Paris, A l'Enseigne du Cheval Ailé, La diffusion du livre & Librairie Ch. Béranger, 1948, in-12 broché, 280 pp, avec 17 planches hors-texte. Traces d'usures au dos, intérieur défraîchi, en grande partie non coupé.
Reference : 13986
AUTRES TITRES DISPONIBLES du même auteur.
LE SERPENT QUI PENSE
M. ERIC BIBAULT
06 34 99 23 95
CONDITIONS DE VENTE conformes aux usages de la librairie ancienne et moderne. Retours acceptés après accord préalable, sous 15 jours. EXPÉDITION : FRANCE : à partir de 5 € (tarif ajusté en fonction du poids des livres), Envoi en Mondial Relais (plus économique) ou par La Poste. Contactez-nous pour vérifier. EUROPE : à partir de 8 € (tarif ajusté en fonction du poids des livres), Envoi en Point Relais (plus économique) ou Livraison Postale. Contactez-nous pour vérifier. MONDE : Contactez-nous pour vérifier les possibilités et les frais d'envoi. - Expédition rapide après réception du règlement. Paiement par CHEQUE, par VIREMENT bancaire ou par PAYPAL. - Tous nos livres sont contrôlés et nettoyés. Tout défaut est signalé. Retour offert en cas d'erreur de la librairie.
P., La Diffusion du Livre et Librairie Ch. Béranger / A l'Enseigne du Cheval Ailé, 1948, pt in-8°, 277 pp, 17 planches de photos et fac-similés hors texte, broché, bon état
"Le Président Pierre Laval a été fusillé le 15 octobre. C’est le lendemain de sa mort que nous prenions connaissance de ses réponses aux derniers chefs d’accusation. Ce fait seul suffit à souligner la précipitation de l’instruction, la précipitation des débats, la précipitation de l’exécution..." (Jacques Baraduc et Albert Naud, avocats de Laval, le 30 octobre 1945) — "L'ouvrage est divisé en chapitres sans lien les uns avec les autres qui répondent aux différents points de l'accusation lancée contre lui, réponses qui, sans aucun doute, auraient été efficaces dans une Cour de Justice si elles y avaient été prononcées... Il est difficile de ne pas arriver à cette conclusion que Laval fut simplement le plus germanophile des attentistes. (...) On trouve quelques détails utiles sur les événements qui se produisirent (ou tels que Laval aurait voulu se convaincre qu'ils se produisirent) à Bordeaux en juin 1940 et à l'Assemblée nationale en juillet. Montoire fut l'oeuvre de Pétain plus que celle de Laval et n'occupe que peu de place. D'un autre côté, on lira un long et amer récit de sa destitution en décembre. Laval semble sur un terrain plus solide quand il affirme qu'il n'a jamais partagé la haine de Pétain pour les institutions républicaines et il a écrit quelques pages curieuses sur sa tentative d'établir M. Herriot à Paris à l'époque de la retraite allemande..." (A. J. P. Taylor, Revue Historique, 1949)