biffures à l'encre du temps (pages 15, 74, 211, 251) signalent probablement la main du traducteur et essayiste François René Jean de Pommereul (1745-1823) général de division de la Révolution française qui devint préfet d'Indre-et-Loire sous le Premier Empire. Adepte du néo-classicisme, il préconisa l'édification de monuments publics pour familiariser la société avec l'art et voulut encourager la créativité des artistes principalement des graveurs. Pommereul a milité pour la création d'un musée public de gravure où seraient réunies les estampes des collections nationales et conservés les cuivres des graveurs ; il a voulu faciliter le commerce des épreuves de façon à soutenir la création des artistes, il est ainsi à l'origine de la Chalcographie du Louvre ou Collection des estampes (1799). Grand bibliophile, sa bibliothèque est en partie conservée à la médiathèque de Fougères, sa ville natale.
2005 Musée des Beaux-Arts de Lyon. 2005. 1 vol in-4, broché, couverture illustrée. 147 pages. Illustrations en couleurs
Bon état
Hachette. 1925. In-Folio. Relié. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos frotté, Rousseurs. Tome 1 : 332 pages, tome 2 : 334 pages, frontispices, nombreuses illustrations noir et blanc dans le texte.. . . . Classification Dewey : 703-Dictionnaire, encyclopédie des beaux-arts et des arts décoratifs
Encyclopédie des Beaux-Arts, architecture, sculpture, peinture, arts décoratifs par Louis Hourticq, Professeur à l'Ecole des Beaux-Arts. Cet ouvrage comprend 1° un dictionnaire des Beaux-Arts; 2° une histoire générale des Arts; 3° un musée des Beaux-Arts; il est illustré de 130 planches hors texte et de 1600 gravures dans le texte; Tome 1 de A à K; tome 2 de L à Z. Classification Dewey : 703-Dictionnaire, encyclopédie des beaux-arts et des arts décoratifs