Paris, GALLIMARD, L'imaginaire, 1985, in-12 broché, 162 pp. Couverture en bon état, intérieur en TRES BON ETAT
Reference : 18601
LE SERPENT QUI PENSE
M. ERIC BIBAULT
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Paris, Gallimard, 5 mars 1958. In-12, broché, 162 pp, plus table. Portrait de l'auteur en frontispice.
Premier tirage posthume sans grand papier annoncé (mention de 4ème édition). Bel exemplaire en parfait état.Henri Calet est mort en 1956, à cinquante-deux ans, d'une crise cardiaque, ce roman sortit à titre posthume. Cet ouvrage, d'un genre hybride, n'est ni une autobiographie ni un roman. Plutôt un fourre-tout, un herbier comme Calet se plaisait à parler de ses livres où il insérait des personnages entrevus, séchés. Au-delà de l'humour, ce document est révélateur de la façon de travailler de Calet. On y trouve le souffle discret de ce dur combat avec la vie, puis avec la mort. Les derniers mots de son dernier livre " Peau d'ours " sont devenus célèbres et le caractérisent bien : " Ne me secouez pas, je suis plein de larmes. " Photos sur demande.
Paris, Gallimard, 5 mars 1958. In-12, broché, 162 pp, plus table. Portrait de l'auteur en frontispice.
Edition originale posthume sans grand papier annoncé. Exemplaire du S. P. Bel exemplaire en parfait état.Henri Calet est mort en 1956, à cinquante-deux ans, d'une crise cardiaque, ce roman sortit à titre posthume. Cet ouvrage, d'un genre hybride, n'est ni une autobiographie ni un roman. Plutôt un fourre-tout, un herbier comme Calet se plaisait à parler de ses livres où il insérait des personnages entrevus, séchés. Au-delà de l'humour, ce document est révélateur de la façon de travailler de Calet. On y trouve le souffle discret de ce dur combat avec la vie, puis avec la mort. Les derniers mots de son dernier livre " Peau d'ours " sont devenus célèbres et le caractérisent bien : " Ne me secouez pas, je suis plein de larmes. " Photos sur demande.