Paris, Lecène et Oudin, Nouvelle bibliothèque littéraire, 1888, in-12 demi-chagrin noir, dos 5 nerfs, lettres dorées, 310 pp. Couverture en bon état (légers frottements), intérieur en bon état (rousseurs éparses).
Reference : 33670
LE SERPENT QUI PENSE
M. ERIC BIBAULT
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Editions Grasset. 1938. In-8° broché. Couverture illustrée. 2 planches hors texte. 300 pages. E.O. 1/265 sur alfa. [6 Montval / 16 vélin pur fil / 265 alfa].
Très propre
Paris, Nelson, sans date. Minuscule (6 x 9 cm.), plein daim violet, gardes marbrées, titre doré au dos, tranches dorées.
Grenoble. Editions Dardelet. 1980. Grand in-8° broché. Couverture illustrée de deux sépias du peintre Loÿs Prat. 16 planches hors texte. 70 pages. E.O.
Très bon état.
Magnifique exemplaire, assurément l’un des plus beaux connus, revêtu d’éblouissantes reliures en maroquin de l’époque signées de Lefebvre, bien complet des Mémoires de Coulanges. Paris, J.J. Blaise, Libraire de S.A.S. Madame la Duchesse d’Orléans, 1818. 12 volumes. - Mémoires de M. de Coulanges, suivis de Lettres inédites de Madame de Sévigné, de son fils, de l’abbé de Coulanges, d’Arnauld-d’Andilly, d’Arnauld de Pomponne, de Jean de La Fontaine… Paris, J.J. Blaise, Libraire de S.A.S. Madame la Duchesse d’Orléans, 1820. 1 volume. Soit 13 volumes in-12, maroquin bleu nuit à grain long, roulette à fond perlé sertie de filets droits autour des plats, dos lisses ornés d’un décor doré à fond criblé, damiers dorés en pied, chaînette intérieure dorée, doublures et gardes de tabis parme, tranches dorées. Riche reliure de l’époque signée Lefebvre. 162 x 98 mm.
Précieuse édition collective originale de format in-12 des « Lettres de Madame de Sévigné ». Première édition critique des Lettres de Madame de Sévigné, établie par Louis-Jean-Nicolas Monmerqué (1780-1860). Parues en 1818, en 10 volumes in-8, chez J.J. Blaise, celui-ci en donna la même année cette édition en 12 volumes in-12. Les Mémoires de M. de Coulanges parurent simultanément en 1820 dans les deux formats. Tchemerzine loue grandement la première édition critique de Monmerqué imprimée en 1818. « Les éditions les plus complètes et les meilleures de Mme de Sévigné sont les éditions du XIXe siècle. La première édition critique est celle de Monmerqué [Paris, Impr. De P. Didot l’aîné : J.J. Blaise, 1818-1819, 10 vol. in-8] ; elle contient près de cent lettres inédites et plus de trois cents fragments également inédits. » (Tchemerzine, V, 829). « L’édition Monmerqué de 1818 est la meilleure que l’on eût jusqu’alors de cette immortelle correspondance (elle est ornée ici de 4 portraits, 6 fac-similé et une planche de monnaie). Il est convenable de réunir à cette édition le volume intitulé : Mémoires de M. De Coulanges ; suivis de Lettres inédites de Mme de Sévigné, de son fils, de l’abbé de Coulanges… Paris, Blaise, 1820, in-8 ». Brunet. Ces deux volumes sont ici réunis. « M. de Monmerqué a fait jouir le public du véritable texte de madame de Sévigné, par une édition augmentée de quatre-vingt-quatorze Lettres inédites, de deux cent quarante-six Lettres auxquelles il a restitué des passages également inédits, et de deux cent cinquante-six Lettres, ou qui n’avaient pas été réunies à la collection, ou dans lesquelles il a été rétabli des passages imprimés en 1726, en 1734, mais retranchés ensuite par des considérations qui n’existent plus. En conférant les diverses éditions originales, en méditant les mémoires du temps, il a rétabli une foule de passages omis ou altérés, et il a résolu des difficultés sans nombre. Les avantages d'un travail aussi précieux sont développés par l’éditeur dans une Notice bibliographique ; et M. de Saint-Surin y a joint une Notice fort étendue sur madame de Sévigné, sur sa famille et ses amis. Cette édition est le résultat de tant de recherches, qu’on peut la considérer comme la source où puisent avec plus ou moins de liberté tous ceux qui réimpriment les Lettres de notre inimitable épistoliaire ». Le dernier volume est terminé par une table analytique et alphabétique. Quelques exemplaires de luxe furent imprimés sur papier vélin. Magnifique exemplaire, assurément l’un des plus beaux connus, revêtu d’éblouissantes reliures en maroquin de l’époque signées de Lefebvre, bien complet des Mémoires de Coulanges. Neveu par alliance de Jean-Claude Bozérian, Lefebvre travailla un temps avec son oncle, avant de reprendre son atelier lorsque celui-ci se retira vers 1810. Il exerça jusque vers 1831. Le vocabulaire ornemental utilisé ici est d’un grand raffinement, en particulier le damier doré repris en pied de chaque volume. Exposition : Culot (P.), Relieurs et reliures décorées en France aux époques Directoire et Empire, Bibliotheca Wittockiana, 16 sept. 2000 - 10 févr. 2001, Bruxelles, n°85, avec reproduction.
Lettres de Madame de Sévigné de sa famille, et de ses amis, avec les notes de tous les commentateurs, 12 tomes COMPLET chez Sautelet, Libraire-Éditeur en 1826. Le livre est illustré de 2 frontispices. Le livre mesure 14x21 cm et pèse 6,700 kg (c) pour 255 463 460 464 462 462 462 463 464 455 471 395 pages. Reliure d'époque cartonnée. Le livre est en très bon état, rousseurs claires peu présentes.
AVERTISSEMENT. Après un grand nombre d'éditions, ce n'est que très récemment que les Lettres de ma dame de Sévigné ont été imprimées dans toute leur intégrité, et que les endroits susceptibles de mettre en défaut la pénétration du lecteur ont été éclaircis par des notes intéressantes, fruit de longues et judicieuses recherches. Le talent épistolaire de madame de Sévigné fut d'abord révélé au public par un petit nombre de lettres à son cousin Bussy, insérées dans les mémoires et dans la correspondance de ce dernier, qui parurent en 1696 et 1697. Elles furent remarquées des gens de goût; Bayle particulièrement en porta le jugement le plus favorable. Trente ans après, un des fils de Bussy fit paraître à La Haye, en deux volumes in-12, d'après un recueil manuscrit que lui avait remis madame de Simiane, une suite de lettres écrites par madame de Sévigné à ma dame de Grignan, sa fille. On en publia dans la même année (1626) deux autres éditions, l'une à Rouen, l'autre à La Haye. Madame de Simiane n’avait probablement pas eu l'intention de livrer au public la correspondance domestique de son aïeule. Dans sa famille, on voulait, disait-elle, avoir de l'esprit impunément. Ces deux volumes furent lus avec avidité; mais un grand nombre de réclamations s'étant élevées sur plusieurs passages de ces lettres, qui présentaient soit des faits soit des opinions peu favorables à quelques personnes très connues, madame de Simiane s'empressa de désavouer cette publication. Le succès croissant d'une autre édition, donnée en 1733, en trois volumes in-12, détermina la famille de madame de Sévigné à en faire paraître une nouvelle, où d'importantes augmentations compensaient en quelque sorte la suppression des passages qui avoient excité des plaintes. On y retranchait aussi quelques phrases qui donnaient lieu de penser que l'harmonie n’avoir pas constamment régné entre la mère et la fille. Cette édition, préparée par le chevalier de Perrin, vit le jour en 1734, en quatre volumes in-12. Elle fut augmentée de trois volumes en 1737. En 1754, après la mort de madame de Simiane, le chevalier de Perrin en donna encore une en huit volumes in-12, qui offrait à-la-fois des additions et des suppressions nou...