Bernard Coutaz, 1988, in-8 broché, non paginé (environ 200 pp). Trace de mouillure en marge en fin de volume, sinon tr!s correct, état d'usage.
Reference : 17034
LE SERPENT QUI PENSE
M. ERIC BIBAULT
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Bernard Coutaz, 1988, 208 p., in-8 br., coll. "Domaine musical", avec la collaboration de la Bibliothèque Musicale Gustav Malher de Paris, texte trilingue en français-anglais-allemand, ill. dessins, très bon état
Un livre où les compositeurs sont caricaturés par des dessinateurs mais aussi férocement critiqués par certains de leurs pairs. Le portrait de Ludwig van Beethoven réalisé par David Smith en 1887 s’accompagne ainsi de cette pique de Luigi Cherubini: « Cette musique nouvelle me fait éternuer ». Autre petite phrase accompagnant un portrait de Gabriel Fauré par Della Sudda: « Trop de distinction, c’est de la préciosité, trop de délicatesse , c’est de l’inconsistance ». Bartok, enfin, dessiné par Aline Fruehaup en 1928, s’accompagne d’un légende de Julius Korngold: « Le piano devient une machine, l’orchestre un atelier, tout ceci donne un bruit cruel et matérialiste et prétend être une sorte d’art mécanique hungaro-russo- bolchévique ». Signée David Levine, la caricature de John Cage s’accompagne de cette salve de Pierre Boulez: « Rafraîchissant mais pas très intelligent. Sa fraîcheur provient en fait d’une absence de connaissance ». « Face à l’assaut des humoristes, il serait vain de croire qu’une quelconque solidarité rapproche les hommes de musique. Bien au contraire et traditionnellement ils s’acharnent les uns sur les autres avec une férocité sanguinaire qui ramène les caricaturistes au rang d’enfants de choeur »
Paris, 1988, in-8, 206pp, broché, Superbe exemplaire abondamment illustré! 206pp