‎Sylvie BRUNET‎
‎JE T'AIME !‎

‎Un ouvrage de 256 pages, format 140 x 190 mm, broché couverture rempliée, publié en 2019, First Editions, bon état‎

Reference : LFA-126712776


‎L'amour en 200 mots et expressions‎

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Lettre de France, L'Art de Vivre à la Française
M. Olivier Auriol de Bussy

lettre-de-france@laposte.net

04 74 33 45 19

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‎Aimé CÉSAIRE - Léopold Sédar SENGHOR - Henry MILLER‎

Reference : 73928

(1937)

‎Volontés. Revue mensuelle. Collection quasi complète du N°1 au N°20 contenant la pré-originale "Cahier d'un retour au pays natal" d'Aimé Césaire‎

‎Volontés | Paris Décembre 1937 - Août 1939 | 14 x 20 cm | 20 numéros brochés en 20 volumes‎


‎Edition originale de cette revue dirigée par Pierre Guégen, Eugène Jolas, Joseph Csaky et Frédéric Joliot. Nombreuses contributions dont celles de Le Corbusier, Henry Miller, Raymond Queneau, Eugène Jolas, Léonce Rosenberg, Jacques Audiberti, Jean Hélion, Armand Robin, Paul Guth, Roger Caillois, Joë Bousquet, Jean Follain, Jules Monnerot, Léopold Sédar Senghor, Pierre Klosssowski, Michel Leiris, Aimé Césaire... Le numéro 20 de la revue Volonté contient en édition originale, l'intégralité de "Cahier d'un retour au pays natal" d'Aimé Césaire, texte fondamental et fondateur de la "Négritude". Deux plats salis, sinon rare et agréable ensemble incomplet du rarissime et dernier numéro, le 21ème, imprimé en Avril 1940 et qui manque à la plupart des collections. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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EUR2,000.00 (€2,000.00 )

‎Renée VIVIEN‎

Reference : 79028

(1900)

‎Lettre d'amour autographe signée adressée à Natalie Clifford Barney : "J'ai laissé mon cur sur tes lèvres, il y frémira quand tu me diras : Je t'aime !"‎

‎s. l. [Londres] Le 18 mars [1900] | 9.90 x 15.20 cm | 14 pages sur 3 doubles feuillets et 1 feuillet simple‎


‎Très longue lettre autographe manuscrite de Renée Vivien signée « Pauline » rédigée à l'encre noire sur trois doubles feuillets de papier à en-tête du 24 Hyde Park Street et un feuillet simple.Pliures transversales inhérentes à l'envoi. Très belle lettre d'amour expédiée depuis Londres alors que Renée est auprès de sa famille: «Quand je pense qu'un télégramme va banalement et brutalement t'apprendre que je reste encore une semaine à Londres, j'ai envie de pleurer. Et pourtant, il ne faut pas que je pleure, cela m'affaiblirait trop, et j'ai besoin de toutes mes forces et de mon courage.» Cette très difficile séparation est, selon la jeune femme, un mal nécessaire, la promesse d'un avenir radieux: «Si je te fais ce chagrin, mon amie, c'est pour que nous soyons plus heureuses après.[...] Ne m'en veux pas de te faire attendre, je souffre plus que toi ; et si je t'impose, en me l'imposant moi-même, cette souffrance du désappointement, c'est afin de mériter mieux l'amour que tu m'accordes et le bonheur que tu me donnes, par la douleur et par le sacrifice. Je serai ainsi plus digne de toi, et tu m'aimeras mieux pour les larmes que j'ai offertes à notre amour. » Cela ne fait que quelques mois que Renée et Natalie se fréquentent et on peut lire ici l'importance que revêt cette relation pour la Muse aux violettes et son intarissable besoin d'être aimée: «Tu me pardonnes, dis ? Tu me souris toujours ? Je t'en prie, envoie-moi ton pardon, afin que je le sente comme une rosée sur mon front. Dis-moi de loin que tu m'aimes toujours, et je t'entendrai à travers tout l'espace qui nous sépare. [...] Je t'aime à en mourir, enfant chérie qui es le beau sourire blond de ma vie. Tout ce que je te dis et [sic] sincère. Crois-moi. Aime-moi.» Idéalisant cette relation, elle se livre à une superbe litanie: «Te faire souffrir, toi, qui m'as donné la joie rayonnante de mon existence ! Toi, qui m'as fait aimer la vie ! - Toi, qui m'as mis tant de beaux rêves dans l'âme, tant de bonheur et tant de chaleur au cur ! - Toi, qui es ma consolation, mon espérance, mon extase, la merveille et le miracle de ma vie ! - Toi, qui m'as donné l'amour, qui me l'as révélé, qui me l'as fait sentir et comprendre ! - Toi, que j'aime !» Très belle lettre-fleuve empreinte de la dévorante passion de la Muse aux violettes pour son Amazone. C'est à la fin de l'année 1899 et par l'intermédiaire de Violette Shillito que Renée Vivien - alors Pauline Tarn - fit la connaissance de Natalie Clifford Barney «cette Américaine plus souple qu'une écharpe, dont l'étincelant visage brille de cheveux d'or, de prunelles bleu de mer, de dents implacables» (Colette,Claudine à Paris). Natalie, qui venait de vivre une idylle estivale avec la sulfureuse Liane de Pougy qui l'a initiée au saphisme, ne prêta qu'une attention discrète à cette nouvelle connaissance. Renée en revanche fut totalement subjuguée par la jeune Américaine et relatera ce coup de foudre dans son roman autobiographiqueUne Femme m'apparut: «J'évoquai l'heure déjà lointaine où je la vis pour la première fois, et le frisson qui me parcourut lorsque mes yeux rencontrèrent ses yeux d'acier mortel, ses yeux aigus et bleus comme une lame. J'eus l'obscur prescience que cette femme m'intimait l'ordre du destin, que son visage était le visage redouté de mon avenir. Je sentis près d'elle les vertiges lumineux qui montent de l'abîme, et l'appel de l'eau très profonde. Le charme du péril émanait d'elle et m'attirait inexorablement. Je n'essayai point de la fuir, car j'aurais échappé plus aisément à la mort.» «Hiver 1899-1900. Débuts de l'idylle. Un soir, Vivien est invitée par sa nouvelle amie dans l'atelier de Mme Barney [mère de Natalie], 153 avenue Victor-Hugo, à l'angle de la rue de Longchamp. Natalie s'enhardit à lire des vers de sa composition. Comme Vivien lui dit aimer ces vers, elle lui répond qu'il vaut mieux aimer le poète. Réponse bien digne de l'Amazone.» (J.-P. Goujon,Tes blessures sont plus douces que le‎

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EUR3,500.00 (€3,500.00 )

‎Boris VIAN‎

Reference : 72617

(1958)

‎Manuscrit autographe complet de la chanson de Boris Vian intitulée "Ce que j'aime dans la romance"‎

‎S. n. | s. l. s. d. [1958] | 13.50 x 21 cm | 3 feuillets‎


‎Manuscrit complet de 35 lignes rédigé au stylo bille bleu de la chanson "Ce que j'aime dans la romance" comprenant trois feuillets abondamment corrigés. Nous joignons le tapuscrit de cette chanson dont la musique fut composée par Henri Salvador, Marcel Van Dam et Ayser Schmid-Vançin, mais qui ne fut hélas jamais enregistrée. Très bel ensemble. Ce que j'aime dans la romance / C'est l'moment où ça commence / Le moment où je la vois / Toute neuve devant moi Provenance : Fondation Boris Vian. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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EUR1,800.00 (€1,800.00 )

‎Renée VIVIEN‎

Reference : 78899

(1900)

‎"Tout-Petit que j'aime, je t'envoie des pensées, toutes blanches. Garde-les dans ta chambre, auprès de toi, où sont mes vraies pensées, tu le sais." Lettre autographe signée adressée à Natalie Clifford Barney‎

‎s. l. [Paris] s. d. [ca. 1900] | 12.30 x 16.50 cm | 1 page1/2 sur un double feuillet‎


‎Lettre manuscrite autographe de Renée Vivien signée «Pauline», adressée à Natalie Clifford Barney et rédigée à l'encre noire sur un double feuillet à en-tête au chiffre argenté de la poétesse. Très jolie lettre évoquant les fleurs si chères à Renée ("Tout-Petit que j'aime, je t'envoie des pensées, toutes blanches. Garde-les dans ta chambre, auprès de toi, où sont mes vraies pensées, tu le sais.") ainsi qu'un cadeau de son "tout petit chéri" : "J'adore mes tablettes, tu te rappelles les tablettes des deux petites joueuses de flûte? - seulement, elles les ont perdues, et moi, je ne veux pas perdre les miennes. J'ai écrit dessus [en grec] J'aime Natalie! Cela m'a fait tant de plaisir! - quelle bonne et jolie pensée tu as eue là! -"La passion hélleniste de Renée Vivien naquit à sa rencontre avec Eva Palmer lors du séjour aux Etats-Unis où elle accompagna Natalie Clifford Barney. Cette belle rousse de vingt-six ans qui, dit-on, avait traduit toutLe Banquetde Platon avec l'Amazone, donna à Renée ses premières leçons de grec ancien et éveilla chez elle la passion pour la poétesse Sappho qui ne la quitta dès lors plus. C'est à la fin de l'année 1899 et par l'intermédiaire de Violette Shillito que Renée Vivien - alors Pauline Tarn - fit la connaissance de Natalie Clifford Barney «cette Américaine plus souple qu'une écharpe, dont l'étincelant visage brille de cheveux d'or, de prunelles bleu de mer, de dents implacables» (Colette, Claudine à Paris). Natalie, qui venait de vivre une idylle estivale avec la sulfureuse Liane de Pougy qui l'a initiée au saphisme, ne prêta qu'une attention discrète à cette nouvelle connaissance. Renée en revanche fut totalement subjuguée par la jeune Américaine et relatera ce coup de foudre dans son roman autobiographique Une Femme m'apparut: «J'évoquai l'heure déjà lointaine où je la vis pour la première fois, et le frisson qui me parcourut lorsque mes yeux rencontrèrent ses yeux d'acier mortel, ses yeux aigus et bleus comme une lame. J'eus l'obscur prescience que cette femme m'intimait l'ordre du destin, que son visage était le visage redouté de mon avenir. Je sentis près d'elle les vertiges lumineux qui montent de l'abîme, et l'appel de l'eau très profonde. Le charme du péril émanait d'elle et m'attirait inexorablement. Je n'essayai point de la fuir, car j'aurais échappé plus aisément à la mort.» «Hiver 1899-1900. Débuts de l'idylle. Un soir, Vivien est invitée par sa nouvelle amie dans l'atelier de Mme Barney [mère de Natalie], 153 avenue Victor-Hugo, à l'angle de la rue de Longchamp. Natalie s'enhardit à lire des vers de sa composition. Comme Vivien lui dit aimer ces vers, elle lui répond qu'il vaut mieux aimer le poète. Réponse bien digne de l'Amazone.» (J.-P. Goujon, Tes blessures sont plus douces que leurs caresses) Suivront deux années d'un bonheur inégal, rythmées par les infidélités récurrentes de Natalie et la jalousie maladive de Renée dont les lettres oscillent entre déclarations enflammées et douloureux mea culpa. «Renée Vivien, c'est la fille de Sappho et de Baudelaire, c'est la fleur du mal 1900 avec des fièvres, des envols brisés, des voluptés tristes.» (Jean Chalon, Portrait d'une séductrice) En 1901 survint une importante rupture qui durera presque deux années; Renée, malgré les sollicitations de Natalie et les intermédiaires qu'elle lui envoie pour la reconquérir, résiste. «Les deux amies se revirent, et se fut, en août 1905, le pèlerinage à Lesbos, qui constitua une déception pour Natalie Barney et demeura sans lendemain. [...] Le ressort était définitivement brisé. Les deux anciennes amies cessèrent de se voir dès 1907, et Vivien mourut sans qu'elles se soient revues. » (J.-P. Goujon, Ibid.) Précieuse et très rare lettre de Sapho 1900 à l'Amazone. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -‎

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‎Renée VIVIEN‎

Reference : 78907

(1904)

‎"Il ne faut plus souffrir pour moi, ma Douceur blonde, je t'aime, je te guérirai." Lettre d'amour autographe adressée à Natalie Clifford Barney‎

‎s. l. [Paris] s. d. [ca. 1904] | 11.50 x 15.90 cm | 4 pages sur un double feuillet‎


‎Lettre autographe de Renée Vivien adressée à Natalie Clifford Barney et rédigée à l'encre noire sur un double feuillet bordé d'un liseré de violettes. Pliure transversale inhérente à l'envoi. Très belle lettre d'amour marquant la réconciliation de la Muse aux violettes et de l'Amazone après une rupture de deux ans: «Ta lettre m'a été d'une douceur cruelle, j'ai pleuré en la lisant et quelque chose en moi s'est réjoui malgré tout de penser qu'entre nous le lien était est si puissant et subtil que la mort seule pourra le dénouer tout à fait, si la mort est définitive.» Lassée et très jalouse des infidélités de Natalie, Renée avait pris la décision radicale de la quitter. L'Amazone avait alors, par tous les moyens, tenté de la reconquérir, envoyant des émissaires ainsi que de nombreuses lettres: «Mes larmes ont coulé sur toutes les lettres que tu m'as envoyées depuis le silence qui s'était fait entre nous.» Renée semble cette fois avoir rompu sa promesse de ne jamais revoir Natalie et lui adresse cette très belle déclaration, pleine d'espoir en l'avenir: «T'oublier ! Mais mes lèvres, qui sont l'âme de mon âme ont gardé ton reflet et ton empreinte. [...] Quelque chose en [moi] s'est brisé depuis lors, d'avoir trop aveuglément aimé. Mais s'il est vrai qu'il reste en nous des tendresses inconnues et des douceurs ignorées que nous pouvons encore nous prodiguer dans un avenir meilleur, n'hésitons pas à les découvrir au fond de nos âmes. Je voudrais te prendre dans mes bras, mon Tout-Petit, comme un enfant malade, et te bercer, et te consoler, et te guérir, et de voir refleurir sur tes lèvres les sourires d'autrefois. Il ne faut plus souffrir pour moi, ma Douceur blonde, je t'aime, je te guérirai.» Ces retrouvailles ne dureront pourtant pas: déchirée entre la baronne Hélène de Zuylen et Natalie, Renée enchaînera les voyages; tour à tour en Hollande, en Allemagne, en Suisse et à Venise, elle confiera ses hésitations à Kérimé Turkhan-Pacha sa compagne épistolaire du Bosphore qu'elle rencontrera à l'été 1905 lors de son dernier voyage avec Natalie Clifford Barney à Mytilène. Emouvante lettre de Renée Vivien, adressée au grand amour de sa vie. C'est à la fin de l'année 1899 et par l'intermédiaire de Violette Shillito que Renée Vivien - alors Pauline Tarn - fit la connaissance de Natalie Clifford Barney «cette Américaine plus souple qu'une écharpe, dont l'étincelant visage brille de cheveux d'or, de prunelles bleu de mer, de dents implacables» (Colette,Claudine à Paris). Natalie, qui venait de vivre une idylle estivale avec la sulfureuse Liane de Pougy qui l'a initiée au saphisme, ne prêta qu'une attention discrète à cette nouvelle connaissance. Renée en revanche fut totalement subjuguée par la jeune Américaine et relatera ce coup de foudre dans son roman autobiographiqueUne Femme m'apparut: «J'évoquai l'heure déjà lointaine où je la vis pour la première fois, et le frisson qui me parcourut lorsque mes yeux rencontrèrent ses yeux d'acier mortel, ses yeux aigus et bleus comme une lame. J'eus l'obscur prescience que cette femme m'intimait l'ordre du destin, que son visage était le visage redouté de mon avenir. Je sentis près d'elle les vertiges lumineux qui montent de l'abîme, et l'appel de l'eau très profonde. Le charme du péril émanait d'elle et m'attirait inexorablement. Je n'essayai point de la fuir, car j'aurais échappé plus aisément à la mort.» «Hiver 1899-1900. Débuts de l'idylle. Un soir, Vivien est invitée par sa nouvelle amie dans l'atelier de Mme Barney [mère de Natalie], 153 avenue Victor-Hugo, à l'angle de la rue de Longchamp. Natalie s'enhardit à lire des vers de sa composition. Comme Vivien lui dit aimer ces vers, elle lui répond qu'il vaut mieux aimer le poète. Réponse bien digne de l'Amazone.» (J.-P. Goujon,Tes blessures sont plus douces que leurs caresses) Suivront deux années d'un bonheur inégal, rythmées par les infidélités récurrentes de Natalie et la jalousie maladive de Renée dont les lettres oscill‎

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