‎Compton‎
‎L'incurable‎

‎Calmann-Lévy 1975 in8. 1975. Broché. 245 pages. Bon Etat‎

Reference : 87453
ISBN : 2702100740


‎‎

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Livres-sur-sorgue
M. Philippe Arnaiz

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‎D. Pastina, J. W. Crayton (eds.);‎

Reference : 33673

‎Hospital of Incurable Madness. L'Hospedale de' Pazzi Incurabili (1586), by Tomaso Garzoni,‎

‎Turnhout, Brepols, 2010 Hardback, VIII+251 p., 175 x 255 mm. ISBN 9782503528953.‎


‎This translation of Garzoni's The Hospital of Incurable Madness provides a fascinating addition to our understanding of representations of mental illness in the Middle Ages. This translation of Tomaso Garzoni's Renaissance 'best-seller' provides a rich and revealing window on sixteenth-century views of madness and foolishness, and social deviance. Garzoni's encyclopedic work is perhaps the most important contribution of the last half of the century to the 'fools' genre to which Erasmus' Praise of Folly and Sebastian Brant's Ship of Fools also belong. Garzoni provides a spoof of academic writing on madness, with extensive 'reviews of the medical literature' on certain types of madness. A final, intriguing section on the varieties of madness to be found in Garzoni's female 'patients' reveals much about late-Renaissance attitudes towards women. New.‎

ERIK TONEN BOOKS - Antwerpen

Phone number : 0032495253566

EUR55.00 (€55.00 )

‎Collectif‎

Reference : R110686403

(1855)

‎L'ami des sciences n° 3 - Une découverte zoologique, Communications acoustiques, Trois cents lieues a l'heure, L'homme primitif, Une mine a exploiter, Avis aux chercheurs, Machine électro-calorique, Guérison spontanée d'une maladie réputée incurable‎

‎Bureaux du journal. 21 janvier 1855. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 17 à 24. Texte en colonnes.. . . . Classification Dewey : 500-SCIENCES DE LA NATURE ET MATHEMATIQUES‎


‎Sommaire : Une découverte zoologique, Communications acoustiques, Trois cents lieues a l'heure, L'homme primitif, Une mine a exploiter, Avis aux chercheurs, Machine électro-calorique, Guérison spontanée d'une maladie réputée incurable, Evocations des ombres, Un outil russe Classification Dewey : 500-SCIENCES DE LA NATURE ET MATHEMATIQUES‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎Collectif‎

Reference : RO30349919

(1989)

‎Comédie française, n°175, avril 1989 : Molière : Le Misanthrope. L'incurable, par Antoine Vitez - Molière et Le Misanthrope, par René Jasinski et Jacques Copeau - L'humeur philosophe, par Jean-Loup Rivière - etc‎

‎Comédie française. 1989. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Papier jauni. 55 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte. Texte sur plusieurs colonnes.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : L'incurable, par Antoine Vitez - Molière et Le Misanthrope, par René Jasinski et Jacques Copeau - L'humeur philosophe, par Jean-Loup Rivière - etc Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR19.80 (€19.80 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO10087719

(1998)

‎PARIS MATCH N° 2587 - La fin de la pudeur au cinéma, l'ennui de Cédric Kahn, Gaston Chaissac artiste incurable, Paramedecines, le livre du Dr Abgrall les met en question : et si elles ne guérissaient que l'imagination, Retour de l'enfer, Vincent Cochetel‎

‎PARIS MATCH. 24 décembre 1998. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 146 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en couleurs dans et hors texte - 1er plat illustré d'une photo en couleurs. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : La fin de la pudeur au cinéma, l'ennui de Cédric Kahn, Gaston Chaissac artiste incurable, Paramedecines, le livre du Dr Abgrall les met en question : et si elles ne guérissaient que l'imagination, Retour de l'enfer, Vincent Cochetel a passé 317 jours comme otage des Tchétchènes, quatre jours après l'exécution de quatre prisonniers anglais et néo zélandais, il vient d'être sauvé Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎[Imprimerie Emile Flouret] - ‎ ‎DE LA BATUT, Jeanne et Pierre‎

Reference : 44471

(1900)

‎Carnet Manuscrit de "Souvenirs et anecdotes de Tante Lair", Angèle Lair, fille du peintre Alexandre-Gabriel Decamps, vraisemblablement notés par sa nièce Jeanne Dentu Epouse De La Batut puis son petit neveu Pierre de La Batut.[ Anecdotes sur Decamps, Gambetta, Emile Gaboriau, etc. ] : [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎

‎1 cahier d'écolier, Imprimerie Emile Flouret, Bergerac, 7 pages manuscrites, s.d. (circa 1900-1930 ?) [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, Dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎


‎Intéressant recueil d'anecdotes diverses, rédigé d'après les témoignages de la tante Angèle Lair par Jeanne Dentu ou par son fils Pierre de La Batut.‎

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