Cahiers de la quinzaine 1914 in12. 1914. Broché. 141 pages. Etat Correct exsemplaire non coupé
Reference : 53783
Livres-sur-sorgue
M. Philippe Arnaiz
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Genève, Ch. Eggimann & Cie, 1898 [et], Genève, G.-W. Brooke, 1895. 2 ouvrages reliés en un volume in-4 de [2]-81 et [4]-66 pages, reliure en percaline bleue, premiers plats de couvertures conservées.
La couverture du premier titre est de Godefroy, celle du second n'est pas signée, mais ce titre est illustré par Bieler, Godefroy et H. van Muyden d'un composition chacun introduisant les 3 parties, petites illustrations in-texte en noir. Des chansons est divisé en deux parties: Des chansons, et Des chansons du crû (texte et partitions). Le second ouvrage contient les texte et partitions de quelques Chansons simples (Chez nous - La pauvre église - Il roille,…), Propos de bourgeois (Les artistes - Panégyrique - Les deux mesures,...) et Petits potins (Le marché aux fleurs - Froideur - Le roman romand,…). Jolies publication. Au verso de la couverture de "Chez nous" se trouve un gentil mot d'un père à sa "toute chérie fille". Étiquette du relieur "Atelier du livre d'or" à Genève, 13 boulevard Helvétique.
Lausanne, sans nom, 1934. In-4 relié en demi-basane à coins, dos muet, titre doré au premier plat. 2 feuillet de préface, 90 feuillets comportant 91 portraits, 1 feuillet de postface de l'auteur, l'ensemble monté sur onglets. Relié par M. Diserens, Bonne Espérance, Lausanne.
91 portraits sur 90 pages plus un feuillet volant, portrait de Lucien Potterat, inspecteur principal de la police de la sûreté. La préface nous apprend que "Les Personnalités et figures de chez nous ont été croquées parmi les représentants de nos autorités, de notre magistrature, de l'Université, de la Politique, des Arts, de la Presse, etc. Les portrait de cette collection - classés par ordres alphabétique - sont les reproductions des crayons d'un artistes consciencieux et sincère." La préface est signée de Jean Rubatel, alors Rédacteur à la Feuille d'Avis, et président du Cercle lausannois des journalistes professionnels (dont le portrait figure dans ce recueil). Chacun des portraits comporte la reproduction de la signature du croqué. Rare. Coupes légèrement frottées.
Neuchâtel, Éditions de la Baconnière, 1978. In-8 broché de 144 pages.
Genève, G.-W. Brooke, 1895. Grand in-4 de 66 pages, demi-percaline rouge avec titre doré au dos, couverture conservée.
3 illustrations en noir, introduisant les 3 parties, petites illustrations in-texte en noir. Contient les texte et partitions de quelques Chansons simples (Chez nous - La pauvre église - Il roille,…), Propos de bourgeois (Les artistes - Panégyrique - Les deux mesures,...) et Petits potins (Le marché aux fleurs - Froideur - Le roman romand,…). Fort peu courant. La couverture conservée est partiellement détachée, mais parfaitement solidaire. Reliure frottée.
1 placard format 26 x 20 cm, s.d. [ 1815 ]. Rappel du titre complet : Lettre des sous-officiers et soldats en congés limité et illimité de la ville d'Amiens, à son Excellence le Ministre de la Guerre. Monseigneur, La fausse interprétation de nos sentimens dans l'appel que vous venez de nous faire, exige de nous une réponse qui confonde notre imposture. Quel délire a pu vos faire dire que nous avons désiré le retour de Napoléon, lorsque, rentrés dans nos foyers par la clémence d'un bon Roi, nous n'avions d'autre but que d'y rester ? Nous sommes tous au milieude ce que nous avons de plus cher ; nous ne nous en séparerons que pour frapper, terrasser les traîtres, qui ont osé favoriser le retour du tyran usurpateur. Malheur aux vils satellites, qui oseroient porter les mains sur nous ou sur nos parens, pour les priver de la liberté ! Nous ne voulons point obéir à l'appel qui nous est fait : nous ne reconnoissons que celui du Roi, en date du 9 mars dernier ; et c'est pour sa défense que nous prendrons les armes. Dans quel avilissement les autorités sont tombées ! Naguère les premiers magistrats de cette ville nous engagoient à repousser et à anéantir le Corse, qui vient encore désoler nos familles, et apporter parmi nous tous les fléaux [... ] Braves camarades, gardons-nous de méconnoitre notre Roi légitime ; rallions-nous, et ne souffrons pas que qui que ce soit porte une main téméraire sur un seul d'entre nous, pour nous forcer de servir une cause que nous abhorrons ! (Copié sur un exemplaire envoyé par un des officiers d'Amiens à sa famille, à Paris,...... dans une lettre par la Poste)
Rare placard publié pendant les Cent Jours, et s'opposant au retour de Napoléon revenu de l'île d'Elbe.