Un ouvrage de 112 pages, format 110 x 180 mm, broché, publié en 2023, Gallimard, collection "Folio", bon état
Reference : LFA-126745766
Lettre de France, L'Art de Vivre à la Française
M. Olivier Auriol de Bussy
04 74 33 45 19
Vente par correspondance, lors de salons à l'extérieur ou au Château de Vallin lors de manifestations culturelles. Nous vous accueillerons notamment les 12, 13 et 14 décembre 2025 (de 13 h 30 à 17 h 30 h) à l'occasion de "Livres au Château", exposition-vente de plusieurs milliers d'ouvrages, organisée au Château de Vallin, demeure historique des XIVe et XVIIIe siècles, située à Saint Victor de Cessieu, proche de La Tour du Pin, en Isère. (entrée libre).
Bayard 2015 2015. Maliki - Tome 1 : L'autre fille dans le miroir / Bayard 2015
Bon état
Ramsay 2005 11x2 4x16 4cm. 2005. Broché.
Bon état
[Louis Conard] - BALZAC, Honoré de ; (HUARD Charles ; BOUTERON, Marcel ; LONGNON, Henri)
Reference : 57645
(1912)
Un des 50 exemplaires sur papier ancien du Japon numérotés de 51 à 100 et paraphés par l'éditeur (n° 95), auquel on a joint dans chaque volume la suite des bois tirée sur papier de chine, texte revisé et annoté par Marcel Bouteron et Henri Longnon, gravés sur bois par Pierre Gusman, 40 vol. in-8 carré reliure de l'époque pleine basane marron, dos 4 nerfs dorés, têtes dorées, couvertures et dos conservés, Louis Conard, Paris, 1912-1940. Titre complet : Oeuvres complètes de Honoré de Balzac (40 Tomes : Complet) [ Exemplaire sur papier du Japon avec suite sur Chine ] [ Contient : ] La Comédie Humaine (33 Volumes) Etudes de Moeurs, Scènes de la Vie Privée. I : La Maison du chat-qui-pelote. Le Bal de Sceaux. Mémoires de deux jeunes mariés La Bours ; II : Modeste Mignon. Un début dans la Vie ; III : Albert Savarus. La Vendetta. Une Double Famille. La Paix du Ménage. Madame Firmiani. Etude de Femme ; IV : La fausse maîtresse. Une Fille d'Eve. Le message. La Grenadière. La femme abandonnée. Honorine ; V : Béatrix. Gobseck ; VI : La femme de trente ans. Le père Goriot ; VII : Le colonel Chabert. La messe de l'athée. L'interdiction. Le contrat de mariage. Autre Etude de femme ; Etudes de moeurs. Scènes de la Vie de Province VIII : Ursule Mirouët. Eugénie Grandet ; IX : Les Célibataires. Pierrette. le Curé de Tours. La Rabouilleuse ; X : L'Illustre Gaudissart. La muse du département. La Vieille Fille ; XI : Le Cabinet des Antiques. Illusions perdues : Les Deux poëtes ; XII : Illusions perdues : Un grand homme de Province à Paris. Les Souffrances de l'Inventeur ; XIII : Scènes de la Vie Parisienne : Histoire des Treize. Ferragus. La Duchesse de Langeais. La fille aux yeux d'or ; XIV : Grandeur et décadence de César Birotteau. La maison Nuncingen ; XV : Splendeurs et misères des courtisanes I ; XVI : Splendeurs et misères des courtisanes II Les secrets de la Princesse de Cardigan. Facino Cane. Sarrasine. Pierre Grassou ; XVII : La Cousine Bette ; XVIII : Le Cousin Pons. Un prince de la Bohême. Un homme d'affaires ; XIX : Gaudissart II. Les comédiens sans le savoir ; XX : Les petits bourgeois. L'envers de l'histoire contemporaine ; XXI : Scènes de la vie politique. Un Episode sous la Terreur. Une ténébreuse affaire. Le député d'Arcis. Z. Marcas ; XXII : Scènes de la Vie Militaire : Les Chouans. Une Passions dans le Désert ; XXIII : Scènes de la Vie de Campagne : Les Paysans ; XXIV : Le médecin de campagne ; XXV : Le curé de village ; XXVI : Le Lys dans la vallée ; XXVII : Etudes philosophiques : La peau de chagrin. Jésus-Christ en Flandre. Melmoth réconcilié. Massimila Doni ; XXVIII : Le chef-d'oeuvre inconnu. Gambara. La recherche de l'absolu. L'enfant maudit ; XXIX : Adieu. Les Marana. Le réquisitionnaire. El Verdugo. Un drame au bord de la mer. Maître Cornélius. L'auberge rouge ; XXX : Sur Catherine de Medicis. L'élixir de longue vie ; XXXI : Les proscrits. Louis Lambert. Séraphita ; XXXII : Etudes analytiques : Physiologie du mariage ou méditation de philosophie éclectique sur le bonheur et le malheur conjugal ; XXXIII : Petites misères de la vie conjugale ; XXXIV : Théâtre I : Vautrin. Les ressources de Quinola. Paméla Giraud ; XXXV : Théâtre II : La Marâtre. Le faiseur. L'Ecole des Ménages ; XXXVI : Contes drôlatiques I : Premier et deuxième dixain ; XXXVII : Contes drôlatiques II : Troisième dixain. Fragments inédits ; XXXVIII : Oeuvres diverses I : 1824-1830 ; XXXIX : Oeuvres diverses II : 1830-1835 ; Oeuvres diverses III : 1836-1848
Très rare exemplaire parfaitement complet des 40 volumes du tirage sur papier ancien du japon, bien complet de la suite tirée sur papier de chine. Quelques suites sur Chine avaient été vendues isolément (les autres ayant été jointes aux 50 premiers exemplaires sur Japon). Bon exemplaire (rares rouss., qq. plats lég. frottés et très minimes traces d'usage, mouill. discrètes aux premiers ff. du tome 37 et en queue des ff. de la première partie du tome 34 et très petites en tête du tome 25, un feuillet mal coupé dans le tome 22, très bon état par ailleurs) de cette impressionnante collection imprimée sur un beau papier du Japon et enrichie dans chacun des volumes de la suite sur Chine.
J'ai lu 2002 575 pages 11 2cm x 18 0cm x 3 0cm. 2002. Broché. 575 pages. Peter et Emma tous deux divorcés se fréquentent depuis presque un an lorsqu'ils s'installent ensemble. Après quelques difficultés pour refonder une cellule familiale stable la situation peu à peu s'améliore. Seul point noir au tableau : Amanda la fille de Peter Meurtrie par le divorce de ses parents et livrée à elle-même Amanda souffre en silence. Les années passent mais le temps ne suffit pas à atténuer sa douleur. Au contraire devenue adolescente la jeune fille semble de plus en plus désorientée et se dévergonde rapidement. Les limites qui lui ont été jadis inculquées ne suffiront pas à désamorcer les tensions générées par la vie avec sa nouvelle famille.Ce roman aborde avec intelligence et subtilité le délicat problème du divorce et les troubles d'identification qui peuvent en découler ainsi que la difficulté d'aimer l'enfant de l'autre au sein des familles recomposées
french édition - l'article présente quelques marques plis de lecture et/ou de stockage mais du reste du reste en bon état. Envoi rapide et soigné dans enveloppe à bulles depuis France
BONNARD (Abel) : L’Enfance. Paris, Le Divan, 1927. Plaquette petit in-8 sensu stricto, 72pp. [dont faux-titre et titre]-(1) f. [blanc / achevé d’imprimer], brochée, couverture imprimée ocre (de très bonne apparence, malgré une petite trace d’enfoncement en bas du dos, par contre, à l’intérieur, invasion de taches brunes – déjà - : papier de très mauvaise qualité). ÉDITION ORIGINALE, dans la collection « Les Soirées du Divan », n° 25, tirée à 925 exemplaires numérotés (celui-ci un des huit cents sur « bel alfa bouffant » (sic). D’entrée, le propos se veut rassurant : « J’aime plus l’enfance que les enfants » (p.7), mais, l’éducation doit être sévère : « (elle) n’est que le dernier cas du dressage » (p.59). Par ailleurs, quelle condescendance, quelle suffisance envers les plus démunis : « Un petit pauvre regarde avec une sorte d’étonnement et d’indépendance la misère de ses parents, qui n’est pas encore la sienne [sic !]» (p.44). Quel détachement du petit malheureux sur son sort : il est vrai que la religion est là, qui lui promet un bel avenir post-mortem. Surtout, pas de révolte, car, « rien de plus sinistre qu’un polisson gouailleur (…), c’est pourquoi le type de Gavroche est si repoussant » (p.41). Rien que çà. Autobiographie ? : « Un petit garçon de quatre ans jouait souvent avec une jeune fille, qui le maniait comme une poupée (…). Moi aussi, dit-il, quand je serai une jeune fille comme toi. – Mais, mon chéri, répondit-elle, tu ne seras jamais une jeune fille. Il faillit pleurer » (p.45). Dépit. Il faudra choisir, drame freudien / cornélien, attirance/répulsion : « Les enfants excellent à manier les grandes personnes (…) Dans ces manèges, l’adresse des deux sexes n’est pas égale (…) [Les garçons] sont plus simples, plus rudes (…) Les petites filles sont des femmes dès leur naissance, et les premières armes de ces innocentes sont celles des courtisanes » (p.63). Malgré tout, le Bonnard poète jaillit in fine : « Les enfants sont l’illusion de l’espèce, comme le printemps est l’illusion de l’année » (p.70)
Reference : G425
FAKE HISTORY Cette histoire n’est qu’un conte, une histoire à dormir debout. Les historiens se sont fourvoyés, volontairement ou non : une ascendance noble, fut-elle impériale et illégitime, flatte l’orgueil du bourgeois. Seulement voilà : comme la terre, l’État Civil ne ment pas, …au moins sur les dates. On trouvera dans les Archives de la Corse du Sud, l’acte de mariage de Pauline Benielli et Ernest Bonnard, dans celles de la Vienne, l’acte de naissance d’Abel : le premier en date du 10/02/1880 (note 13), le second, en date du 19/12//1883 (note 14). Que la gestation fut longue ! Et on comprend mieux l’attachement d’Abel à sa maman ! Elle mourra dans la villégiature pétainiste de Sigmaringen en 1945. Mais il a encore mieux : Abel n’était pas fils unique, avant lui étaient nés un frère et une sœur, décédés tous deux en bas âge (note 15). =================
Note 3- Abel Bonnard : Pour l’élite intellectuelle, dans la Revue hebdomadaire, t.7, 07/07/1936, p.248). Note 4- cité d’après B. Pénicaud et Vincent Vidal-Naquet : Les révolutions de l’Amour (etc.). Note 5- aujourd’hui remis à la mode par nos chères politiques, NKM à propos de Patrick Buisson, la Marine au sujet du beau Florian… [en 2017…] Note 6- cf. Pierre Dac, qui à Radio Londres, fustigeait le ministre : dans son parti, « l’envers vaut l’endroit ») Note 7- hexagonegay.com précise qu’à l’époque, « les lieux de rencontre homos parisiens (cinémas et vespasiennes) connaiss[ai]ent bien sa silhouette » ; en revanche, il déplore que « Je Suis Partout » ni la presse d’extrême- droite, si prompts à dénoncer l’homosexualité (…) n’ont fait état de l’homosexualité de Bonnard ». Note 8- pour present.fr/tag/abel-bonnard/ : « La belle Bonnard… Gestapette… Yves Morel le sait : immanquablement, ce sont les plaisanteries qui fuseront de la bouche des sots si vous jetez le nom d’A.B. dans une conversation (même universitaire). Et pourtant, voilà une personnalité plus complexe que sa mauvaise renommée : on ne lui connaît que des liaisons féminines ». Sans rire ! Note 9- Buisson (Patrick) : 1940-1945. Années érotiques (Paris, Albin Michel, 2009.2 volumes. « Abel Bonnard, le scandaleux » (t. I, p.263 et suiv.) nous apprend que « son vrai père est un aristocrate italien, J.N. Primoli, descendant de Lucien Bonaparte, qui séduisit sa mère, Marie-Paule [sic !] Benielli, peu de temps avant son mariage [re-sic !!]». Note 10- Descendia de José Bonaparte, Rey de Espana y de las Indias, y sus entronques i talianos y franceses (Anales de la Real Academia Matritense de Heràldica y Genealogia, vol.XII, 2009, pp. 143-327). Note 11- Pasquali, Costanza : Proust, Primoli. La Moda. Otto lettere inedite di Proust e tre saggi. Roma, Ed. di Storia et litteratura, 1961, p.32. Note 12- Yves Morel ( Abel Bonnard. Coll. Qui suis-je ? Editions Pardès, 2017) : « Ne pouvant épouser le père de son enfant, Pauline Benielli se résolut à un mariage de raison avec Ernest Bonnard (…) qui reconnut Abel et lui donna son nom », qui complète bien la formule de P. Buisson (note 9). Note 13- Archives Départementales de Corse du Sud Ajaccio, Mariages, 1880 (f° 55-56/159) Note 14- Archives Départementales de la Vienne, Naissances, 1883 (9 E, p. 251), avec cette note marginale manuscrite : « Décédé à Madrid (Espagne) le 31 mars 1968 ». Confirmation de sa naissance, post mortem. Note 15- Abel- Jean- Désiré (A) aux prénoms identiques et Fanny-Françoise-Justine (B) (A) Melun, avril 1881- Poitiers, 26/06/1883. A.D. de la Vienne , Décès 1883, n°490, f° 147/278 (B) AD de la Vienne, Poitiers, 08/07/1885 [Naissances 1885, n°438, f°121/250]- 12/05/1886 [Décès 1886, n°370, f° 102/259. « Nom de la mère : Pauline Bennieni »] !! Aujourd’hui, (08/2022), que l’on consulte Wikipédia, ou des sites dits sérieux ( ?) de généalogie (geneanet, geneastar), la fausse généalogie prospère. Une lueur d’espoir : la généalogie d’Ernest Bonnard, le père « nourricier »… Patatras ! Si le frère aîné Abel (1881-1883) est bien mentionné, on trouve immédiatement après un « demi-frère Abel, etc.). Errare humanum est, perseverare diabolicum.