‎MONTROSIER Eugène / JACQUET‎
‎JACQUET‎

‎"Extrait des ""Artistes Modernes"" 1881, format in-4, 3 pages de texte (première page ornementée par G. Fraipont) suivies d'une gravure pleine page en bistre et accompagné d'une gravure hors-texte reproduisant une toile (photogravure, sous serpente légendée). " Quelques rousseurs sinon bon état.‎

Reference : 3079


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€15.00 (€15.00 )
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LE SERPENT QUI PENSE
M. ERIC BIBAULT

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‎[Maurice Delcourt] - ‎ ‎Marcel Schwob‎

Reference : DMI-946

(1894)

‎La Croisade des Enfants relié avec Mimes Éditions originales. 2 envois autographes signés à Claudius Jacquet et Edmond Aman-Jean + 2 lettres autographes signées de Marcel Schwob. ‎

‎ENSEMBLE EXCEPTIONNEL ET UNIQUE Marcel Schwob (1867-1905) La Croisade des Enfants Paris, Mercure de France, 1896, 81 p., couverture illustrée par Maurice Delcourt. Édition originale rarissime et recherchée. Envoi autographe signé de l'auteur "à Claudius Jacquet / en très vive sympathie". 1 des 460 sur papier vergé à la forme après 25 hollande, 10 Japon Impérial, 5 Chine. RELIÉ PAR J. VIEULLE AVEC Marcel Schwob (1867-1905) Mimes avec un prologue et un épilogue par Marcel Shwob Paris, Mercure de France, 1894, 83 p. 2e édition parue l'année de l'originale après celle épuisée comportant une couverture illustrée de Jean Veber + exceptionnel envoi autographe signé au peintre Edmond Aman-Jean : "à Aman Jean / son admirateur / Marcel Schwob / Le Mime XVIII a été écrit pour Aman Jean". L'exemplaire est truffé de deux lettres autographes signées de Marcel Schwob à la famille Jacquet : 1. Lettre autographe signée de Marcel Schowb à Claudius Jacquet (ou Edmond Aman-Jean), Paris, [1896], 1 f., 1 p. Document contrecollé sur un feuillet avant la page de faux-titre. "Paris, 2 rue de l'Université / dimanche Cher Ami. Par le plus grand des hasards, je déjeunais hier avec Paul Arène, ce qui m'a obligé à sortir. Pardon, et à samedi sans faute. J'ai ton ms. chez moi. Apporte-moi des nouvelles. Je te suis bien reconnaissant de ce que tu m'apprends pour Haraucourt et Ferrari. Je passerai voir Ferrari cette semaine. Donc à samedi et bonne chance pour ta licence. Yours Marcel Schwob" 2. Carte de visite autographe signée de Marcel Schowb à Madame Claudius Jacquet, Angela Gras, fille de Felix Gras, sans lieu ni date [1901], 1 f., 2 p. Document volant inséré dans l'exemplaire par Claudius Jacquet. "[Marcel Schwob] prie madame C. Jacquet de l'excuser si un bien cruel deuil l'empêche de venir féliciter les nouveaux mariés auxquels il souhaite le bonheur" Claudius Jacquet, secrétaire et collaborateur de la Nouvelle Revue, épousa en 1901 Angela Gras, la fille de Félix Gras. Le félibre mourut d'ailleurs l'année du mariage de sa fille. Claudius Jacquet fut également le beau-frère du peintre Edmond-Jean dont il semble avoir récupéré un certain nombre de livres qu'il a souvent fait relier avec les siens. In fine, Claudius Jacquet a fait relier dans l'exemplaire l'article qu'il avait consacré aux Vies Imaginaires (Paris, Charpentier, 1896) de Marcel Schwob dans la Nouvelle Revue du 1er octobre 1896. Ces deux éditions originales de Marcel Schwob sont extrêmement rares, même en tirage courant. Celles avec envoi encore plus recherchées. Les Mimes, publiés d'abord dans L'Écho de Paris, puis en volume en 1893 dans une édition confidentielle au Mercure de France consistant en une reproduction autographique du manuscrit de l'édition publiée en 1894, sont une adaptation libre de fragments de poèmes d'Hérondas, découverts deux ans auparavant. À partir d’une forme ancienne, le mime antique, Schwob construit un genre au croisement du conte et du poème en prose. La Croisade des enfants parait en 1896 au Mercure de France. L'argument est le départ, en 1212, de milliers d'enfants pour la Terre sainte, et qui furent pour la plupart massacrés ou réduits en esclavage. Le volume, très court se compose de huit versions des événements, racontés par huit personnages différents — un lépreux, un clerc, un enfant, le pape. Ensemble exceptionnel. Envoi soigné avec suivi, assurance et remise contre signature. ‎


Librairie À la Demi-Lune - Aigues-Vives

Phone number : 06 22 83 47 26

EUR2,800.00 (€2,800.00 )

‎Edmond de Goncourt (1822-1896) / Jules de Goncourt (1830-1870)‎

Reference : DMI-952

(1901)

‎L'Art du XVIIIe siècle + carte de visite autographe d'Edmond de Goncourt à Claudius Jacquet signalant la réouverture du Grenier. ‎

‎Edmond de Goncourt (1822-1896) Jules de Goncourt (1830-1870) L'Art du XVIIIe siècle Paris, Bibliothèque-Charpentier / Fasquelle, 1901-1902, 413 + 452 + 455 p. [3 tomes reliés en 2 volumes], reliure de l'époque au chiffre de Claudius Jacquet signée par J. Vieulle + carte de visite autographe d'Edmond de Goncourt, 53 boulevard de Montmorency (Auteil) à Claudius Jacquet lui signalant la "réouverture du grenier", contrecollée sur la page de faux-titre du tome 1. Belle édition de ce classique de la littérature artistique du XIXe siècle consacré à Watteau, Chardin, Boucher, La Tour, Greuze, Les Saint-Aubin, Gravelot, Cochin, Eisen, Moreau, Debucourt, Fragonard, Prudhon. Les frères Goncourt commencent à écrire sur l'art en tant que chroniqueurs dans de petits journaux. Ils ont reçu une formation artistique (Edmond a fréquenté l'atelier du peintre Dupuis), ils pratiquent tous deux l'aquarelle, leur ami et mentor Paul Gavarni les met en relation avec certains des artistes dont ils rendent compte dans leur Salon de 1852 : Charles Jacque, Célestin Nanteuil, Félix Haffner, Guiseppe Palizzi, Amédée Servin. D'entrée de jeu, ils seront ainsi sensibilisés aux techniques artistiques. C'est la pratique de la collection qui va ensuite les conduire vers la recherche historique, même si l'attention à l'art contemporain ne se démentira jamais, comme en témoigne le Journal, régulièrement tenu de 1851 à 1896. Au contact d'une tante, Edmond a acquis tout jeune le goût de chiner et commence assez tôt à acheter estampes et dessins à des prix abordables. Par ailleurs, traduits en 1853 devant la 6e chambre correctionnelle pour un article jugé trop licencieux, les Goncourt s'écartent du journalisme et se lancent dans l'écriture d'une fresque historique, qui s'appuie sur toute une collection de brochures et de petits journaux d'époque empruntés à un confrère. Dans cette Histoire de la société française pendant la Révolution (1854), un chapitre est consacré à l'art, dans ses aspects institutionnels et idéologiques (la suppression de l'Académie de peinture, l'influence de David, le vandalisme révolutionnaire). Dans le volume suivant (Histoire de la société française pendant le Directoire, 1855), le chapitre sur l'art – publié simultanément sous forme d'extrait dans L'Artiste – comprend de rapides portraits d'artistes : Gérard, Girodet, Guérin, Isabey, Carle Vernet, Houdon et surtout Prud'hon. D'autres vont suivre, plus étoffés, suscités par la rencontre de tel ou tel document (manuscrit, estampe, dessin) : L'Artiste publie plusieurs études des deux frères sur le graveur Le Bas (juillet-août 1856), sur Watteau (septembre 1856), sur le peintre Doyen (novembre 1856), sur les Saint-Aubin, famille de dessinateurs (octobre 1857) : le XVIIIe siècle apparaît bien alors, tant au niveau de la collection que de l'écriture historique, comme l'époque de prédilection. Ces études sont ensuite, pour certaines, reprises en volumes aux côtés d'autres portraits, d'érudits, d'hommes de lettres (Portraits intimes du XVIIIe siècle, 1857-1858).Parallèlement, et selon la même méthode qui accorde une place essentielle aux documents autographes largement cités, à une iconographie finement décrite, les Goncourt se lancent dans de vastes monographies d'actrices (Sophie Arnould, d'après sa correspondance et ses mémoires inédits, 1857), de reines (Histoire de Marie-Antoinette, 1858), de favorites (Les Maîtresses de Louis XV, 1860).Au seuil des années 1860, la rencontre de collectionneurs de tableaux du XVIIIe siècle (les frères Marcille, Louis Lacaze, Laurent Laperlier, François Walferdin), la visite de l'exposition Tableaux et Dessins de l'école française, principalement du XVIIIe siècle, tirés de collections d'amateurs présentée de juillet à décembre 1860 boulevard des Italiens (Francis Haskell en a souligné le rôle décisif dans l'évolution du goût) et la découverte la même année des grands musées allemands et autrichiens permettent aux Goncourt le contact direct avec la peinture du XVIIIe siècle, à une époque où elle est encore peu représentée dans les musées français et surtout connue par le biais d'estampes. Cette expérience capitale, conjuguée à l'érudition minutieuse et au fétichisme documentaire précédemment mis en œuvre, va nourrir le vaste projet de L'Art du XVIIIe siècle. Au printemps 1868, chassés par le bruit de la rue Saint Georges, Edmond et Jules de Goncourt quittent leur appartement pour s'installer dans un petit hôtel particulier d'Auteuil. C'est à cette adresse, 53 boulevard de Montmorency, qu'ils espèrent trouver le calme au milieu de leurs œuvres d'art, notamment des bronzes japonais et des porcelaines de Chine. La proximité d'une voie ferrée les oblige à faire d'importants travaux qui dureront plusieurs mois. Après le décès de Jules le 20 juin 1870, Edmond envisage de louer la maison qui pendant le siège de Paris sera touchée par un petit obus, l'un des derniers tirés par les Versaillais. A l'automne 1884, Edmond de Goncourt décide d'ouvrir à ses amis le Grenier, ce qui avait été aussi le vœu de son frère. Il note dans le Journal : «Le haut de ma maison, je le bouscule et jette à bas les cloisons et cherche à faire des trois pièces du second sur le jardin une espèce d'atelier sans baie pour y installer, à la sollicitation de mes amis de la littérature, une « parlote » littéraire le dimanche.» Parmi les nombreux écrivains admis à fréquenter le Grenier on retrouvera les « dix hommes de lettres de talent » qui vont former la première académie. Il semble que Claudius Jacquet faisait également parti des intimes. Claudius Jacquet, secrétaire et collaborateur de la Nouvelle Revue, épousa en 1901 Angela Gras, la fille de Félix Gras. Le félibre mourut d'ailleurs l'année du mariage de sa fille. Claudius Jacquet fut également le beau-frère du peintre Edmond-Jean. Envoi soigné avec suivi, assurance et remise contre signature. ‎


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EUR150.00 (€150.00 )

‎Jules Case‎

Reference : DMI-816

(1892)

‎Ensemble de correspondances adressées à Juliette Adam et Claudius Jacquet de La Nouvelle Revue‎

‎Jules Case, ensemble de correspondances adressées à Juliette Adam et Claudius Jacquet de La Nouvelle Revue, soit 3 lettres autographes signées et une carte pneumatique autographe signée, entre 1892 et 1899. Dans la 1ère lettre adressée à Juliette Adam, la plus intéressante, Jules Case décline une invitation et regrette de ne pas pouvoir dire au peintre Edmond Aman-Jean combien il se réjouit de son succès à l'exposition du Salon de la Société Nationale des beaux-arts au palais du Champ-de-Mars : "j'avais prévu, il y a quelques mois, dans on atelier, surtout devant le portrait de Mademoiselle Thadée qu'il serait le "clou" de l'Exposition. L'expression est bien laide, mais elle a cours "n ce moment. En tout cas, je ne me suis pas trompé — et on ne pouvait pas se tromper". Thadée Claudius-Jacquet, artiste-peintre, était l'épouse d'Edmond Aman-Jean et la soeur de l'écrivaine Andrée Viollis. Claudius Jacquet étant le beau-frère d'Aman-Jean, il y a fort à parier qu'il était le frère de Thadée et Andrée, mais aucun élément bibliographique ne permet de le confirmer. Les 3 autres autographes, adressés à Claudius Jacquet, secrétaire de la rédaction de la revue, concernent des rdv avec Jacquet ou Juliette Adam, ainsi qu'une collaboration au journal L'Épatant. ‎


Librairie À la Demi-Lune - Aigues-Vives

Phone number : 06 22 83 47 26

EUR120.00 (€120.00 )

‎Léon A. Daudet‎

Reference : DMI-849

(1896)

‎Le Voyage de Shakespeare. Édition originale. Envoi autographe signé à Claudius Jacquet. Lettre autographe signée à Juliette Adam. ‎

‎Léon A. Daudet, Le Voyage de Shakespeare, Roman d'histoire et d'aventures, Paris, Bibliothèque Charpentier, 1896, 352 p., relié, édition originale. Reliure signée J. Vieulle au chiffre de C.J. (Claudius Jacquet, secrétaire de la Nouvelle Revue), demi-basane, ornementation et titres dorés, dos lisse éclairci. Couvertures conservées. Quelques rousseurs sur la page de titre et de faux-titre. Exemplaire unique de Claudius Jacquet (provenance) avec un envoi de Léon Daudet sur la page de faux-titre : "à mon confrère / Claudius Jacquet / très sympathiquement / Léon Daudet." Jacquet, secrétaire de La Nouvelle Revue dirigée par Juliette Adam a également truffé son exemplaire, comme à son habitude, d'un autre document autographe : une très belle lettre de Daudet à sa "bien chère patronne", Juliette Adam, au sujet de la publication de son Voyage de Shakespeare, en cinq parties, dans La Nouvelle Revue, en 1895 : "Je suis ravi. On n'a pas sali mon manuscrit. Comme il s'agit d'un voyage et que je puis arrêter mon héros où il me plait ; comme d'autre part le livre sera très gros" (environ 10 parties de 30 pages de revue !) et que vous ne pouvez me donner que la valeur de 5 parties de 30 pages, je vous demande de ne rien couper, rien retrancher, pour laisser à la suite sa force et sa vigueur. Nous arrêterons la chose à la fin de la cinquième partie tout simplement. Et tant mieux et pour le lecteur et pour moi que ce livre soit divisé plutôt que machonné. Cet arrêt, je le répète n'aura pas d'importance, et Shakespeare aura aussi bien pu se fatiguer de courir en Allemagne qu'au Danemark." etc. Comme l'indiquait Daudet dans ses souvenirs de l'entre-deux-guerres : "j'admire et je vénère Madame Edmond Adam. Il y a un quart de siècle que je l'appelle "ma chère patronne". Elle a publié mes premier essais. Elle m'a guidé maternellement à travers les pièges de la littérature et du journalisme, qui guettent les débutants." Très bel exemplaire, richement truffé, de ce voyage imaginaire décrivant avec poésie comment Shakespeare découvrit à l'occasion d'un voyage Europe, quittant Douvres pour Rotterdam en 1584, à 20 ans, à bord du Triton, toute la matière de ses drames à venir. On assiste ainsi à la genèse du génie dramaturge et aux causes qui l'ont éveillé, tout en traversant avec une très grande précision historique et esthétique l'Allemagne, la Hollande et le Danemark du 16e siècle. Le Voyage de Shakespeare rencontra un beau succès critique à sa parution en janvier 1896. Dès le mois de février, Steinlen en donna une version illustrée dans le Gil Blas illustré. ‎


Librairie À la Demi-Lune - Aigues-Vives

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EUR250.00 (€250.00 )

‎Général Antoine Drude‎

Reference : DMI-832

(1914)

‎Carte autographe signée à Claudius Jacquet à Oran‎

‎Général Antoine Drude et son épouse, carte autographe signée à Claudius Jacquet et son épouse Angèle Jacquet (née Angèle Gras, fille du félibre Félix Gras), vers 1914-1916, Oran, 1 carte recto-verso, 10,5x6,5cm. Le général Drude (1853-1943) remercie Jacquet et son épouse pour leur bienveillance à l'occasion de la traversée France-Algérie ou Algérie-France sous l'égide du capitaine Jean-Marie Goudot (1886-1967). La carte doit dater des années 1910. Claudius Jacquet est secrétaire de la préfecture d'Alger à partir de 1914. Son épouse, Angèle, décède en 1917 à Alger des suites d'une longue maladie, à 32 ans seulement. ‎


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