Paris, Typographie Plon, 1890, in-8 broché, 15 pp. Notes manuscrites jointes sur 2 feuillets.Plan dépliant. Rare. Couverture en bon état (petites déchirures), intérieur en très bon état.
Reference : 37998
LE SERPENT QUI PENSE
M. ERIC BIBAULT
06 34 99 23 95
CONDITIONS DE VENTE conformes aux usages de la librairie ancienne et moderne. Retours acceptés après accord préalable, sous 15 jours. EXPÉDITION : FRANCE : à partir de 5 € (tarif ajusté en fonction du poids des livres), Envoi en Mondial Relais (plus économique) ou par La Poste. Contactez-nous pour vérifier. EUROPE : à partir de 8 € (tarif ajusté en fonction du poids des livres), Envoi en Point Relais (plus économique) ou Livraison Postale. Contactez-nous pour vérifier. MONDE : Contactez-nous pour vérifier les possibilités et les frais d'envoi. - Expédition rapide après réception du règlement. Paiement par CHEQUE, par VIREMENT bancaire ou par PAYPAL. - Tous nos livres sont contrôlés et nettoyés. Tout défaut est signalé. Retour offert en cas d'erreur de la librairie.
Paris, E. Plon, Nourrit, 1890 in-8, [2] ff. n. ch., 15 pp., avec un plan dépliant hors texte de l'ancien cimetière de Clamart, broché.
Après son transfert du Panthéon le 21 septembre 1794, le corps de Mirabeau fut, après un passage au cimetière de Saint-Étienne du Mont, inhumé au cimetière de Clamart (ce lieu de sépulture, propriété des hôpitaux de Paris, était sis vers l'actuelle rue Scipion, et absolument pas sur la paroisse de Clamart), dans une fosse commune. À l'occasion des cérémonies du centenaire de la Révolution, en 1889, surgit l'idée de réinstaller l'ancien constituant au Panthéon ; des recherches furent effectuées à ce sujet sur l'emplacement de l'ancien cimetière, mais elles n'aboutirent pas. Georges Pallain (1847-1923), chargé d'un rapport au ministre, concluait pourtant : "On peut donc, en résumé, affirmer presque avec certitude que le corps de Mirabeau, jeté en 1791 à la fosse commune de Clamart, vers le milieu de l'enceinte, se trouve encore aujourd'hui au même lieu, devenu la cour d'une école municipale (...). Les résultats donnés par les différents travaux dont le terrain a été l'objet depuis cent ans permettent, en outre, de supposer que le corps, renfermé dans un cercueil de plomb scellé d'une plaque de cuivre portant le nom de Mirabeau serait encore aujourd'hui tout au moins reconnaissable". Cette étude fait curieusement l'impasse sur le transfert intermédiaire, et la découverte, en 1801, du cercueil vide de l'orateur, au dépôt mortuaire du Panthéon.Au CCF, exemplaires signalés seulement à la BnF et à Orléans. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT