Un ouvrage de 191 pages, format 135 x 160 mm, illustré, broché, publié en 1982, Editions Seghers, collection "Poètes d'Aujourd'Hui", bon état
Reference : LFA-126726421
Lettre de France, L'Art de Vivre à la Française
M. Olivier Auriol de Bussy
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Paris, Poulet-Malassis, 1862. In-8 de [2]-XII-[2]-350-[2]p. demi-percaline chocolat à la Bradel, dos lisse orné d'un fleuron doré, pièce de titre en maroquin prune, premier plat de couverture conservé, coins à peine frottés.
Édition originale du premier livre de Léon Cladel, et de l'importante préface de douze pages de Charles Baudelaire. Selon le témoignage de l'auteur, rapporté par sa fille Judith Cladel, Baudelaire aida à mettre en forme le roman, qui manquait de style et de syntaxe: “Huit mois durant, il daigna me pétrir de ses mains savantes et me rendre ductile et modéré, mois si dur de pâte et si violemment excessif... ” (Maître & Disciple, Paris, 1951, cité par G. Oberlé). L'éditeur: "Les Martyrs ridicules ont été entièrement remaniés et refaits sur les indications de Baudelaire. Je doute même que la collaboration n'ait pas été plus loin". (Poulet-Malassis; Bulletin du Bibliophile, avril 1923). De là à considérer ce texte comme le seul roman de Baudelaire il n'y a qu'un pas. On joint à l'exemplaire un poème manuscrit autographe de Léon Cladel dédicacé "A mon ami Alphonse Daudet" intitulé Palinodia, signé et daté du 5 janvier 1868. Il semble avoir été publié dans La Plume en 1892. Sans le faux-titre. Le tirage en a été limité à 500 exemplaires et un seul exemplaire sur Wathman, pour Baudelaire. Vicaire II, 402.
1896 Paris, Bibliothèque artistique et littéraire, 1896. In-4, demi-maroquin noir à coins, dos à nerfs, tête dorée, couverture et dos conservés (Duhayon).Édition originale de cet ouvrage collectif établi sous la direction de Stéphane Mallarmé. Illustré d'un frontispice de Félicien Rops, du fac-similé d'une page dessinée par Baudelaire, il comprend une importante étude des Fleurs du Mal par A. Ourousof, une trentaine de poèmes en hommage à Baudelaire, en vers signés Mallarmé, Coppée, Hérold, Louys, Régnier, Rodenbach, Richepin..., en prose par Claretie, Jacques des Gachons, Nadar... ; suivent des œuvres posthumes inédites, et des notes pour une iconographie. La justification donne la liste détaillée des souscripteurs.Tirage unique à 255 exemplaire, celui-ci est un des 200 sur vélin, justifié à la plume n° 191, souscrit par M. Vidal Naquet, Marseille.
Paris, Alphonse Lemerre, 1869. In-8 de [4]-109-[7] pages, demi-maroquin lie-de-vin à coins, dos à nerfs, tranches dorées, couvertures et dos conservés. Reliure signée Semet & Plumelle.
Illustré de 5 portraits de Baudelaire par Édouard Manet (2), Emile Deroy, Gustave Courbet et Charles Baudelaire lui-même. C'est Manet qui grava lui-même les deux portraits qu'il réalisa en 1862 et 1865 et Bracquemond grava les trois autres. Édition originale. Très bel exemplaire sur vergé de Hollande seul grand papier, très bien établi. C'est la première étude biographique de l'illustre poète avec une belle iconographie. Un beau livre, simplement. Talvart I-106; Vicaire I-129; Carteret, Modernes, V-25.
Bruxelles, chez l'Éditeur Henry Kistemaeckers, 186. In-12 broché de [4]-321-[3] pages.
Seconde édition, imprimée sur papier bleuté, avec un avis de Léon Cladel en préambule qui semble désapprouver cette publication, ce "volume, tombé dans le domaine public, reparaît à présent, bien malgré nous. […] et nous voici l'obligé de qui nous désoblige en tirant ce bouquin de l'ombre où nous eussions désiré qu'il restât enseveli."Selon le témoignage de l'auteur, rapporté par sa fille Judith Cladel, Baudelaire aida à mettre en forme le roman, qui manquait de style et de syntaxe: “Huit mois durant, il daigna me pétrir de ses mains savantes et me rendre ductile et modéré, mois si dur de pâte et si violemment excessif... ” (Maître & Disciple, Paris, 1951, cité par G. Oberlé). L'éditeur: "Les Martyrs ridicules ont été entièrement remaniés et refaits sur les indications de Baudelaire. Je doute même que la collaboration n'ait pas été plus loin". (Poulet-Malassis; Bulletin du Bibliophile, avril 1923). Un poème intitulé "Mon Ane", extrait d'une ancienne revue, est collé sur la page de titre, avec l'inexorable marque due au papier de piètre qualité. Mais le poème est sympa, et il n'est pas inutile de préciser que l'auteur avait une passion pour les ânes, bardots, et autres bourricots.
Paris, Gallimard, coll. Albums de la Pléiade, 1974. In-12 de 315-[5] pages, pleine peau dorée à l'or fin, jaquette illustrée, rhodoïd, étui de carton gris.
416 illustrations in-texte en noir. Edition originale hors-commerce de ce 13e volume de la collection. L'un des plats de l'étui neutre est un peu insolé, pour le reste exemplaire en très belle condition.