‎BADIOU Alain‎
‎LE SIECLE‎

‎Paris, SEUIL, L'Ordre Philosophique, 2005, in-8 broché, 253 pp. TRES BON ETAT‎

Reference : 48307


‎ Nombreux titres disponibles en Philosophie. ‎

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LE SERPENT QUI PENSE
M. ERIC BIBAULT

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‎[Frazier-Soye] - ‎ ‎LOYS-DELTEIL, M. ; DESVOUGES, Maître André‎

Reference : 48612

(1911)

‎[ Recueil de Catalogues d'Estampes par Loys-Delteil ] N° 247 6 novembre 1911 Estampes du XVIIIe Siècle Hôtel Drouot / N° 248 Estampes anciennes et modernes 7 novembre 1911 / N° 249 Collection Jules Renouvier Ière Partie Estampes anciennes et modernes 8 Novembre 1911 / N° 250 Collection de M. H. A*** Estampes & Dessins Modernes 15 novembre 1911 / N° 251 Costumes du XVIIIe siècle 16 Novembre 1911 / N° 252 Estampes & Dessins 17 novembre 1911 / N° 254 Estampes du XVIIIe siècle 9 décembre 1911 / N° 256 Estampes & Dessins anciens & modernes 15 décembre 1911 / N° 257 Catalogue des Tableaux, dessins et estampes de la collection M. M. B*** 7 Février 1912 / N° 259 Estampes du XVIIIe siècle 23 Février 1912 / N° 260 Estampes du XVIIe siècle Estampes modernes 27 Février 1912 / N° 262 Collection de M. Charles Bermond, Estampes anciennes et Modernes 18 mars 1912 / N° 264 Estampes & Dessins 18 avril 1912 / N° 265 Estampes, dessins et Peintures 25 avril 1912 / N° 266 Estampes du XVIIIe siècle 29 avril 1912 / N° 268 Collection de A. Mühlbacher. Estampes et Dessins concernant les Voitures. Traîneaux 18 mai 1912 / N° 270 : Estampes du XVIIIe siècle 29 mai 1912 / N° 271 Estampes anciennes et modernes 1er juin 1912 / N° 274 Vente du Mardi 19 novembre e1912. Hôtel Drouot Catalogue des Estampes Anciennes et modernes, 29 pp. / N° 275 Vente du 20 novembre 1912. Hôtel Drouot Catalogue des Estampes Anciennes et modernes, Dessins format la collection de M. Léon Vaillant, 23 pp. / N° 276 25 novembre 1912 , Estampes du XVIIIe siècle. Hôtel Drouot, 30 pp. / N° 277 28 novembre 1912, Ire Partie Collection de feu M Du Vigier : Costumes Militaires - IIe Partie : Estampes relatives à la Révolution et au Ier Empire. Hôtel Drouot, 30 pp. / N° 278 29 novembre 1912, Estampes Anciennes et modernes / N° 280 Collection Louis Valentin (Quatrième Partie) Estampes du XVIIIe siècle, 40 pp. / N° 284 : 21 Février 1913 : Estampes du XVIIIe siècle, 31 pp. / N° 285 : Hôtel Drouot Estampes du XVIIIe siècle, 33 pp. / N° 288 Estampes anciennes et modernes 4 avril 1913, 35 pp. / N° 289 Estampes du XVIIIe siècle imprimées en couleurs, 18 avril 1913, 19 pp. / N° 290 : Catalogue des Estampes formant l'Oeuvre gravé d'Antoine Watteau, provenant de la collection de Monsieur X***, 18 avril 1913 / N° 291 : Collection de Monsieur P*** Estampes modernes, 19 avril 1913 / N° 292 Collection de M. E Cola de Nantes, Estampes du XVIIIe siècle, 20 avril 1913 / N° 293 : Estampes du XVIIIe siècle 21 avril 1913 / N° 295 : Catalogue des Dessins anciens & Modernes, 3 Mai 1913 / N° 296 Collection de Mme Vve Caïus Trollé, Mercredi 30 avril 1913. Catalogue des Estampes et des Dessins d'Eugène Delacroix / N° 297 : Collection de Monsieur Y***Estampes du XVIIIe siècle. 30 Avril 1913 / N° 298 Collection Louis Valentin Cinquième Partie. Estampes du XVIIIe siècle, 10 Mai 1913 / N° 300 Collection de Monsieur Z. Estampes du XVIIIe siècle, 28 Mai 1913 / N° 303 Estampes du XVIIIe siècle, 31 Mai 1913 / N° 304 Collection de Monsieur A*** 7 juin 1913 Estampes & dessins anciens & modernes / N° 305 Succession de feu Jules Jacquet. Oeuvre gravé de Jules Jacquet. Oeuvres d'Henriquel-Dupont & de Laemlen, 7 juin 1913 / N° 307 Estampes et Dessins anciens et modernes, 24 juin 1913 / N° 308 Collection de M. L. T. Dessins anciens‎

‎18 et 24 catalogues en 2 vol. in-8 reliure pleine toile noire, couv. cons., Frazier-Soye, 1911-1913. Rappel du titre complet : [ Recueil de Catalogues d'Estampes par Loys-Delteil ] N° 247 6 novembre 1911 Estampes du XVIIIe Siècle Hôtel Drouot / N° 248 Estampes anciennes et modernes 7 novembre 1911 / N° 249 Collection Jules Renouvier Ière Partie Estampes anciennes et modernes 8 Novembre 1911 / N° 250 Collection de M. H. A*** Estampes & Dessins Modernes 15 novembre 1911 / N° 251 Costumes du XVIIIe siècle 16 Novembre 1911 / N° 252 Estampes & Dessins 17 novembre 1911 / N° 254 Estampes du XVIIIe siècle 9 décembre 1911 / N° 256 Estampes & Dessins anciens & modernes 15 décembre 1911 / N° 257 Catalogue des Tableaux, dessins et estampes de la collection M. M. B*** 7 Février 1912 / N° 259 Estampes du XVIIIe siècle 23 Février 1912 / N° 260 Estampes du XVIIe siècle Estampes modernes 27 Février 1912 / N° 262 Collection de M. Charles Bermond, Estampes anciennes et Modernes 18 mars 1912 / N° 264 Estampes & Dessins 18 avril 1912 / N° 265 Estampes, dessins et Peintures 25 avril 1912 / N° 266 Estampes du XVIIIe siècle 29 avril 1912 / N° 268 Collection de A. Mühlbacher. Estampes et Dessins concernant les Voitures. Traîneaux 18 mai 1912 / N° 270 : Estampes du XVIIIe siècle 29 mai 1912 / N° 271 Estampes anciennes et modernes 1er juin 1912 / N° 274 Vente du Mardi 19 novembre e1912. Hôtel Drouot Catalogue des Estampes Anciennes et modernes, 29 pp. / N° 275 Vente du 20 novembre 1912. Hôtel Drouot Catalogue des Estampes Anciennes et modernes, Dessins format la collection de M. Léon Vaillant, 23 pp. / N° 276 25 novembre 1912 , Estampes du XVIIIe siècle. Hôtel Drouot, 30 pp. / N° 277 28 novembre 1912, Ire Partie Collection de feu M Du Vigier : Costumes Militaires - IIe Partie : Estampes relatives à la Révolution et au Ier Empire. Hôtel Drouot, 30 pp. / N° 278 29 novembre 1912, Estampes Anciennes et modernes / N° 280 Collection Louis Valentin (Quatrième Partie) Estampes du XVIIIe siècle, 40 pp. / N° 284 : 21 Février 1913 : Estampes du XVIIIe siècle, 31 pp. / N° 285 : Hôtel Drouot Estampes du XVIIIe siècle, 33 pp. / N° 288 Estampes anciennes et modernes 4 avril 1913, 35 pp. / N° 289 Estampes du XVIIIe siècle imprimées en couleurs, 18 avril 1913, 19 pp. / N° 290 : Catalogue des Estampes formant l'Oeuvre gravé d'Antoine Watteau, provenant de la collection de Monsieur X***, 18 avril 1913 / N° 291 : Collection de Monsieur P*** Estampes modernes, 19 avril 1913 / N° 292 Collection de M. E Cola de Nantes, Estampes du XVIIIe siècle, 20 avril 1913 / N° 293 : Estampes du XVIIIe siècle 21 avril 1913 / N° 295 : Catalogue des Dessins anciens & Modernes, 3 Mai 1913 / N° 296 Collection de Mme Vve Caïus Trollé, Mercredi 30 avril 1913. Catalogue des Estampes et des Dessins d'Eugène Delacroix / N° 297 : Collection de Monsieur Y***Estampes du XVIIIe siècle. 30 Avril 1913 / N° 298 Collection Louis Valentin Cinquième Partie. Estampes du XVIIIe siècle, 10 Mai 1913 / N° 300 Collection de Monsieur Z. Estampes du XVIIIe siècle, 28 Mai 1913 / N° 303 Estampes du XVIIIe siècle, 31 Mai 1913 / N° 304 Collection de Monsieur A*** 7 juin 1913 Estampes & dessins anciens & modernes / N° 305 Succession de feu Jules Jacquet. Oeuvre gravé de Jules Jacquet. Oeuvres d'Henriquel-Dupont & de Laemlen, 7 juin 1913 / N° 307 Estampes et Dessins anciens et modernes, 24 juin 1913 / N° 308 Collection de M. L. T. Dessins anciens‎


‎Belle réunion de 42 catalogues d'estampes par Loys-Delteil. Bon ensemble (accroc à un mors en tête, bon exemplaire par ailleurs). Prix du lot, non séparable.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR590.00 (€590.00 )

‎[MSA] - ‎ ‎Guy MARTINOT - Yves SAVIGNAT - Denis ANTOINE Commissaires-Priseurs‎

Reference : 50924

(2001)

‎[ Lot de 6 catalogues de ventes aux enchères, essentiellement sur la peinture française du XIXe siècle ] Les écoles de Pontoise, auvers-sur-Oise et de Barbizon, la peinture du XIXe siècle (7 novembre 1998) ; Les écoles de Pontoise, Auvers-sur-Oise et de Barbizon, la peinture du XIXe siècle (5 décembre 1998) ; Peinture et sculpture du XIXe siècle à nos jours, écoles de Barbizon, Auvers-sur-Oise [...] (5 et 6 juin 1999) ; Les écoles de Pontoise, Auvers-sur-Oise, Barbizon et les Peintures du XIXème siècle au XXe siècle (27 mai 2000) ; Les écoles de Pontoise, Auvers-sur-Oise, Barbizon et les Peintres du XIXe siècle au XXe siècle (16 décembre 2000) ; Les écoles de Pontoise, Auvers-sur-Oise, Barbizon et les Peintures du XIXème siècle au XXe siècle [...] (19 mai 2001)‎

‎6 vol. in-4 br. couv. ill. couleurs, MSA, Pontoise, 1998 à 2001, env. 60 pp. et 260 réf. par catalogue. Liste des titres : Les écoles de Pontoise, auvers-sur-Oise et de Barbizon, la peinture du XIXe siècle (7 novembre 1998) ; Les écoles de Pontoise, Auvers-sur-Oise et de Barbizon, la peinture du XIXe siècle (5 décembre 1998) ; Peinture et sculpture du XIXe siècle à nos jours, écoles de Barbizon, Auvers-sur-Oise [...] (5 et 6 juin 1999) ; Les écoles de Pontoise, Auvers-sur-Oise, Barbizon et les Peintures du XIXème siècle au XXe siècle (27 mai 2000) ; Les écoles de Pontoise, Auvers-sur-Oise, Barbizon et les Peintres du XIXe siècle au XXe siècle (16 décembre 2000) ; Les écoles de Pontoise, Auvers-sur-Oise, Barbizon et les Peintures du XIXème siècle au XXe siècle [...] (19 mai 2001)‎


‎Très bon état. Prix pour l'ensemble‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR36.00 (€36.00 )

‎SAMARAN, Charles‎

Reference : 63072

(1939)

‎[ Important ensemble de 23 tirés-à-part : ] Notice nécrologique sur M. Gustave Schlumberger, membre honoraire de la Société Nationale des Antiquaires de France (1844-1931) ; Société Nationale des Antiquaires de France. Discours de M. Charles Samaran, président sortant, prononcé dans la Séance du 3 janvier 1945 ; Max Prinet, Ecole Pratique des Hautes Etudes ; Mathieu Levrien, Chroniqueur de Saint-Denis à la fin du règne de Louis XI ; Un document notarié sur Joachim du Bellay ; Poésies gasconnes du XIVe siècle récemment découvertes ; Leçon d'ouverture du Corpus de Bibliographie et d'Archives de l'Histoire de France à l'Ecole des Chartes (8 novembre 1933) ; Un Français à Rome au XVe siècle. Guillaume Pérès Condomois auditeur de Rote (1420?-1500) ; Un manuscrit de Berdoues ; Le premier mariage de Beaumarchais ; Application des rayons ultra-violets au déchiffrement des passages grattés ou effacés dans les manuscrits ; Note pour servir au déchiffrement de la cursive gothique de la fin du XVe à la fin du XVIIe siècle ; La fausse "Jeanne d'Arc" du Musée de Versailles ; Une lettre inédite de Louis XI ; Philologie & Tauromachie. Les Prétendues Courses de Taureaux de Montréal-du-Gers au XVe siècle ; Les frais du procès et de l'exécution de Jacques d'Armagnac, duc de Nemours, décapité aux Halles en 1477 ; La Chronique Latine inédite de Jean Chartier (1422-1450) et les derniers livres du religieux de Saint-Denis ; Fragment d'une traduction en prose française du psautier composée en Angleterre au XIIe siècle ; Le centenaire de notre revue. La "Bibliothèque de l'Ecole des Chartes" depuis un siècle ; Une Summa Grammaticalis du XIIIe siècle avec gloses provençales ; En Armagnac au temps des "troubles" (1561 et 1567) ; Vocation Universitaire de Paris ; Les Etudiants de l'Université de Cahors à la fin du XVe siècle d'après un document inédit‎

‎23 brochures in-8 : ] Notice nécrologique sur M. Gustave Schlumberger, membre honoraire de la Société Nationale des Antiquaires de France (1844-1931), 1939, Extrait du Bulletin de la Société Nationale des Antiquaires de France, 1938, 15 pp. ; Société Nationale des Antiquaires de France. Discours de M. Charles Samaran, président sortant, prononcé dans la Séance du 3 janvier 1945, Extrait du Bulletin de la Société Nationale des Antiquaires de France, 1945, pp. 15-28 ; Max Prinet, Ecole Pratique des Hautes Etudes, Imprimerie Administrative, Melun, 1938, 11 pp. ; Mathieu Levrien, Chroniqueur de Saint-Denis à la fin du règne de Louis XI, extrait de la Bibliothèque de l'Ecole des Chartes, Paris, 1938, 7 pp. ; Un document notarié sur Joachim du Bellay, extrait des Mélanges Abel Lefranc, Librairie E. Droz, Paris, 1936, pp. 349-353 ; Poésies gasconnes du XIVe siècle récemment découvertes, Imprimerie brevetée Cocharaux, Auch, 1933, 8 pp. ; Leçon d'ouverture du Corus de Bibliographie et d'Archives de l'Histoire de France à l'Ecole des Chartes (8 novembre 1933), extrait de la Bibliothèque de l'Ecole des Chartes, Paris, 1933, 23 pp. ; Un Français à Rome au XVe siècle. Guillaume Pérès Condomois auditeur de Rote (1420?-1500), Extrait de l'Annuaire Bulletin de la Société de l'Histoire de France, Paris, 1932, 40 pp. ; Un manuscrit de Berdoues, Imprimerie Cocharaux, Auch, 1931, 8 pp. ; Le premier mariage de Beaumarchais. Lecture faite à l'Assemblée générale de la Société de l'Histoire de France, le 15 mai 1928, Extrait de l'Annuaire Bulletin de la Société de l'Histoire de France, Paris, 1929, 18 pp. ; Application des rayons ultra-violets au déchiffrement des passages grattés ou effacés dans les manuscrits, Comptes Rendus de l'Académie des Inscriptions & Belles-Lettres, Auguste Picard, Paris, 1925, 8 pp. ; Note pour servir au déchiffrement de la cursive gothique de la fin du XVe à la fin du XVIIe siècle, Librairie ancienne Honoré Champion, Edouard Champion, Paris, 1922, 14 pp. et une planche ; La fausse "Jeanne d'Arc" du Musée de Versailles, extrait de la Bibliothèque de l'Ecole des Chartes, Paris, 1920, 15 pp. ; Une lettre inédite de Louis XI, Extrait de l'Annuaire Bulletin de la Société de l'Histoire de France, Paris, 1911, 8 pp. ; Philologie & Tauromachie. Les Prétendues Courses de Taureaux de Montréal-du-Gers au XVe siècle, Imprimerie Générale, Auch, 1911, 15 pp. ; Les frais du procès et de l'exécution de Jacques d'Armagnac, duc de Nemours, décapité aux Halles en 1477, Société de l'Histoire de Paris, 1926, 15 pp. ; La Chronique Latine inédite de Jean Chartier (1422-1450) et les derniers livres du religieux de Saint-Denis, extrait de la Bibliothèque de l'Ecole des Chartes, Paris, 1926, 24 pp. ; Fragment d'une traduction en prose française du psautier composée en Angleterre au XIIe siècle, Romania, 1929, 161-173 pp. ; Le centenaire de notre revue. La "Bibliothèque de l'Ecole des Chartes" depuis un siècle, extrait de la Bibliothèque de l'Ecole des Chartes, Paris, 1939, 24 pp. ; Une Summa Grammaticalis du XIIIe siècle avec gloses provençales, extrait de l'Archivum Latinitatis Medii Aevi Bulletin du Cange, Secrétariat Administratif de l'UAI, Bruxelles, 1961, pp. 158-224 ; En Armagnac au temps des "troubles" (1561 et 1567), Imprimerie F. Cocharaux, Auch, 1964, 20 pp. ; Vocation Universitaire de Paris, extrait de Paris fonctions d'une capitale, Hachette, Paris, pp. 82-140 ; Les Etudiants de l'Université de Cahors à la fin du XVe siècle d'après un document inédit, extrait des Annales du Midi, Imprimerie et Librairie Edouard Privat, Toulouse, 1910, 16 pp.‎


‎Rare et impressionnant ensemble, en très bel état, de 23 tirés-à-part d'articles de l'historien et archiviste gersois Charles Samaran (1879-1982). Il se rendit célèbre dès 1908 en publiant les "Diplômes originaux des Mérovingiens", qui fit la preuve de ses talents de déchiffreur. Il fut notamment professeur à l'Ecole des Chartes et directeur de la Bibliothèque de l'École des chartes (de 1935 à 1948). Bel ensemble, non séparable. ‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR250.00 (€250.00 )

‎PERRAULT, Charles‎

Reference : LCS-17649

‎Paralelle des Anciens et des Modernes en ce qui regarde les arts et les sciences. Dialogues. Avec le Poëme du Siècle de Louis le Grand, Et une Epistre en vers sur le Génie. Par M. Perrault de l’Académie Françoise (Tome premier) – L’Éloquence (tome II) – La Poésie (tome III) – L’Astronomie, la Géographie, la Navigation, la Guerre, la Philosophie, la Musique et la Médecine (tome IV). Charles Perrault a composé deux œuvres d’importance : "Histoire ou Contes du temps passé" publié en 1697 et "La Querelle des Anciens et des Modernes" parue de 1688 à 1696.‎

‎Précieux exemplaire conservé dans ses reliures strictement de l’époque, avec, fait particulièrement rare, des fers absolument identiques sur les trois premiers volumes. Paris, Veuve Coignard et Jean Baptiste Coignard fils, 1692‑1693-1696. 4 volumes in-12 de : I/ (20) ff., 252 pp., 8 pp. ch. 27-34, 34 pp., (1) f.bl.; II/ (9) ff., 399 pp. et (1) p. de privilege; III/ (6) ff., 335 pp., (1) p. de privilège, 1 cahier bruni ; IV/ (8) ff., 321 pp., (1) f. d’errata, 1 figure gravée sur cuivre entre les pp. 296 et 297 de « l’arbre de Porphyre ». Cachet en marge inf. des p. 13 du tome 1, p. 12 du tome 2, pp. 1 et 13 du tome 3, pp. 1 et 13 du tome 4.Plein veau moucheté de l’époque, dos à cinq nerfs ornés de fleurons dorés, roulette dorée sur les coupes, tranches mouchetées rouges. Reliure de l’époque. 164 x 92 mm.‎


‎Édition originale collective – les tomes 3 et 4 sont ici en édition originale aux dates de 1692 et 1696 - de la fameuse « Querelle des Anciens et des Modernes », œuvre majeure de Charles Perrault. Le 4ème volume est ici l’un des rares connus à la date de 1696, la date commune étant de 1697. Scheler (V, p. 169) mentionne : « J’ai rencontré un exemplaire du ‘Parallelle des anciens et des modernes’ dont le tome 4 était daté M.DC.LXXXXVI (1696). Il comportait, relié à la fin, un errata intitulé ‘Fautes à corriger’, tiré sur un feuillet indépendant » ; cas du présent exemplaire. Cette édition originale présente l’intégralité des brûlots que Perrault lança dans une querelle qui devait enflammer tout le milieu littéraire de son temps et se prolonger pendant tout le XVIIIe siècle, jusqu’à Condorcet, jusqu’au Génie du Christianisme. « Perrault fonde l’expérience du progrès culturel dans une théorie historique (…). C’est dans la ‘Querelle’ que se forme la nouvelle conscience historique qui sera celle des Lumières : le trait fondamental de l’histoire devient un mouvement irréversible vers l’avant » (P. -E. Knabe, R. Mortier, F. Moureau, L’aube de la modernité 1680-1760, p. 6 sq.).Ce texte fondateur revêt une telle importance que nous allons en décrire la Genèse et l’aboutissement.Les Classiques ou Anciens menés par Boileau soutenaient une conception de la création littéraire comme imitation des auteurs de l’Antiquité. Cette thèse était fondée sur l’idée que l’Antiquité grecque et romaine avait atteint une fois pour toutes la perfection artistique. Le choix par Racine pour ses tragédies de sujets antiques déjà traités par les tragédiens grecs illustre cette conception de la littérature respectueuse des règles du théâtre classique élaborées par les poètes classiques à partir de la Poétique d’Aristote.Les Modernes, représentés ici même par Charles Perrault, qui soutenaient le mérite des auteurs du siècle de Louis XIV, affirmaient au contraire que les auteurs de l’Antiquité n’étaient pas indépassables, et que la création littéraire devait innover. Ils prônaient une littérature adaptée à l’époque contemporaine et des formes artistiques nouvelles.Si l’humanisme découvre les anciens pour entrer dans les temps modernes, imite l’Antiquité pour créer les formes neuves de la Renaissance, il se divise au XVIIe siècle en deux courants qui séparent l’imitation réglée des chefs d’œuvres antiques de l’innovation.Une première querelle – italienne – des Classiques et des Modernes éclate sous la Renaissance. Les Modernes sont alors anti scolastiques. Cette querelle italienne annonce la querelle française tout en étant différente. D’après Fumaroli, la querelle italienne « poursuit l’enquête comparative (la syncrisis, le paragone, la conférence) commencée par la Renaissance entre deux époques des lettres, des arts et des mœurs. Elle est le fait de lettrés qui se sentent plus enracinés dans la République des Lettres que dans aucun État contemporain. La comparaison entre Antiquité et Modernité est pour eux une condition de la liberté d’esprit. Il s’agit moins en Italie d’une Querelle que d’un championnat. La Querelle française en revanche est le fait d’hommes de lettres qui ont les yeux fixés sur leur roi ; ils font ou feront partie de la constellation d’Académies domiciliant la République française des Lettres dans l’État royal. Au cœur de leur âpre débat, on n’est pas surpris de reconnaître qu’ils rivalisent à qui détient la meilleure méthode de louer leur roi. »En France, la prise progressive de contrôle de l’espace des lettres (académie, cour) par les classiques qui prônent l’imitation des règles et des textes anciens est marquée par des querelles, autour par exemple de la question du merveilleux en littérature: doit on se limiter aux mythes païens ou peut on utiliser les héros chrétiens, voire revenir à des épopées chrétiennes et françaises ? Le christianisme ne l’emporte-t-il pas sur les grands modèles passés ? De 1653 à 1674 les partisans d’un merveilleux moderne se singularisent contre les « Anciens ». En 1677, c’est leur première victoire, lorsque après le débat sur l’affaire des inscriptions, il est décidé que les monuments du règne seraient gravés en français (et non plus en latin). Les deux partis sont alors constitués : d’un côté, les doctes (clergé académie) qui prônent le respect des règles imitées de l’antiquité (par exemple celle de la bienséance) dans un humanisme moral tourné vers une rigueur et l’éternité de l’œuvre. De l’autre, des poètes galants, ou des esprits nouveaux, critique de la génération des classiques de la cour, s’appuyant sur les goûts du public parisien.Perrault déclencha les hostilités le 27 janvier 1687, lorsqu’il présenta, à l’occasion d’une guérison de Louis XIV, à l’Académie française son poème Le siècle de Louis le Grand dans lequel il faisait l’éloge de l’époque de Louis XIV comme idéale tout en remettant en cause la fonction de modèle de l’Antiquité. La sortie de Perrault provoqua une protestation immédiate de la part de Boileau. La polémique enfla avec la publication par Perrault des quatre volumes du "Parallèle des anciens et des modernes" où il attaque les Anciens en comparant dans un dialogue fictif les réalisations des Anciens avec les réalisations modernes dans presque tous les aspects de la vie humaine. La polémique tournait essentiellement autour de deux modèles esthétiques opposés : le principe de l’imitation orienté vers l’Antiquité comme idéal de beauté absolu d’une part et d’autre part le principe du génie de l’imagination qui puise son inspiration en lui-même, et sur l’opposition entre la soumission à la superstition antique contre une critique cartésienne (Fontenelle)La belle Antiquité fut toujours vénérable ;Mais je ne crus jamais qu’elle fût adorable. Je voy les Anciens sans plier les genoux, Ils sont grands, il est vray, mais hommes comme nous ; Et l’on peut comparer sans craindre d’estre injuste, Le Siècle de LOUIS au beau Siècle d’Auguste. (Charles Perrault, Parallèle des anciens et des modernes en ce qui regarde les arts et les sciences.)Si tel est le débat manifeste, Fumaroli suppose d’autres enjeux : « tout au long de la Querelle, qu’il s’agisse d’Euripide ou d’Homère, ce sont, sous Louis XIV, les Anciens qui admettent ce qu’il y a de vif, de déconcertant, de déchirant dans la représentation de la vie humaine par les poètes antiques, tandis que les Modernes sont favorables à des conventions morales et esthétiques uniformes et confortables. » Pour lui, sous l’apparent progressisme des Modernes se cachaient aussi des enjeux de pouvoir. Boileau était proche de Port Royal. En défendant les Anciens, il aurait aussi défendu, au nom de la diversité des héritages, des marges de liberté dans la République des lettres.La Monnoye juge les positions des deux parties tellement déroutantes qu’il met les rieurs de son côté par cette épigramme : Boileau, Perrault, ne vous déplaise, Entre vous deux, changez de thèse : L’un fera voir par le Lutrin Que la muse nouvelle a le pas sur l’antique ; Et l’autre par le Saint-Paulin Qu’aux poètes nouveaux les anciens font la nique.(La Monnoye.)Finalement, Le Grand Arnauld dut s’entremettre pour réconcilier les parties et, le 30 août 1694, Perrault et Boileau s’embrassèrent en public à l’Académie française. La réaction du public de l’époque pourrait donner à penser que Perrault et son parti remportèrent la victoire dans cette polémique, mais il n’y eut pas de victoire nette. Le siècle de Louis XIV brille par les œuvres de ceux qui ont dépassé les « anciens » au-delà de leurs œuvres, en s’appuyant sur le génie propre de la langue et du siècle : Pascal souligne d’ailleurs que ceux que nous appelons les anciens, étaient des modernes en leur temps.Le débat connut un renouveau dans la deuxième décennie du XVIIIe siècle avec la mise en vers, en 1714, par Houdar de la Motte – à une époque où Perrault et Boileau étaient déjà morts – d’une traduction de l’Iliade publiée par Anne Dacier en 1699. Il y avait « corrigé » et raccourci l’original et l’avait accompagné d’une préface contenant un Discours sur Homère où il prend la défense des Modernes. Anne Dacier répliqua avec son Des causes de la corruption du goût où elle débat la question de la priorité de l’original ou d’une traduction, dans une prolongation d’une discussion du troisième dialogue du Parallèle de Perrault.Cette polémique, dans laquelle des auteurs aussi différents que Fénelon, l’abbé Terrasson et Jean Boivin intervinrent, s’acheva de même en 1716 avec une réconciliation personnelle des principaux acteurs. Elle est entrée dans l’histoire de la littérature sous le nom de Querelle d’Homère. Même avec l’épuisement du conflit, les répercussions de la querelle des Anciens et des Modernes ont continué de se faire sentir au cours du siècle des Lumières pour se poursuivre jusqu’à la querelle suscitée par le romantisme.Marivaux fut un des représentants importants du courant moderne au début du XVIIIe siècle, en établissant un genre tout à fait nouveau de théâtre, inconnu des Anciens, avec ses comédies morales et poétiques. Diderot poursuivra en définissant le genre du drame bourgeois, cette comédie larmoyante où la tragédie imminente était résolue avec des réconciliations vertueuses et des flots de larmes.La querelle des Anciens et des Modernes servit en fait de couverture, souvent pleine d’esprit, à des opinions opposées d’une portée beaucoup plus profonde. D’un côté, c’était l’idée même d’autorité qui était attaquée et de l’autre, le progrès. Le renouvellement de l’intérêt pour l’Antiquité à l’époque classique se traduisit par une réévaluation critique des acquis de l’Antiquité qui finit par soumettre les Écritures même à l’examen des Modernes. L’attaque de l’autorité en critique littéraire a eu des équivalences avec les progrès de la recherche scientifique. Le défi jeté à l’autorité par les Modernes dans le champ littéraire annonçait déjà les remises en question dont la politique et la religion allaient faire l’objet.Déjà inscrite dans une plus longue tradition européenne de contestation de structures semblables (en particulier à la Renaissance, lorsque Galilée ridiculise l’autorité accordée à Aristote dans son Dialogue des deux systèmes du monde), la querelle des Anciens et des Modernes déclenchée par la polémique entre Perrault et Boileau a pareillement été rapidement reçue au-delà des frontières françaises et adaptée aux situations locales.La Grande-Bretagne de l’époque prit la querelle des Anciens et des Modernes un peu moins sérieusement. William Temple prit le parti des Anciens dans son essai Essay upon the ancient and modern learning (Essai sur l’étude antique et moderne) (1690) en réaction à la Digression sur les Anciens et les Modernes (1688) de Fontenelle, qui reprend l’image selon laquelle « nous sommes des nains juchés sur des épaules de géant », image qui provoqua une avalanche de réponses. Le critique William Wotton, avec ses Reflections upon ancient and modern learning (Réflexions sur l’étude antique et moderne) (1694), le critique et classiciste Richard Bentley et Alexander Pope furent au nombre de ceux qui prirent le parti des Modernes à cette occasion. Bien que le débat ait été clos en Angleterre dès 1696, le sujet semble avoir stimulé l’imagination de Swift qui vit dans les camps opposés des Anciens et des Modernes un résumé de deux manières générales de regarder le monde. Ce thème est développé dans sa satire A Tale of a Tub (Conte du tonneau), composé entre 1694 et 1697 et publié en 1704, longtemps après la fin de la querelle en France. L’expression de « Bataille des Livres » vient de la satire publiée anonymement en 1704 par Swift, Full and True Account of the Battle fought last Friday between the Ancient and the Modern Books in St. James’s Library (Compte-rendu complet et véritable de la bataille survenue vendredi dernier entre les ouvrages antiques et modernes de la bibliothèque de St. James).La querelle des Anciens et des Modernes a eu une version allemande avec la polémique touchant au merveilleux entre Johann Christoph Gottsched, Johann Jakob Bodmer et Johann Jakob Breitinger. Johann Joachim Winckelmann a également joué un rôle important dans l’acclimatation de la querelle dans le monde germanophone avec, en particulier ses Gedanken über die Nachahmung der Griechischen Werke in der Malerei und Bildhauer-Kunst (Pensées sur l’imitation des œuvres grecques en peinture et en sculpture) (1755). Vers la fin du XVIIIe siècle, la thématique de la querelle des Anciens et des Modernes apparaît avec Herder, Schiller et SchlegelDans « De l'Allemagne » Germaine de Staël « appelle les Français à renouveler leurs modèles, à sortir des limites trop strictes du classicisme d’où bien peu cherchaient à s’évader, et que le pouvoir en place maintenait fermement » Face à la référence constante aux anciens qu’impose l’Empire, elle préfère la culture allemande d’un sentiment national libre, dans laquelle elle voit une création féconde. Ce texte introduit le romantisme en France.Son ami Benjamin Constant reprend sur un plan politique cette critique de l’imitation des anciens: dans son discours de 1819, il oppose « la liberté des anciens » à la « liberté des modernes ». Il faut adjoindre à la première, limitée à une dimension publique soumettant le citoyen à la grandeur de l’État, la défense de la seconde, l’espace autonome privé, affranchi du contrôle du pouvoir. Chateaubriand reprend sur un plan moins tranché certains aspects de la querelle (par exemple en préférant le merveilleux chrétien au classique). En ce sens les pensées « progressistes » et les mouvements littéraires romantiques et post romantiques qui insistent sur la liberté sont influencés par les modernes.Par opposition, on retrouve des échos de ce débat au XXe siècle, en général chez des penseurs post heideggériens, interrogeant la dérive d’un humanisme qui se soumettrait, depuis les Lumières, à la modernité, voire à la mode. Ils lui reprochent d’entraîner l’asservissement de la culture à l’étroitesse de la raison technicienne, et au mythe d’un progrès démocratique du « tout culturel ». Alain Finkielkraut par exemple, y voit une « défaite de la pensée », abandonnant l’exigence de la tradition. Il est reproché à cette critique des modernes un certain élitisme.Politiquement, c’est le philosophe Leo Strauss qui réactive dans la période contemporaine la thématique de la Querelle des Anciens et des Modernes. Il l’utilise pour souligner la différence entre l’expérience de la vie politique des Anciens et l’expérience des Modernes. Celle-ci s’enracine pour lui dans la colère antithéologique de Machiavel et de Hobbes, pour s’épanouir dans les nouvelles conceptions de la liberté issues du mouvement des Lumières. Pour lui, un des acteurs fondamentaux de cette querelle dans les temps modernes est Jean-Jacques Rousseau.Précieux exemplaire en reliure de l’époque, avec le quatrième volume dans le premier tirage de 1696, inconnu de Tchémerzine qui le cite à la date de 1697.L. Scheler, dans ses commentaires et addenda, annonce avoir rencontré un exemplaire de cette première édition, semblable à celui-ci : « le tome IV est daté de 1696 et comporte, relié en fin, un errata intitulé ‘Fautes à corriger’ tiré sur un feuillet indépendant et d’un papier plus épais. »Ce tome IV contient, de plus, une gravure à pleine page représentant « L’Arbre de Porphyre augmenté d’un degré métaphysique ». Bibliographie :Hubert Gillot, La Querelle des Anciens et des Modernes en France: De la Défense et Illustration de la langue française aux Parallèles des anciens et des modernes. Paris: Champion, 1914.Augustin Simon Irailh, Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des Lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Paris: Durand, 1761. Slatkine reprints, 1967.Anne-Marie Lecoq, La Querelle des Anciens et des Modernes : XVIIe-XVIIIe siècles. Précédé d’un essai de Marc Fumaroli, suivi d’une postface de Jean Robert Armogathe. Paris: Gallimard, 2001.Alain Niderst, « Les « Gens de Paris » et les « Gens de Versailles » dans Louise Godard de Donville », d’un siècle à l’autre : anciens et modernes. XVIe colloque, Janvier 1986. Paris: Éd. du CNRS, 1987. (Centre Méridional de Rencontres sur le xviie siècle ; 17) pp. 159-165.Hippolyte Rigault, Histoire de la querelle des anciens et des modernes. Paris: Hachette, 1856.Marc Fumaroli, La Querelle des Anciens et des Modernes + extraits, Paris, Gallimard-Folio, 2001.Charles Perrault a écrit deux grands livres : « Histoires ou Contes du Temps passé » Paris, 1697 et « Paralelle des Anciens et des Modernes » Paris, 1688-1696.L’on connait une dizaine d’exemplaires complets de l’édition originale de premier tirage des « Contes du Temps passé » et guère plus d’exemplaires de la « Querelle des anciens et des Modernes » complet du dernier volume à la date de 1696.Précieux exemplaire conservé dans ses reliures strictement de l’époque, avec, fait particulièrement rare, des fers absolument identiques sur les trois premiers volumes.‎

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‎MESNARD, Jean‎

Reference : 50294

(1965)

‎Lot de 47 tirés-à-part d'articles du professeur Jean Mesnard : La couleur du passé dans la Princesse de Clèves - L'Original des Pensées de Pascal avant et après Victor Cousin - Racine et Port-Royal : Autour d'un épisode inconnu - Allocution du Président au Le Congrès de l'Association Internationale des Etudes Françaises - Trois familles Girard dans la vie intellectuelle du XVIIe siècle - La fondation de l'Ecole Normale Supérieure - Saint François de Sales et la Vérité - Colomby et la diffusion de la doctrine Malherbienne - Conclusion. Les Mémoires comme genre - La théorie des figuratifs dans les "Pensées" de Pascal - Les Conversions de Pascal - Le Talent de Madame de Scudéry - Le Classicisme français et l'Expression de la sensibilité - Entre Pascal et Descartes : Jacques Habert de Saint-Léonard - Ouverture du Colloque La Découverte de la France au XVIIe siècle - De la Diversion au Divertissement - La Fontaine et les Gascons - Le Chapelet secret du Saint Sacrement - Sur un manuscrit inconnu des poésies chrétiennes de Godeau - Pourquoi les Pensées de Pascal se présentent-elles sous forme de fragments ? - Allocution de clôture du colloque sur La Pensée religieuse dans la littérature et la civilisation du XVIIe siècle en France - Préface de l'ouvrage "Culture et pouvoir dans les Etats de Savoie du XVIIe siècle à la Révolution - Un Evêque de Bazas solitaire de Port-Royal : Henri Litolfi-Maroni - Bremond et Port-Royal - Conclusion de "Présence de la guerre au XVIIe siècle" - Voltaire et Pascal - La culture d'un chanoine de Limoges au début du XVIIe siècle : Jean Decordes - Les origines grecques de la notion d'amour-propre - Jansénisme et littérature - L'automne de la Renaissance 1580-1630 - La rencontre de La Rochefoucauld avec Port-Royal - Pascal et la contestation - Deux poésies à restituer à Corneille - Desargues et Pascal - Pascal à l'Académie Le Pailleur - Edition critique de la lettre de Leibniz à Périer du 30 août 1676 - Baroque, science et religion chez Pascal - La crise de la conscience européenne : un demi-siècle après Paul Hazard - Un autographe de Pascal découvert aux Archives départementales du Puy-de-Dôme - Pascal et Bernard de Clairvaux - Aux origines de l'édition des "Pensées" : les deux copies - Pierre Nicole, ou le Janséniste malgré lui - Pour une édition critique des Lettres de la Mère Angélique - La construction de Port-Royal de Paris - Familles amies de Port-Royal : Les Lombert - Fidèles de Port-Royal en France et en Hollande du XVIIe au XIXe siècle - Editer des Oeuvres complètes. Le cas Pascal - ‎

‎47 tirés-à-part, éditeurs divers, 1960-2000. Rappel du titre complet : Lot de 47 tirés-à-part d'articles du professeur Jean Mesnard : La couleur du passé dans la Princesse de Clèves - L'Original des Pensées de Pascal avant et après Victor Cousin - Racine et Port-Royal : Autour d'un épisode inconnu - Allocution du Président au Le Congrès de l'Association Internationale des Etudes Françaises - Trois familles Girard dans la vie intellectuelle du XVIIe siècle - La fondation de l'Ecole Normale Supérieure - Saint François de Sales et la Vérité - Colomby et la diffusion de la doctrine Malherbienne - Conclusion. Les Mémoires comme genre - La théorie des figuratifs dans les "Pensées" de Pascal - Les Conversions de Pascal - Le Talent de Madame de Scudéry - Le Classicisme français et l'Expression de la sensibilité - Entre Pascal et Descartes : Jacques Habert de Saint-Léonard - Ouverture du Colloque La Découverte de la France au XVIIe siècle - De la Diversion au Divertissement - La Fontaine et les Gascons - Le Chapelet secret du Saint Sacrement - Sur un manuscrit inconnu des poésies chrétiennes de Godeau - Pourquoi les Pensées de Pascal se présentent-elles sous forme de fragments ? - Allocution de clôture du colloque sur La Pensée religieuse dans la littérature et la civilisation du XVIIe siècle en France - Préface de l'ouvrage "Culture et pouvoir dans les Etats de Savoie du XVIIe siècle à la Révolution - Un Evêque de Bazas solitaire de Port-Royal : Henri Litolfi-Maroni - Bremond et Port-Royal - Conclusion de "Présence de la guerre au XVIIe siècle" - Voltaire et Pascal - La culture d'un chanoine de Limoges au début du XVIIe siècle : Jean Decordes - Les origines grecques de la notion d'amour-propre - Jansénisme et littérature - L'automne de la Renaissance 1580-1630 - La rencontre de La Rochefoucauld avec Port-Royal - Pascal et la contestation - Deux poésies à restituer à Corneille - Desargues et Pascal - Pascal à l'Académie Le Pailleur - Edition critique de la lettre de Leibniz à Périer du 30 août 1676 - Baroque, science et religion chez Pascal - La crise de la conscience européenne : un demi-siècle après Paul Hazard - Un autographe de Pascal découvert aux Archives départementales du Puy-de-Dôme - Pascal et Bernard de Clairvaux - Aux origines de l'édition des "Pensées" : les deux copies - Pierre Nicole, ou le Janséniste malgré lui - Pour une édition critique des Lettres de la Mère Angélique - La construction de Port-Royal de Paris - Familles amies de Port-Royal : Les Lombert - Fidèles de Port-Royal en France et en Hollande du XVIIe au XIXe siècle - Editer des Oeuvres complètes. Le cas Pascal - ‎


‎Remarquable ensemble réunissant 47 tirés-à-part d'articles du Professeur Jean Mesnard. Ils proposent une passionnante plongée dans l'univers littéraire et historique du XVIIe siècle en général, de Pascal et de Port-Royal en particulier. De la bibliothèque de Jean Mesnard (1921-2016), l'éminent spécialiste de Pascal et de la littérature du XVIIe siècle, normalien, agrégé de lettres, professeur à la Sorbonne et doyen de l'Académie des Sciences Morales et Politiques.‎

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