Paris, La pensée universelle, 1980, in-8 broché, 350 pp. Bon état.
Reference : 4568
LE SERPENT QUI PENSE
M. ERIC BIBAULT
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Bruxelles, Editions de la Cité Chrétienne, 1934 16 x 25, 112 pp., broché, bon état (cachets du Collège jésuite Saint Stanislas à Mons)
Entrelacs London printed for T. Cadell and W. Davies 1811, 2 volumes In-8 plein veau de l'époque, dos lisses trés ornés de filets, fleurons et entrelacs dorés, piéces de titre et de tomaison. XV + 462 + XII + 544 pages. Mors un peu fragile, légérement fendus en partie supérieure néanmoins bel exemplaire dans une jolie reliure de l'époque. Quelques rousseurs.
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Éditions de la cité chrétienne 1934 109 pages in-8. 1934. broché. 109 pages.
Bon état légère usure de la couverture intérieur très bon . En partie non coupé
Desforges, Paris 1964, in-8 broché, 302pp avec 491 figures in-texte; très bon état
Paris chez l'auteur 1845 in-12 broché sous couverture imprimée, dos défraîchi, piqûres
3 ff.n.ch., xx, 300 pp., portrait-frontispice lithographié sous serpente.David, p. 245. Édition originale d'une des nombreuses productions d'un charlatan odontologique. Issu d'une famille juive néerlandaise, Benjamin Cohen (1818-1852) avait adopté un pseudonyme anglicisant afin de faciliter ses affaires en se faisant passer pour un praticien londonien diplômé de la faculté d'Édimbourg, où il affirmait avoir été "reçu" en 1833. Mais il n'avait pratiqué aucune étude. Il s'établit quand même comme dentiste à Paris en 1836. Dépourvu de tout diplôme, il fut condamné en première instance (décembre 1845) et en appel (février 1846) pour exercice illégal de la médecine à la suite d'une plainte déposée contre lui par Joseph Audibran et plusieurs autres membres de la Société de chirurgie dentaire de Paris. Ce jugement fut cependant cassé en mai 1846, la Cour de cassation ayant jugé que la pratique de la dentisterie ne s'apparentait pas à la médecine si elle ne s'étendait pas au traitement des maladies de la bouche