Un ouvrage de 96 pages, format 205 x 240 mm, illustré de 187 photographies, broché couverture couleurs, publié en 1986, Editorial Escudo de Oro, bon état
Reference : LFA-126728924
Sites et monuments du Maroc
Lettre de France, L'Art de Vivre à la Française
M. Olivier Auriol de Bussy
04 74 33 45 19
Vente par correspondance, lors de salons à l'extérieur ou au Château de Vallin lors de manifestations culturelles. Nous vous accueillerons notamment les 12, 13 et 14 décembre 2025 (de 13 h 30 à 17 h 30 h) à l'occasion de "Livres au Château", exposition-vente de plusieurs milliers d'ouvrages, organisée au Château de Vallin, demeure historique des XIVe et XVIIIe siècles, située à Saint Victor de Cessieu, proche de La Tour du Pin, en Isère. (entrée libre).
Imprimeries réunies Casablanca 1947 826 pages in-8. 1947. broché. 826 pages. Fort In-8 broché (238x155 mm) 826 pages. Mémoires de la société des sciences naturelles du maroc - N° XLVII - Empire chérifien archives scientifiques du protectorat français. Illustrations en noir dans et hors-texte ainsi que deux tableaux dépliants. A noter la couverture quasiment absente et en mauvais état. A noter également le 1er tableau détaché quelques coupures et le papier jauni sinon intérieur complet. Poids : 1040 gr
Rabat Editions Africaines Perceval 1950 59 pages in-8. 1950. cartonné. 59 pages. Grand In-8 cartonné (269x216 mm) 59 pages. La production et le transport de l'énergie électrique au Maroc.Illustrations en noir avec des cartes en couleurs.Cartonnage en état moyen frotté et sali avec un manque en queue de dos. Intérieur avec des salissures éparses laissant une lecture très satisfaisante. Poids : 370 gr
Imprimerie rapide G. Mercié & Cie 1918 43 pages Casablanca. in-8. 1918. agrafé. 43 pages. Résidence générale de la république française au Maroc - Direction de l'agriculture du commerce et de la colonisation (Bulletin n° 14)
Etat correct avec la couverture un peu salie et le papier un peu jauni
LA REVUE HORTICOLE. 1954. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 24 pages illustrées de gravures dans le texte.. . . . Classification Dewey : 635-Horticulture
SOMMAIRE : Le Maroc et l'horticulture L'horticulture au Maroc et le service de l'horticulture du Maroc, par G. CUENOT La recherche horticole au Maroc, par J.-C. PRALORAN.Le rôle de l'inspecteur de l'horticulture au Maroc,par P. JACQUY ..L'arboriculture fruitière au Maroc, par P. NOVEL . Espaces verts urbains au Maroc, par J. CHALLET .Les agrumes au Maroc, par S. GARANGEAT ..L'oléiculture au Maroc, par H. ELANT ..Le maraîchage au Maroc, par D. RICADA Un ¡ardin paradisiaque, par R. CAREL Classification Dewey : 635-Horticulture
Hachette, 1955, in-8°, 316 pp, 34 photos sur 16 pl. hors texte, biblio, vocabulaire, reliure demi-basane vermillon, dos à 5 larges nerfs, titres et étoile dorés, couv. illustrées conservées (rel. de l'époque), dos lég. frotté, bon état
Sous forme de chronologie, le livre retrace la vie du Maroc sur quarante années (du début du Protectorat à l'Indépendance) et met en relief les travaux réalisés et les progrès accomplis... Table : Ce Maroc de 1912 ; L'aube de l'ère nouvelle ; Ce Maroc de jadis et de naguère ; L'œuvre de pacification 1912-1936 ; Ce Maroc de 1955 ; Appendices : les grandes directions de la Résidence générale, les finances générales... — Voici un bon livre et un livre de bonne foi. Nul ne s’en étonnera en notant le nom de l’auteur, grand écrivain, voyageur impénitent et parcoureur passionné des roules, pistes et sentiers marocains. Or, dans son « avertissement », il présente magistralement son livre. Donnons-lui la parole, car au demeurant, nous acquiesçons volontiers à ses propos. « Voici un livre qui souhaiterait être autre chose qu’un ouvrage de plus sur le Maroc. Il a été écrit sans passion, en toute bonne foi, alors que, ici et là-bas, la mauvaise foi et les passions semblent trop souvent maîtresses de l’heure. Il ne constitue ni un plaidoyer, ni un réquisitoire ; il s’efforce simplement de rappeler un certain nombre de faits indiscutables et d’affirmer quelques vérités trop négligées dont l’Histoire du Maroc démontre qu’ils forment des sortes de « constantes » dans la vie du Maghreb. Ces faits et ces vérités, il est indispensable qu’en France, comme au Maroc, on ne les perde pas de vue, si l’on veut comprendre les causes et les origines de la nouvelle crise que traverse « l’Empire fortuné » ! Si l’on ne veut point s’en exagérer la gravité. Si l’on veut, surtout, la résoudre. Malheureusement, ici comme là-bas, trop rares sont ceux qui se sont souciés d’étudier le problème marocain à la lueur des expériences et des enseignements du passé. Or, à celui qui se soucie d’ouvrir les dossiers de l’histoire marocaine, s’imposent, avec force, et les vérités et les constantes dont j’ai parlé tout à l’heure. Terre de division, de révolte et d’anarchie, le Maroc n’a été, à travers les âges – chaque fois qu’il a été abandonné à lui-même – qu’un vaste foyer de perpétuel désordre et d’insurrection chronique avec de brutales explosions de cruauté et de farouches déchaînements de xénophobie. De temps immémorial, les peuples du Maroc se sont battus, sans trêve et sans pitié, contre leurs souverains pour qu’ils ne puissent pas réaliser l’unité du Maghreb, ni lui assurer – dans l’ordre et l’autorité – la paix indispensable à tout pays pour grandir et prospérer. Cette paix, cet ordre et cette autorité, seul le Protectorat français a pu enfin les apporter au Maroc. Oui... mais seulement après vingt-cinq années de luttes et de combats acharnés, et après y avoir sacrifié des dizaines de milliers de jeunes Français parmi les meilleurs de la race. Grâce au Protectorat – et pour la première fois dans l’histoire – les trois Maroc et leurs peuples ont pu enfin être soudés en un bloc solide et ont trouvé leur unité sous l’autorité d’un sultan unique et d’une dynastie stable, faisant ainsi de leur pays, un État, une Nation. Par suite de trente années de paix, de travail en commun et de prospérité – sous l’égide de la France et malgré des erreurs et des faiblesses – ces mêmes peuples marocains, enfin unis pour un commun destin, sont devenus le peuple marocain, acquérant, du même coup, le sens d’un nationalisme qu’il avait toujours ignoré ou repoussé et que nous lui avons inculqué – et qu’il retourne contre nous aujourd’hui. » (Revue Défense Nationale, 1957)