‎CHAM (Pseud. de Amédée Charles Henri de Noé)‎
‎Au bal de l'Opéra‎

‎ 1850 Paris, Maison Martinet, sans date (vers 1850), in-4 br. de 32 pp. de dessins humoristiques, couverture rose impr., rousseurs, bon ex.‎

Reference : 19670


‎Ed. orig. ‎

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‎Clavigny G. & Collectif‎

Reference : RO80250219

(1901)

‎Sans-Gêne, n°3 (16 mars 1901) : Au bal masqué / Au bal de l'Opéra / Retour au pays / Entre demi-mondaines / Music-Hall / Au Temple de la Déesse / Carnaval /...‎

‎J. Férenczy. 1901. In-4. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Papier jauni. Pages 33 à 48. Nombreuses illustrations monochromes dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Au bal masqué / Au bal de l'Opéra / Retour au pays / Entre demi-mondaines / Music-Hall / Au Temple de la Déesse / Carnaval /... Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎[Imprimerie Emile Flouret] - ‎ ‎DE LA BATUT, Jeanne et Pierre‎

Reference : 44471

(1900)

‎Carnet Manuscrit de "Souvenirs et anecdotes de Tante Lair", Angèle Lair, fille du peintre Alexandre-Gabriel Decamps, vraisemblablement notés par sa nièce Jeanne Dentu Epouse De La Batut puis son petit neveu Pierre de La Batut.[ Anecdotes sur Decamps, Gambetta, Emile Gaboriau, etc. ] : [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎

‎1 cahier d'écolier, Imprimerie Emile Flouret, Bergerac, 7 pages manuscrites, s.d. (circa 1900-1930 ?) [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, Dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎


‎Intéressant recueil d'anecdotes diverses, rédigé d'après les témoignages de la tante Angèle Lair par Jeanne Dentu ou par son fils Pierre de La Batut.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR180.00 (€180.00 )

‎COLLECTIF‎

Reference : R110095159

(1867)

‎LE JOURNAL ILLUSTRE N° 159 - Le bal de l'opéra par M, Saint-Nazaire par Jacques Bonus, La première séance de la chambre des communes par V, La pièce de cinq francs par Eugène Guinot, Costumes par L, Le bal de l'hotel de ville par M., Sinistre‎

‎BUREAUX DE L'ADMINISTRATION. 24 FEV-3 MARS 1867. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 57 à 64. Quelques gravures en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.4411-Le petit journal / Le journal illustré‎


‎Sommaire : Le bal de l'opéra par M, Saint-Nazaire par Jacques Bonus, La première séance de la chambre des communes par V, La pièce de cinq francs par Eugène Guinot, Costumes par L, Le bal de l'hotel de ville par M., Sinistre du Fire-Sonner a Diélette près Cherbourg par H Classification Dewey : 70.4411-Le petit journal / Le journal illustré‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR24.90 (€24.90 )

‎ABEILLE‎

Reference : ROD0059085

(1903)

‎Le Vieux Marcheur N°13, Au bal de l'opéra.‎

‎Thouron. 13 février 1903. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages, gravures noir et blanc in et hors texte, 1ère page en couleurs par Abeillé. Débroché.. . . . Classification Dewey : 70.441-Journaux satiriques anciens‎


‎Au bal de l'opéra par Abeillé, Au palais de glace par Krassowski, Au bal masqué par Roze,c Bonnes à tout faire par Hémeri, Ollé! par Roze, Trottoirs parisiens par Rob, Marivaudages de coulisses par Muller, Aux Folies-Bergères par Legram. Classification Dewey : 70.441-Journaux satiriques anciens‎

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EUR19.80 (€19.80 )

Reference : 2147494321

‎COMPOSITION EN COULEUR 19è DE GREVIN AU BAL DE L'OPERA‎

‎ Sans date. COMPOSITION EN COULEUR DE GREVIN AU BAL DE L' OPERA 19ème siècle Format :19X17 Réf : 1593‎


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