Paris, Alphonse Lemerre, 1894, in-16 broché, illustrations de Orazi, gravées par F. Horrie, 157 pp. Quelques rousseurs sur la couverture, sinon bon état.
Reference : 11377
Roman
LE SERPENT QUI PENSE
M. ERIC BIBAULT
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Paris, Calmann-Lévy, 1895. 410 g In-8, plein maroquin, roulette intérieure, [2] ff., iii-96 pp., [1] f.. Illustré de 7 planches hors-texte en héliogravure d'après Henri Scheffer et Ary Renan ou d'après une photographie pour le portrait d'Henriette Renan. Première réimpression depuis la première édition très rare de 1862 qui n'était pas illustrée. Clouzot, 231; Vicaire, VI, 1015. Souvenirs où Renan évoque sa soeur Henriette ainsi que la ville de Tréguier, lieu de son enfance. Reliure signée H. Wood. Ex-libris George Stacey Albright. Dos passé, petites rousseurs, déchirure à une serpente. . (Catégories : Littérature, Bretagne, )
P., Didier et Cie, 1884, in-12, vi-257 pp, 2e édition revue, un fac similé dépliant hors texte, broché, qqs rares rousseurs, bon état
Henriette-Marie est la fille de Henri IV et l'épouse de Charles Ier d'Angleterre. Elle naquit au Louvre le 25 novembre 1609, soit un an avant l'assassinat de son père. Elle était la sixième enfant et la troisième fille d'Henri IV et de Marie de Médicis. Elle épouse sur la volonté de son frère Louis XIII, en 1626, Charles Ier d'Angleterre qui était le petit fils de Marie Stuart. Ce fut Buckingham qui vint chercher la jeune reine à Paris pour la présenter à son mari le roi d'Angleterre qui n'avait pas pu se déplacer. C'est au cours de cette cérémonie qui eut lieu au Louvre que se tissèrent les liens mystérieux entre le duc de Buckingham et Anne d'Autriche, raconté à sa façon par Alexandre Dumas dans “Les trois mousquetaires”. La première partie de la vie d'Henriette-Marie, dont le portrait se trouve à l'ambassade d'Angleterre à Paris, fut assez mouvementée, jusqu'au moment où elle fut obligée de fuir l'Angleterre à cause des rivalités entre son mari et Cromwell qui finira par le faire exécuter. Henriette-Marie, qui a donné son nom à un état des États-Unis, le Maryland, sera obligée de quitter l'Angleterre avec ses deux enfants dont l'un Charles, deviendra Charles II, pour échapper aux poursuites de Cromwell. C'est auprès de son frère Louis XIII, qu'elle vivra cette période chaotique de l'Angleterre qui le fut également pour la France, puisque ce fut celle de la Fronde. C'est un miracle pour elle de survivre à l'assassina de son mari, s'assumer la protection de ses enfants, bravant le dénuement le plus complet. Son fils put gagner l'île de Jersey puis l'Écosse et l'Irlande et réussit après la mort de Cromwell à regagner son trône. Mais ceci ne facilita pas la vie d'Henriette-Marie qui malgré la sollicitude d'Anne d'Autriche, était tiraillée entre les tensions de la cour de France notamment au moment de la Fronde. La mort de Cromwell le 13 septembre 1758, va changer sa destinée et le 29 mai 1660 Charles revient triomphalement à Londres, date coïncidant avec le mariage de Louis XIV avec l'infante d'Espagne, Marie-Thérèse. Henriette-Marie se décide alors, accompagnée de sa fille Henriette à rejoindre son fils à Londres. Elle vécut encore pendant dix ans entre Londres et Paris, assez peinée de voir les dilapidations des finances du royaume d'Angleterre par son fils Charles II. Elle devait mourir le 3 août 1669 à l'âge de soixante ans, un deuil général fut ordonné dans toute l'Angleterre et quarante huit heures plus tard, Bossuet montra en chaire pour prononcer l'oraison funèbre d'Henriette-Marie de France, reine d'Angleterre.
Paris, G. Charpentier, 1879. 470 g In-12, demi percaline verte à la bradel, [2] ff., xxiii-297 pp., [1] f.. Première édition collective des deux pièces des frères Goncourt. Petits frottements. . (Catégories : Théâtre, Littérature, )
Nantes 1960 une carte de voeux pliée en deux, cartonnée souple, format 14 x 10,6 cm, 1ère page illustrée d'une lithographie en couleur REPRESENTANT UN JEUNE BRETON "JOUEUR DE BINIOU" EN COSTUME TRADITIONNEL par Henriette BELLAIR, numérotée en bas à gauche au crayon : 17/25, en noir par Jim Eugène SEVELLEC, 2ème page blanche, 3ème page autographe manuscrite signée par Henriette BELLAIR à l'encre bleue avec imprimé en bas en vert clair : XMAS 1939, 4ème page : blanche, Nantes , le 7 Janvier 1960,
Henriette Bellair, née à Paris le 17 décembre 1904 et morte le 2 juin 1963 à Nantes, est une peintre et illustratrice française ......... .bel Exemplaire .... RARE .... en trés bon état (very good condition).
Paris Calmann-Lévy éditeurs 1923 2 vol. in - 8 ( 22,5 x 14 cm ) ( poids = 1,85 kg ) Fx. t. , t. , 408 pp. + fx.t. , t. , III , 517 pp. . Le 1er vol. contient un avertissement , Ma soeur Henriette , XXIX Lettres , Table . Le 2ème vol. contient Avertissement , LXXXIII Lettres , Table . Demi- chagrin rouge . Dos à cinq faux nerfs , nom des auteurs et titres dorés . Plats papier marbré à dominante rouge . Gardes papier marbré ombré . Couvertures entièrement conservées . Très bon état . Papier légèrement et uniformément jauni ; qqs très rares rousseurs .
Il s' agit des lettres échangées entre Ernest RENAN et sa soeur Henriette , de douze ans son aînée , professeur dans une école de jeunes filles à Paris , puis préceptrice dans une famille de la noblesse polonaise , les Zamoyski , à Vienne , à Varsovie . Calmann-Lévy qui avait publié les Lettres intimes en 1896 , édita les Nouvelles Lettres intimes en 1923 et réédita , une nouvelle fois , les premières à cette occasion . Après avoir cité l' ouvrage d' Henriette Psichari , Renan d' après lui-même , Léon Dubreuil , dans Annales de Bretagne ( année 1963 , vol. 70 , n° 2 , p. 185 ) écrit , au sujet d' Henriette Renan : " Si l' amour qu' elle a montré pour son frère a pu parfois paraître excessif , si elle l' a quelquefois pour ainsi dire asservi à ses manières de penser et d' agir , si elle mal accepté son mariage avec Cornélie Scheffer , il n' y eut chez elle rien de suspect (... ) Mais il faut reconnaître que c' est elle qui sut l' affermir dans des résolutions demeurées longtemps équivoques . "
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