Un ouvrage de 258 pages, format 125 x 200 mm, broché sous jaquette couleurs, publié en 2013, bon état
Reference : LFA-126725156
Roman
Lettre de France, L'Art de Vivre à la Française
M. Olivier Auriol de Bussy
04 74 33 45 19
Vente par correspondance, lors de salons à l'extérieur ou au Château de Vallin lors de manifestations culturelles. Nous vous accueillerons notamment les 20, 21 et 22 juin 2025 (de 10 h à 18 h) à l'occasion de notre grande Foire aux Livres estivale, exposition-vente de plusieurs milliers d'ouvrages, organisée au Château de Vallin, demeure historique des XIVe et XVIIIe siècles, située à Saint Victor de Cessieu, proche de La Tour du Pin, en Isère. (entrée libre). Sans oublier notre braderie de plusieurs milliers de livres à 1 € sous chapiteaux !
1957 Paris, S.P.E.I., 1957.,In-4,reliure plein chagrin sous étui,dos à faux nerfs,leg.frotté,tete dorée,couverture illustrée en couleurs, (4) f., 208 p., 25 p. de publicités, (1) f. volant d'errata, figures et plans in texte, planches hors texte. Exemplaire numeroté 596/700,bon état.Réalisé par le médecin-lieutenant-colonel G. Belaubre et J.-G. Tridon, avec la collaboration du médecin-colonel Hassenforder et E. Vialard. Préface du médecin-général-inspecteur Pesme. Les différents chapitres sont écrits par plusieurs médecins militaires. Très nombreuses illustrations et reproductions in et hors formant une source iconographique de référence.
Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
Lithographie - Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 7, 6 février 1834 LA CARICATURE (JOURNAL)/(N°170)(Planche n°358-359) - Œuvre : Hauteur: 35.5cmx Largeur: 53cm - Image : Hauteur: 29cm x Largeur: 47.5cm - Titre en bas au centre : « Le père si tendre avait promis (bis) // De fair’ égorger nos amis (bis) // Mais son coup a manqué // Grâce à nos bons jurés. // Dansons la Carmagnole, // Vive le son, vive le son // Dansons la Carmagnole // Vive le son du Canon. » ; indications : en ht à gche : « La caricature (Journal) N°170 », en ht à dte : « Pl. 358 et 359. »Inscription - Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « Litho. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à dte, signature : « Benjamin » [Benjamin Roubaud, dessinateur]Inscription - Sur les bâtiments à l'arrière-plan : « COUR D’ASSISES » et « PALAIS DE JUSTICE ». Un des patriotes tient un mât dont le sommet est couronné par un bonnet phrygien, et auquel est accrochée une pancarte portant la mention « Declaration [déclaration] // DU // jury // non // ils ne sont // pas coupables ». Le surnom emblématique de ce procès (« conspiration // de la poele a [poële à] frire ») est inscrit sur une feuille à terre, que les patriotes ne tarderont certainement pas à piétiner. Sur les affiches collées sur le mur à gche : « L’ENRAGE », « Un scandale », « LE [ ?] », « FAUSSAIRE », « scandale », et d’autres titres et inscriptions, illisibles.La foule, composee d’ouvriers, de gardes nationaux, d’etudiants, de journa- listes, danse la farandole autour du Palais de Justice. Philippon bat la mesure devant le Charivari ; a gauche, Persil s’enfuit mais on a attache une poele a frire a la queue de sa robe.
iconographie:Célébration de l’acquittement des suspects dans la conspiration dite de la poële à frire, et de manière générale, expression de joie face aux diverses relaxes prononcées par la justice dans des affaires de conspiration montées de toutes pièces, d’après la presse d’opposition, par le gouvernement. La scène de la pl. prend place devant le palais de justice, alors que vient d’être rendu le verdict de l’affaire dite de la poële à frire. A gche, deux patriotes jettent par la fenêtre les pièces à conviction, déversées du grand sac du « COMPLOT » : s’y trouvent un fusil, une bouteille, une feuille (sur laquelle l’inscription est illisible), divers ustensiles, un parapluie… Sous la fenêtre, Persil s’enfuit à toutes jambes, en rasant les murs. Mais il n’est pas assez rapide puisqu’un homme est occupé à lui faire une farce en accrochant une poële au bas de sa robe de juge. Il tient sous le bras l’ « acte [d’] // accusation ». C’est la farandole formée par les patriotes en train de fêter la fin heureuse du procès que Persil fuit. Les parties dte et médiane de la composition sont occupées par la représentation de la ronde d’hommes se tenant la main et chantant la chanson formant le titre de la pl. Narguant Persil, au premier plan à gche se trouvent la figure de "La Caricature" (fou portant un bonnet à plumes et grelots et un vêtement à grelots) dansant au son du tintamarre joué par la figure du "Charivari" avec des ustensiles de cuisine. Le titre est teinté d’une note républicaine très prononcée, puisqu’il reprend les premières paroles du chant révolutionnaire La Carmagnole. Les paroles du premier couplet (qui sont, dans le chant original : « Madam’ Veto avait promis (bis) // De faire égorger tout Paris (bis) // Mais son coup a manqué // Grâce à nos canonniers ») sont adaptées à la situation contemporaine. En revanche, le refrain qui leur fait suite est inchangé, puisqu’il est repris tel quel. Peut-être ce complot dit de la poële à frire fait-il référence au procès des vingt-sept, dont les accusés furent en définitive acquittés.Personnage représenté:Persil, Jean-Charles Remise de 20% pour toutes commandes égales ou supérieures à 200 €
Sans lieu, , 1715. 2 vol. in-12 de XVII-(1)-642-(6) pp. ; 11-(1)-628 pp., veau fauve glacé, dos orné à nerfs, pièce de titre en maroquin rouge, tranches rouges (reliure de l'époque).
Édition originale posthume établie par Jacques Fouillou et Nicolas Petitpied.« À partir de la campagne des Provinciales (1656-1657), Pierre Nicole (1625-1695) a été le représentant le plus obstiné du petit nombre des jansénistes qui estimaient qu’il leur fallait attester leur conformité au pur thomisme "in materia gratiæ et prædestinationis" pour mieux se défendre de l’accusation d’hérésie. Insensiblement, Nicole s’est converti aux thèses de l’École de saint Thomas, allant même jusqu’à défendre des propositions qui, aux yeux des défenseurs de Jansénius, paraissaient molinistes : d’où son conflit avec Antoine Arnauld aux alentours de 1690 à propos de l’idée d’une grâce générale. (…) les jansénistes Jacques Fouillou (1670-1736) et Nicolas Petitpied (1665-1747) décident d’éditer en deux volumes un Traité de la grâce générale (1715) qui comprend l’ensemble des textes consacrés par Pierre Nicole à la question d’une grâce universelle et en deux autres volumes les écrits d’Antoine Arnauld sur le même sujet. Le public disposait désormais des pièces indispensables à l’examen de la dispute qui avait opposé les deux hommes plus de trois décennies après la campagne des Provinciales, alors que Nicole, qui avait fait un bref séjour bruxellois en 1679 au lendemain de la rupture de la Paix de l’Église, était rentré en France dès 1680 et qu’au contraire, Antoine Arnauld avait enduré l’exil jusqu’à sa mort en 1694. La lecture des textes de Pierre Nicole a provoqué stupeur et consternation chez les tenants les plus effarouchés d’une stricte observance augustinienne. En 1716, le P. Hilarion Monnier (1646-1707), bénédictin de la Congrégation de Saint-Vannes, et le janséniste Jacques-Joseph Duguet (1649-1733) publient une anonyme Réfutation du système de M. Nicole touchant la grâce universelle ; pour sa part, le P. Monnier faisait paraître la même année de critiques Réflexions sur le traité de la grâce générale. Les positions de Nicole avaient apparemment eu le don posthume de susciter l’exaspération d’un parti augustinien particulièrement malmené après la fulmination par le pape Clément XI, le 8 septembre 1713, de la Bulle Unigenitus. Il fallait savoir si l’un des plus proches compagnons d’Arnauld au temps des troubles de Sorbonne avait sur le tard abjuré l’augustinisme pour accepter l’idée d’une grâce suffisante telle que la soutenaient les molinistes » (Sylvio Hermann De Franceschi).Provenance : Catherine-Félicité Arnauld ; ex-libris manuscrit ancien au bas des titre "Arnauld de Torcy" ; Catherine-Félicité Arnauld (1670-1757), fille du ministre des affaires étrangères, Simon Arnauld de Pomponne (1618-1699) et de Catherine Ladvocat (1636-1711). Catherine Félicité épousa avec l'accord du roi, le 2 août 1696, Jean-Baptiste Colbert, marquis de Torcy, l'un des plus remarquables diplomates du règne de Louis XIV. Frédéric Masson, dans l'introduction au Journal inédit de Jean-Baptiste Colbert marquis de Torcy (Paris, Plon, 1884, page XIX) signale : « (...) Madame de Torcy, cette âme nette qui avait rencontré à la Cour, dans un mariage de convenance, un mariage d'amour. Janséniste elle était, et demeura. On en peut fournir pour preuve un modeste livre : le Traité de la fréquente communion de son grand-oncle Arnauld, où elle ne s'est point contentée de signer son nom sur la première page : Arnauld de Torcy, mais où, aux passages qui l'attiraient plus intimement, elle a mis un trait de plume ». Petites taches brunes sur la reliure, petits trous de ver sur le dos au tome II, pâles rousseurs.Sylvio Hermann De Franceschi, « Les Thèses thomistes à l’épreuve du conflit de la grâce générale », Chrétiens et sociétés, 17 | 2011, 9-43.
Centre François Mauriac. 2013. In-8. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 94 pages.. . . . Classification Dewey : 840.092-XXI ème siècle
Sommaire : La grâce dans la religion (Henri Tincq) / La musique et la grâce (Anna Queffélec) / Etat de grâce et grâces d'état dans la vie politique (Jacques Rigaud) /... Classification Dewey : 840.092-XXI ème siècle
CHENE. 1962. In-8. Relié toilé. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 614 PAGES - couverture légèrement tâchée - signature sur le 1er contreplat. . . . Classification Dewey : 100-PHILOSOPHIE ET DISCIPLINES CONNEXES
Sommaire : la grace auxiliatrice, la grace sanctifiante, la predestination et la reprobation, textes anterieurs aux pelagianisme, textes de la periode antipelagienne, textes se rapportant aux derniers combats d'augustin pour la defense de la grace Classification Dewey : 100-PHILOSOPHIE ET DISCIPLINES CONNEXES