‎Georges de MANTEYER‎
‎Le PAYS et la PATRIE‎

‎Un ouvrage de 50 pages, format 160 x 250 mm, broché, publié en 1938, Impr. Ribaud Frères (Gap), tirage limité à 100 exemplaires, bon état‎

Reference : LFA-126714485


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€18.00 (€18.00 )
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Lettre de France, L'Art de Vivre à la Française
M. Olivier Auriol de Bussy

lettre-de-france@laposte.net

04 74 33 45 19

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‎GEORGES DE MANTEYER ‎

Reference : 1941

‎LE PAYS ET LA PATRIE ‎

‎ GAP , 1938 tiré à 100 exemplaires ‎


‎Ray I6* ‎

Phone number : 06 12 23 97 16

EUR20.00 (€20.00 )

‎COLLECTIF ‎

Reference : 122928

(1906)

‎Appel au pays. Vérité, justice, patrie ‎

‎ Action Française Paris, Action Française, 1906. Plaquette In-8 brochée, 63 pages + appendice. La République de Dreyfus - La France trahie et mystifiée - La loi faussée par la Cour de Cassation pour réhabiliter un juif - Le Justicier - Hommage national au Général Mercier. Petite déchirure sans manque en dos sinon Bon état. Peu courant‎


‎ Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo. ‎

Phone number : 05 65 42 95 21

EUR25.00 (€25.00 )

‎[Imprimerie de J.-A. Quillot] - ‎ ‎Comité Central Républicain ; BAZE ; BERARD‎

Reference : 33946

(1848)

‎Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté". ‎

‎1 brochure in-8, Imprimerie de J.-A. Quillot, Agen, s.d. (circa 1848), 7 pp.Rappel du titre complet : Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté". ‎


‎Etat très satisfaisant. Très intéressante brochure politique : "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté". ‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR175.00 (€175.00 )

‎Collectif‎

Reference : R320139206

(1967)

‎Missi n°307 1967 - L'Afrique du Sud en question - une admirable patrie mais des coeurs divisés - le seul pays industriel d'Afrique - la religion des élus - Balthazar J.Vorster premier ministre - langoustes vivantes - Madame la Rouquine - le Cap etc.‎

‎Missi. 1967. In-4. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Agraffes rouillées, Intérieur acceptable. Paginé de 43 à 74 - quelques illustrations en noir et blanc dans le texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : L'Afrique du Sud en question - une admirable patrie mais des coeurs divisés - le seul pays industriel d'Afrique - la religion des élus - Balthazar J.Vorster premier ministre - langoustes vivantes - Madame la Rouquine - le Cap - visages urbains - touristes, restez dans votre voiture - mon pays bien-aimé - populations au christianisme vivant - a Luthuli prix nobel - des gardes rouges aux révoltés révolutionnaires - la Chine et les armes nucléaires - essor à Pusan Corée - organisation de la libération Palestine - réforme scolaire Ceylan - ouverture sur tous les fronts Nouvelle Guinée - pas de divorce Ouhganda etc. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR19.80 (€19.80 )

‎Anonyme‎

Reference : 61374

(1832)

‎[ Billet imprimé clandestinement en 1832 évoquant le devenir de la Duchesse de Berry ] : "Madame a quitté l'Ouest ; mais elle est placée dans son voisinage, assurée des moyens d'y rentrer. Son Altesse Royale ne sortira pas de France. Elle se souvient que le sang d'Henri IV et de Marie-Thérèse coule dans ses veines. Les dangers qu'elle a courus depuis deux mois ont révélé tout son courage. Lorsque la France est menacée, lorsque les puissances étrangères ne trouvant pas dans la situation de notre pays les garanties qui pourraient assurer le repos de l'Europe, méditent une invasion, la Mère d'Henri V veut être au milieu des Français fidèles qui défendront le sol de la patrie. Cette haute pensée explique le calme actuel de l'Ouest. On ne le comprendrait pas autrement ; car les Vendéens n'ont pas dégénéré ; et l'on se souvient quels efforts il a fallu pour vaincre autrefois ces constans défenseurs de l'autel et du trône"‎

‎1 pièce imprimée avec 3 pliures verticales, format 21,6 x 13,3 cm : "Madame a quitté l'Ouest ; mais elle est placée dans son voisinage, assurée des moyens d'y rentrer. Son Altesse Royale ne sortira pas de France. Elle se souvient que le sang d'Henri IV et de Marie-Thérèse coule dans ses veines. Les dangers qu'elle a courus depuis deux mois ont révélé tout son courage. Lorsque la France est menacée, lorsque les puissances étrangères ne trouvant pas dans la situation de notre pays les garanties qui pourraient assurer le repos de l'Europe, méditent une invasion, la Mère d'Henri V veut être au milieu des Français fidèles qui défendront le sol de la patrie. Cette haute pensée explique le calme actuel de l'Ouest. On ne le comprendrait pas autrement ; car les Vendéens n'ont pas dégénéré ; et l'on se souvient quels efforts il a fallu pour vaincre autrefois ces constans défenseurs de l'autel et du trône"‎


‎Une mention manuscrite postérieure au crayon en queue précise : "Pièce distribuée clandestinement en 1832". Rare document contemporaine de l'épopée vendéenne de la Duchesse de Berry.‎

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