Arthaud 1958 in4. 1958. Cartonné jaquette. 104 pages. Bon Etat general
Reference : 38792
Livres-sur-sorgue
M. Philippe Arnaiz
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Conformes aux usages de la librairie ancienne et moderne. Les prix sont nets auxquels il faut ajouter les frais de port. <br />Nous acceptons la carte bancaire. <br />
Seghers, collection Poètes d'aujourd'hui / Disques Vega. 1998. Disque vinyle 33t., format 45 tours, pochette photographique rappelant la collection Poètes d'aujourd'hui. En belle condition.
Jean Vilar dit: Nous n'habiterons pas ces terres jaunes, notre délice (Anabase) - Porte ouverte sur les sables (Exil) - Chanson (Anabase) - Telle est l'instance extrême (Vents) - Et vous, mers (Amers) - Car tu nous reviendra, présence (Amers).
Tribune de Genève / Favre, 2005. Grand in-8 broché, couverture illustrée. Illustré de 2 cahiers de photographies et documents hors-texte.
"Fakirs magiciens, attaques de pirates, réceptions à la cour du Grand Moghol, fêtes somptueuses et tortures, Tavernier nous plonge dans son XVIIe siècle avec un réalisme précis et dépouillé qui fait de lui un des premiers grands reporters de l'Histoire. Ce qu'il raconte, il l'a vu sous la loupe au cours de quarante ans passés à sillonner l'Eurasie de Paris à Java. Tavernier a vu construire le Taj Mahal, et ramené à Louis XIV le célèbre diamant Bleu. Il a assisté à des rites troublants et inconnus des Européens. Intéressé à chaque aspect de la vie, le voyageur ne manque pas de noter les prouesses techniques de son temps : un éventail mécanique, un four solaire, le calcul exact d'une prochaine éclipse. Ou simplement cette mine de plomb entourée d'un manteau de bois à tailler, qu'on appelle crayon. Au moment de publier ses " Six Voyages en Turquie, en Perse et aux Indes " en 1676, dont nous rééditons ici des extraits, Tavernier croit savourer dans son château d'Aubonne la retraite du nomade. Il a alors déjà parcouru 240 000 kilomètres à la vitesse d'un attelage de bœufs. Belge d'origine, né en France, établi en Suisse, il a voyagé à bord du vaisseau hollandais Maestricht. "
EDITION ORIGINALE
Journal du voyage du chevalier Chardin en Perse et aux Indes orientales : par la mer Noire et par la Colchide... EDITION ORIGINALE 320 x 210 mm, relié plein veau époque, reliure avec manques, intérieur bon état Chevalier Jean Chardin (1643-1713), dit le "Chevalier Chardin", est un voyageur et un écrivain français. Il est connu surtout pour sa relation de ses séjours en Perse et en Orient à la fin du XVIIe et au début du XVIIIe siècle. Fils d’un bijoutier protestant, il se rend en Perse et en Inde en 1665 pour y faire le commerce des diamants. Il plaît au roi de Perse, Shah Abbas II, qui le nomme son marchand. De retour en France en 1670, il publie "Le couronnement de Soleïmaan troisième, roy de Perse". Puis il repart pour la Perse en août 1671, en faisant cette fois-ci un long périple qui le mène à Smyrne, à Constantinople, en Crimée, dans le Caucase et en Géorgie. Il arrive à Isfahan en juin 1673, reste quatre ans en Perse et retourne en Inde avant de revenir en Europe en 1680 en passant par le Cap de Bonne-Espérance. Constatant à son retour que les Protestants sont persécutés en France, il se rend en 1681 en Angleterre, où Charles II le fait chevalier et le nomme bijoutier de la cour. Il s’y marie et devient membre de la Royal Society en 1682. Chardin se rend ensuite en Hollande en tant que représentant de la Compagnie anglaise des Indes orientales et c’est à Amsterdam qu’il publie en 1686 la première partie des "Voyages de monsieur le chevalier Chardin en Perse et autres lieux de l’Orient". Cet ouvrage, qu’il ne complète qu’en 1711, peut-être avec l’aide de François Charpentier, est salué par les philosophes et reçoit les éloges de Montesquieu, Rousseau, Voltaire et Gibbon.
LIBRAIRIE HACHETTE & Cie. 1884. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 139 à 316. Nombreuses gravures en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 910-Géographie générale. Voyages
Sommaire : Chapitre IV : La Perse - Perse et persans, Voies historiques de la Perse, Montagnes des Turkmènes, Atrek, Ala Dagh, Elbourz, Chah Kouh, Chamcherbour, Tchesmeh-I-Ali, Elbourz, Demavend, Caspienne, Savalan, Sehend, Montagnes bordières de la Perse, Déserts de la Perse, Climat de la Perse, Lac d'Ourmiah, Lac Niris, Flore de la Perse Classification Dewey : 910-Géographie générale. Voyages
Lyon, Thomas Amaulry, 1687, 2 tomes en 2 vols in-12 , Reliure époque plein veau, dos à nerfs ornés avec titre et tomaison , de (24)-438pp (tome 1) et 439pp-(9) pp) illustrés de 15 planches dont 1 portrait-frontispice, 1 titre gravé 13 planches , la plupart dépliantes .Petite galerie de vers au début du tome 2 , 4 feuillets amputés (pp.89 à 96) de l’angle supérieur droit (avec manque de texte), reliure frottée , accident à la coiffe supérieur tome 1 , coins usés
Jean Chardin , Diamantaire français , connu pour sa relation de ses séjours en Perse et en Orient à la fin du XVIIe , Fils d’un bijoutier protestant, il se rend en Perse et en Inde en 1665 pour y faire le commerce des diamants. Il plaît au roi de Perse, Shah Abbas II, qui le nomme son marchand. De retour en France en 1670, il publie "Le couronnement de Soleïmaan troisième, roy de Perse". Puis il repart pour la Perse en août 1671, en faisant cette fois-ci un long périple qui le mène à Smyrne, à Constantinople, en Crimée, dans le Caucase et en Géorgie. Il arrive à Isfahan en juin 1673, reste quatre ans en Perse et retourne en Inde avant de revenir en Europe en 1680 en passant par le Cap de Bonne-Espérance. Constatant à son retour que les Protestants sont persécutés en France, il se rend en 1681 en Angleterre, où Charles II le fait chevalier et le nomme bijoutier de la cour. Il s’y marie et devient membre de la Royal Society en 1682. Chardin se rend ensuite en Hollande en tant que représentant de la Compagnie anglaise des Indes orientales et c’est à Amsterdam qu’il publie en 1686 la première partie des "Voyages de monsieur le chevalier Chardin en Perse et autres lieux de l’Orient". Cet ouvrage, qu’il ne complète qu’en 1711, peut-être avec l’aide de François Charpentier, est salué par les philosophes et reçoit les éloges de Montesquieu, Rousseau, Voltaire et Gibbon. P1-3N